Moins 18°

Un thriller haletant qu'on ne lâche pas. Je ne connaissais pas l'auteur mais c'est une belle découverte. Je mets ses livres précédents sur ma #wishlist immédiatement.
Les thrillers d'auteurs nordiques ont le vent en poupe mais on comprends pourquoi.
Personnellement, je ne suis jamais déçue des intrigues, des personnages, des dénouemens.
Une fois encore, cet auteur nous livre une histoire glaçante au scénario bien ficelé.

Une enquête patiente, minutieuse et à multiples rebondissements, mêlée de rivalités entre flics et mâtinée de soucis familiaux…

Un suspense étonnant, addictif et une intrigue très originale.

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Je ne sais que dire de ce roman policier suédois. Une impression qui m'arrive souvent lorsque je trouve un livre ni vraiment bon, ni vraiment mauvais ; Avec lequel je ne prend ni plaisir ni déplaisir.

Il faut dire que « Moins 18° » souffre d'une intrigue extrêmement basique. L'enquête (ou plutôt la double enquête) est longue mais n'a jamais réussi à me surprendre. Des rebondissements attendus, des personnages fadasses, trop de stéréotypes,… de nombreux éléments scénaristiques sont trop gros pour être crédibles et la tendance à la surenchère de l'auteur n'arrange pas les choses.

Après, le style de Stefan Ahnhem est fluide et agréable à la lecture. Il réussit à donner un bon rythme à son intrigue ce qui m'a permis ne jamais m'ennuyer. Une écriture très visuelle et une absence de concession qui fait plaisir.

Moyen. Un polar que je ne conseillerai pas.

En Suède, Astrid Tuvesson, commissaire de police, poursuit un véhicule qui lui a arraché son rétroviseur, mais la BMW plonge dans les eaux du port. L'autopsie révélera que la victime, un riche patron informaticien, est mort depuis deux mois et que son corps a été congelé.

Au Danemark, deux agents de patrouille se font subtiliser leurs armes par une junkie couverte de sang qui déclare que son frère a été tué par quatre personnes aux visages souriants.

Dans ce roman l'auteur nous offre deux enquêtes qui se déroulent en parallèle avec un lien très ténu entre elles. Les chapitres alternent les deux enquêtes ce qui a pour effet de casser en permanece le rythme du récit, avec de nombreux raccourcis pour chacune d'elle. L'auteur aurait du se consacrer à une seule enquête ce qui aurait donné plus de poids au roman.

Les policiers ont pour, notamment ceux de premier plan, des problèmes dans leurs vies privées ou professionnelle ce qui ne permet pas d'entrer en osmose avec eux. Ces problèmes occupent un peu trop de place dans le récit et créent des passages peu intéressants pour les lecteurs.

On sort de ce roman avec un avis plutôt mitigé malgré deux enquêtes qui auraient pu être intéressantes sur le fond mal plutôt mal exploitées par l'auteur.
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Deux pays, deux flics, deux enquêtes : une en Suède et une au Danemark.

L'auteur nous entraînent dans deux enquêtes passionnantes dans lesquelles les meurtres particulièrement horribles se multiplient des deux côtés du Détroit.

On passe d'une enquête à l'autre sans jamais se perdre, sinon sur les fausses pistes. Les revirements de situation donnent un sacré rythme à l'histoire et les rebondissements inattendus entretiennent le suspense.

C'est le premier livre de cet auteur que je lis et j'ai compris en cours de route que ce n'est pas le premier mais le troisième d'une série promise à une suite.
Ce livre est un bon thriller qui tient en haleine grâce aux chapitres courts et alternant les diverses histoires qui se déroulent au Danemark et en Suède, mais il n'a pas, à mon goût, la profondeur des "grands", tout y est un peu "trop".
Néanmoins, je lirai les précédents pour mieux comprendre les interactions entre les personnages, et sans doute ensuite le prochain, car les denières lignes de celui-ci nous laissent entrevoir la future enquête.

Helsingborg en Suède et juste en face Helsingor au Danemark.
En Suède, Astrid, chef de la police, et son équipe se retrouvent avec un mort noyé, qui s'avère en fait être mort congelé depuis 2 mois avant d'être noyé.
Une bien étrange affaire.
Au Danemark, Dunja, reléguée comme simple gardienne de la paix, et son collègue Magnus vont avoir fort à faire pour retrouver une bande de jeunes qui se filment lorsqu'ils tuent des SDF.
Une bien pénible affaire.
Outre les enquêtes complexes qu'ils ont a mené, ces policiers ont également de gros soucis personnels à régler.

Si les chapitres s'alternent entre Suède et Danemark, on ne se perd jamais dans la lecture, et ce découpage donne un bon rythme à l'histoire, d'autant que les 2 enquêtes vont se rejoindre.
On se laisse porter et emporter, se demandant comment vont donc bien pouvoir se terminer ses enquêtes.

Des rebondissements et des intrigues qui s'entrecroisent pour nous mener dans des découvertes machiavéliques et macabres.

Un scénario très bien imaginé et mené avec un suspense addictif.

Si "Moins 18°" est la suite de "Hors cadre" et "La 8ème tombe", ce polar peut très bien se lire indépendamment. Je n'ai pas lu les 2 premiers et cela ne m'a gêné en rien dans la lecture.

Un suspense implacable que Stefan Ahnem a très bien maîtrisé !
Je me suis aventuré dans une course folle avec une BMW et me voilà projeté dans quelque chose de sombre et sinistre! Un polar très bien dosé qui sait donner au lecteur les frissons qu'il attends !
Dès les premiers abords on pense à un simple meurtre quelque chose d'irréel est qui nous détache.
Seulement quand petit à petit se tisse l'histoire cachée c'est toute l'intrigue et tout les soupçons qui ont été faits qui bascules et chavires vers quelque chose de très différents !

C'est addictif et cette Gross brique donne du fil à retordre ! J'ai complètement adhéré à la plume de l'auteur qui se veux explosive et complètement addictive ! Les pages se tournent rapidement et sans ménagement ! On se retrouve en apnée vers le milieu du roman et on en ressort complètement boulversé ! C'est une vraie descente en enfer et la fin est complètement bluffante !
Sans aucune doute une dès meilleurs fin que je n'ai jamais lu !

Quant aux personnages que fait apparaître et disparaître l'auteur pour semer le trouble c'est brillant. Chaque personnage avec son côté martyre et original offre un attachement et une suite folle.
Une fois un passe fini c'est vers un autre que l'on veux se tourner et ainsi de suite. Franchement un très bon polar. Glaçant !

La vague des polars nordiques n'en finit pas de submerger nos rayons.
Mais le bouquin du suédois Stefan Ahnehm avait deux ou trois atouts pour sortir la tête de l'eau : un titre accrocheur bien sûr, et puis cette bonne idée de construire son intrigue au-dessus du chenal de l'Øresund qui sépare Danemark et Suède, une frontière maritime qui nous est devenue presque familière depuis la fameuse série Bron.
Ça commence très fort d'ailleurs avec la folle poursuite d'une BMW qui finit dans l'eau du port de Malmö.
On repêchera le cadavre (congelé) du chauffard, un homme d'affaires bien connu.
En dépit de ces bons auspices, le reste du bouquin va s'avérer un peu décevant avec une intrigue des plus classiques.
Le récit nous balade au Danemark et en Suède avec deux intrigues dont on se doute bien qu'elles finiront par se rejoindre quelque part au milieu du Skagerrak dans un final très mouvementé.
Les histoires "personnelles" des principaux enquêteurs (la famille éclatée de l'un, la hiérarchie policière de l'autre, ...) sont supposées donner de l'épaisseur aux personnages mais sont un peu too much et plombent un peu la lecture.
Bref, un polar nordique de plus, à lire rapidement puis oublier tout aussi vite.
Pour celles et ceux qui aiment les congélateurs.
Lien : https://bmr-mam.blogspot.com..

Un livre est-il bon si les 100 dernières pages sont excellentes ?
J'ai trouvé les 400 premières pages très longues, un rythme qui ne me convenait pas (pourtant j'aime les polars nordiques qui prennent leur temps), beaucoup de personnages à assimiler (avec des noms pas faciles forcément), des histoires parallèles.
Cependant, j'ai apprécié les personnages (même si c'est un tome de saga déjà commencée), l'enquête en elle-même était bien mais c'est vraiment à la fin que j'ai dévoré le livre sinon je n'y retournais pas avec plaisir.