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Citations sur À quand les bonnes nouvelles ? (35)

“Fine”, she said, using the universal Scottish word for every state of being from “I’m dying in anguish” to “I’m experiencing euphoric joy.” “Fine”, she said. “I’m fine.”
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L'humour décapant de Kate Atkinson
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Quand on avait des enfants, on mesurait ses années par rapport aux leurs. On ne disait pas "J'ai quarante-neuf ans", mais "J'ai une fille de douze ans".
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Elle était une femme et donc, techniquement parlant, elle pouvait tout faire.
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Si le mystère s'épaissit encore, ça va se solidifier.
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Fernlea était tout ce que Louise redoutait pour elle. Les fauteuils assemblés autour de la télévision dans le salon, l'odeur de cuisine pour collectivités superposée à de vagues mais persistants effluves de désinfectant. Peu importait qu'il y eût un tableau d'affichage proposant des activités pour les résidents (Boules d'intérieur) et des excursions (Jardins de Harlow Carr, Harrogate, déjeuner chez Betty's inclus !), ça demeurait un endroit où on mettait les gens dont personne ne voulait plus. Archie la mettrait dans un endroit comme ça quand elle n'aurait plus ni dents ni cheveux, quand elle ferait sous elle et aurait oublié le prénom de son fils. Elle ne lui jetterait pas la pierre. Patrick ne s'occuperait pas d'elle, c'était un homme, il y avait donc statistiquement de fortes chances pour qu'il soit mort en dépit de son golf, de son vin rouge et de sa natation.
Pas question de venir ici. Elle tirerait sa révérence, elle sortirait par une nuit froide, froide (Je pourrais être partie un certain temps*), se coucherait sous une haie et s'endormirait plutôt que de venir dans un endroit pareil.
* Phrase célèbre prononcée par Lawrence Edward Grace Oates qui sortit de la tente pour mourir dans le blizzard afin de ne pas réduire les chances de survie de ses compagnons lors de l'expédition de Scott dans l'Antarctique en 1912. (NdT)
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Sadie repéra tout de suite Reggie. Elle se mit les pattes devant, les oreilles dressées, comme elle le faisait quand elle montait la garde. Reggie sentit grossir en elle une vague de quelque chose qui ressemblait beaucoup à du bonheur. Ca faisait du bien d'avoir quelqu'un (si tant est qu'une chienne fût quelqu'un) qui était content de vous voir. La chienne agita la queue. Si Reggie en avait eu une, elle l'aurait agitée aussi.
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Reggie regrettait de ne pas avoir de soeur, quelqu'un d'autre qui ait connu et aimé maman pour ne pas être toute seule à entretenir la flamme du souvenir. Quand Reggie mourrait, c'en serait fini de maman. Et quand Reggie mourrait, c'en serait évidemment fini de Reggie.
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Patrick croyait que le vin rouge était bon pour la santé. Il était adepte du régime vin rouge, achetait des caisses d'un vin français qui allait le faire vivre éternellement. Il nageait cinq matins par semaine, jouait au golf deux fois par semaine, avait une attitude positive chaque jour de la semaine. C'était comme vivre avec un extraterrestre qui se prétendait humain. Il se préoccupait aussi de sa santé à elle ("Tu n'as jamais pensé à faire du yoga ? Du taï chi ? De la méditation ?"). Il ne voulait pas se retrouver veuf une seconde fois. Un chirurgien qui perd deux épouses d'affilée, ça ferait mauvais effet.
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"Délicieux", dit Louise à Joanna Hunter en humant le parfum du chèvrefeuille. Elle ne mentait pas, c'était bel et bien délicieux, Joanna Hunter était délicieuse, sa maison était délicieuse, son bébé était délicieux. Tout dans sa vie était délicieux. Hormis le fait que toute sa famille avait été massacrée quand elle était enfant.
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