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L'Agenda de mère tome 4 sur 13
EAN : 9782902776030
Institut de Recherches (01/10/1979)
4.12/5   4 notes
Résumé :
L’année de l’assassinat de Kennedy, les débuts de la scission sino-soviétique. Tandis que les géants destructeurs courent de plus en plus vite et que la Science remet en cause les lois de l’univers, Mère fraye lentement le passage de la prochaine espèce sur la terre : Le chemin que je cherche est toujours descendant, dans la conscience des cellules. Sera-ce la mort globale, ou le commencement d’un nouveau monde, comme les oiseaux après les reptiles ? Je suis au seui... >Voir plus
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Et on comprend – on commence à sentir d'une façon tout à fait concrète – que toutes ces choses sont seulement des moyens d'intensifier, de faire progresser et de rendre plus parfaite la Manifestation. Et si les moyens sont grossiers, c'est parce que la Manifestation est très grossière. Et à mesure qu'elle se perfectionnera et qu'elle deviendra plus propre à manifester ce qui est ÉTERNELLEMENT PROGRESSIF, on passera des moyens très grossiers à des moyens plus subtils, et le monde progressera sans avoir besoin de ces oppositions si brutales. C'est seulement parce que le monde est dans l'enfance et que la conscience humaine est tout à fait dans l'enfance.

C'est une expérience très concrète.

Par conséquent, quand la terre n'aura plus besoin de mourir pour progresser, il n'y aura plus de mort. Quand la terre n'aura plus besoin de souffrir pour progresser, il n'y aura plus de souffrance. Et quand la terre n'aura plus besoin de haïr pour aimer, il n'y aura plus de haine.
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20 novembre 1963

{Mère à Satprem} : Alors il faudrait arriver à cette conscience ou à cette connaissance que ça (le corps), ce n'est pas toi –  le malheur, c'est que quand tu dis «toi», tu penses à ça (Mère frappe son corps), mais ce n'est pas ça! ce n'est pas toi! Et il faut que tu sentes que ce n'est pas toi avant que tu puisses redescendre dedans prendre possession et le changer. Tant que tu dis: «Ça, c'est moi», tu es lié, ligoté.

Ce qui est toi, c'est ça (geste au-dessus de la tête), c'est là: ce qui pétille dans la lumière – ça, c'est toi. Ça (le corps), ce n'est pas toi, c'est le sédiment. Tu as encore l’amour-propre de ton corps! Il faudrait que tu sentes: ce n'est pas moi, ce n'est pas moi. C'est... oui, ce qui a été assemblé plus ou moins maladroitement, d'une façon ignorante, par le père, la mère, peut-être avec l’influence des grands-parents... Cette découverte-là, je l’ai faite vers l’âge de 15 ou 16 ans, ou 17 ans; j'ai commencé à voir clairement tous les «cadeaux» (si l’on peut appeler ça des cadeaux) qui m'ont été faits par père, mère, parents, grands-parents, éducation, gens qui se sont occupés de moi, toute cette espèce de bourbier dans lequel on tombe la tête la première. Et alors, la qualité de la vibration et la qualité des sensations, des soi-disant «pensées» (qui ne sont pas des pensées, qui sont des sortes de réflexes mentaux presque automatiques) et des sentiments (si l’on peut appeler ça des sentiments: ce sont des espèces de réactions au milieu et à ce qui vient du dehors), tout ça, ça grouille – tu sais, ça grouille comme des vers dans de la boue.

Quand on voit comme cela et que l’on commence à dire: «Mais ce n'est pas moi!» et qu'on sent que ce n'est pas moi: «Ce n'est pas moi! non. – Moi, c'est ce qui regarde; moi c'est ce qui veut, moi c'est ce qui sait...»

Tu dois avoir des révélations et ne pas même t'en apercevoir! Tu as tout ça, là (geste au-dessus de la tête du disciple), c'est plein de révélations, mon petit! Alors tu es là à chercher à voir avec des yeux du vital, à avoir des expériences dans le physique subtil, toutes sortes de choses, qui ne peuvent pas venir parce que tu es là (geste au-dessus), et que ça, c'est le sédiment.
(silence)
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