"Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir ensemble comme des idiots", nous prévenait déjà Martin Luther King dans son dernier discours, quatre jours avant son assassinat.
Aimez tout : la vie est belle ! Et donnez beaucoup : elle est encore plus belle lorsqu'on partage !
La facilité avec laquelle nos bonnes intentions et nos valeurs peuvent être bousculées par un simple sentiment de fausse urgence est déconcertante,vexante, humiliante,déprimante...mais bien réelle !...Il faut débusquer inlassablement les façons dont, dans nos vies, l'impression d'être bousculé par le temps, par la masse des choses à faire, peut progressivement dénaturer nos capacités à être de bons humains.
Simplifier ses actions, c'est-à-dire ne pas consacrer trop de temps au superflu, aux distractions.
Simplifier aussi ses paroles : notre bouche dispense un flot ininterrompu de paroles souvent inutiles. Pensez au temps perdu en colportant des rumeurs et en bavardages inutiles.
Simplifier ses pensées. La simplicité, cela n'a rien à voir avec "être simple d'esprit", c'est demeurer dans la simplicité de la fraîcheur du moment présent, libre d'espoirs et de craintes.
Comment peut-on admettre que des enfants naissent pour mourir d'inanition sur une planète en mesure de nourrir tous ses habitants ? Et ce alors que, par ailleurs, les armements prolifèrent à la gloire de la mort. Si l'on fait un ratio entre l'énergie consacrée à l'amour et celle mise au service de la haine et de la destruction, on est bien obligés de constater que les pulsions de mort sont mieux servies que les pulsions de vie. Ainsi, soigner la terre est pour moi une des manifestations de l'amour. Et en prenant soin de la terre, on prend soin de l'humain, tout est relié.
L'astrophysicien Hubert Reeves dit que la pollution n'est pas un gros problème... mais six milliards de petits problèmes.
Il est fondamental de s'occuper de soi-même non par nombrilisme ou par égoïsme, mais pour protéger et restaurer ce qui fait notre humanité : notre intériorité.
On oublie trop souvent que ce n’est pas le temps qui passe, mais nous qui passons.
Garde cette tristesse, cette révolte dans ton cœur, elles te serviront de moteur demain pour les aider, elles et toutes celles et ceux qui auront besoin de toi.
Plus nous sommes indignés, plus nous avons besoin d'être conscients afin que nos actions restent en cohérence avec nos idéaux.