Lu en Mai 2020
Livre séparé en 2 histoires :
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J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir : 1*
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Il n'est pas si facile de vivre : 2*
J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir : 1*
C'est le journal intime d'une fille hongroise de quinze ans. Sa ville est occupée par l'armée allemande mais les Russes doivent arriver. L'histoire se déroule pendant la Seconde Guerre Mondiale. Tous les habitants d'un immeuble se retrouve dans la cave. Ils survivent ensemble. Il y a la guerre dehors donc ils entendent les explosions, ils ont peur des soldats. Ils sont isolés et manquent de nourriture.
Un homme, Pista, arrivera et les rejoindra. C'est un déserteur mais il a le courage de sortir pour aider les gens de l'immeuble en leur apportant ce qui leur manquent.
Des chevaux sont attachés à la rampe de l'escalier : destiné à mourir affamé et assoiffé. Vision horrible et décrite avec les mots de la jeune fille de quinze ans. Il n'y a pas que les humais qui ont souffert.
Les Russes arrivèrent. Les hongrois pensaient être libérés mais la torture continua. L'horreur perdurait.
La famille de Christine réussit à s'échapper. La vie continua à être dure. Ils allèrent dans leur maison de campagne où logeait la tante et sa famille. Malgré leurs survies, ils n'étaient pas les bienvenus. Ils prirent des affaires, se reposèrent et partirent en destination d'un autre pays.
Cette première histoire de 120 pages est difficile à lire : les mots d'une enfant de quinze ans ne sont pas romancés ni agréables à lire. J'ai mis du temps à lire cette partie. Malgré les informations intéressantes, la mise en page m'endormait. C'est pour cette raison qu'il n'y a qu'une *.
Il n'est pas si facile de vivre : 2*
C'est la suite de la première histoire mais cette fois, ce n'est pas un journal intime, bien qu'écrit à la première personne. La lecture est plus agréable et le paysage est décrit. On s'intègre mieux dans le récit, on l'imagine et le vit plus facilement.
Christine vit encore avec ses parents. Ils partirent à Vienne et se présentèrent comme famille de réfugiés. Cependant, à Vienne, il y a des zones de pays donc la liberté n'est pas la même dans chaque rue.
Christine prit la décision de partir seule en France. Avant son départ, elle rencontra Georges, qui devait partir au Pérou. Ils s'écrivirent. A Paris, ils se revirent par hasard. Ils se marièrent et vécurent de nombreuses aventures ensemble. Elle fut gouvernante dans différentes familles. Elle était devenue apatride et ne parlait pas de la Hongrie. L'éducation dans chaque famille était bien différente et elle nous retraça chaque vie.
Ce passage romancé est plus facile à lire. Les informations sont toujours intéressantes. le lecteur découvre l'évolution des réfugiés après cette Seconde Guerre Mondiale. Les français ne sont pas que méfiants envers les Allemands mais les Hongrois également.