Citations sur Le Cycle de Fondation, tome 4 : Fondation foudroyée (58)
"Je ne sais pas... Enfin si, je sais : c'est, je suppose, que, si faible que soit la probabilité d'une catastrophe, pour peu que suffisamment de personnes prennent ce risque, la catastrophe doit bien finir par se produire. [...]"
p.253
" Le fait que l'orateur Gendibal... ignore ou ne sache dire quelle est cette organisation ne signifie pas pour autant qu'elle n'existe pas. Durant la majeure partie de leur histoire, les gens de la Première Fondation n'ont virtuellement rien su de nous et, en fait, continuent quasiment à n'en rien savoir encore aujourd'hui. Mettriez-vous en doute notre existence ?"
Delarmi riposta : "Il ne s'ensuit pas, sous prétexte que nous, nous existons incognito, que pour qu'une chose existe, il lui suffise simplement d'être inconnue." Et elle partit d'un rire léger.
Il me semble, remarqua Pelorat, que le progrès de la civilisation tend essentiellement à limiter la vie privée des gens.
1) Un robot ne peut blesser un être humain ou, par son inaction, permettre qu'un être humain soit blessé; 2) Un robot doit obéir aux ordres qui lui sont donnés par des êtres humains sauf quand de tels ordres s'opposent à la Première Loi; 3) Un robot doit protéger sa propre existence aussi longtemps qu'une telle protection ne s'oppose pas à la Première ou à la Deuxième Loi.
Les Trois Lois de la Robotique.
Partie 74. Chapitre 17: Gaîa, page 430.
Il me semble, remarqua Pelorat, que le progrès de la civilisation tend essentiellement à limiter la vie privée des gens.
Le visage inexpressif de Pelorat fit ce qu'il put pour prendre un air stupéfait. Il dit, hésitant : "Êtes-vous humaine ?"
Trevize conserva son sourire imperturbable. Il répondit : "Quel mal y a-t-il à dire que la ville est sauvée ? Et qu'on y est parvenus sans une guerre ? - Il n'y avait personne à combattre", remarqua Compor.
— J'oublie tout le temps que vous n'avez jamais visité une autre planète. Chaque monde habité a son odeur
spécifique. Due principalement à l'ensemble de la végétation bien que, je suppose, le règne animal — voire les
hommes — y contribuent également. Et autant que je sache, personne n'apprécie jamais l'odeur d'une planète en
y débarquant pour la première fois. Mais vous vous y ferez, Janov. Je vous promets que d'ici quelques heures
vous n'y prêterez même plus attention.
J'ons lu des livres entiers jusqu'à la fin - et même depuis le début, aussi.
Je n'en crois rien, dit Golan Trévise sur les marches devant le palais Seldon, tout en contemplant la cité qui étincelait au soleil .
Terminus était une planète tempérée avec une forte proportion de masses océaniques . L'instauration du contrôle climatique n'avait fait que la rendre plus confortable encore- et considérablement moins attrayante , estimait souvent Trévise .
"Je n'en crois pas un mot", répéta-t-il avec un sourire . Et ses dents blanches et régulières étincelairent dans son visage juvénile ...