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3,95

sur 7383 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Appréciant les dystopies, c'est bien naturellement que j'ai sauté sur ce roman "évènement" (depuis l'adaptation tv).
Bien que l'univers y soit glaçant, je trouve qu'il manque au roman un personnage attachant. En effet, je n'ai pas réussi à plaindre, comprendre ou détester notre servante. Son personnage comme le roman est un peu lisse à mon goût. Car que ce soit Winston (1984), Brihx (la zone du Dehors) ou encore Montag (Fahrenheit 451) il faut un "héros" digne avec ses interrogations pour faire un bon roman.
Enfin, j'ai détesté la fin qui pour moi est un gros bâclage, l'impression qu'il restait 5min pour clôturer.
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J'avais commencé ce livre il y a quelques mois mais comme je n'arrivais pas à rentrer pleinement dans l'histoire je l'avais mis en pause et j'ai repris la lecture il y a quelques jours et je dois dire que je n'ai pas vraiment apprécié ma lecture.
Le sujet est intéressant mais il y a trop de retour en arrière ou de dialogue sans transitions ce qui fait qu'on se perd facilement.
Je relierais peut-être un jour ce livre mais sur papier car là je l'avais lu sur liseuse et c'est peut-être aussi ce qui m'avait perdue dans ma lecture.
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Cela fait un bon bout de temps que je souhaitais découvrir ce livre. J'avais l'intention de le lire avant de regarder la série éponyme mais je n'ai pas résisté à la tentation de découvrir « the handmaid's tale » dont on parlait tant.
Je ne sais pas si j'aurais été moins déçue du livre si je l'avais lu avant de voir son adaptation. Toujours est-il que je l'ai trouvé fort lent, plat et descriptif. Je n'avais pas le plaisir de l'effet de surprise puisque je connaissais déjà les rares rebondissements.

Malgré tout, Margaret Atwood a créé un univers vraiment intéressant et interpelant, qui a servi de terreau à une excellente série.
Cette dernière est en soi très fidèle au livre puisque certains passages sont tout à fait identiques (au mot près) mais elle est en même temps plus complexe, plus aboutie, avec des personnages beaucoup plus attachants. Je pense notamment à Serena Joy, qu'on n'arrive pas à aimer mais pas non plus à détester, alors que dans le livre elle n'inspire pas grand chose comme sentiments.
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J'ai vu la série avant de me lancer dans le roman, comme souvent.
En général, le livre vient enrichir le film, approfondir son univers et c'est pour cela que j'aime bien voir le film avant de lire le livre.

Je ne pense pas déjà avoir eu le cas avec une série. Et pour La servante écarlate, ce n'était peut être pas un bon enchaînement de commencer avec la série car à la télévision ,il y a une dynamique, les évènements se succèdent les uns aux autres.
La lecture en revanche m'a parue vraiment lente. On peut associer cette lenteur à la vie de Defred, dans laquelle tout acte est mesuré, contrôlé, surveillé.
Cependant, l'écriture de Margaret Atwood nous permet d'entrer dans son univers parfaitement travaillé. Je ne vais pas entrer dans une analyse de la thématique, ça a déjà été fait dans beaucoup d'autres critiques. Mais ce récit nous amène à réfléchir sur notre vie, sur nos droits et nos privilèges.

J'ai aimé la partie intitulée "Notes historiques" qui était complètement inattendue. Ce passage me fait penser à nos cours d'histoire ou de sociologie dans lesquels on étudie les grands évènements du passé.

Et c'est le sentiment qui me marque le plus en terminant cette lecture. Après quelques années, il est beaucoup plus facile d'analyser les éléments qui ont mené à ces évènements. Les femmes ne peuvent plus avoir de compte en banque à leur nom, c'est un fait ; les femmes ne sont plus autorisées à travailler, c'est un autre fait. Mais sur le moment, qui pourrait dire que la situation va évoluer vers cette exploitation des femmes telle que la connait Defred et toutes les autres ?

Est-il seulement possible d'ouvrir les yeux sur la réalité du moment présent ?

Challenge pavés 2018
Challenge multi-défis 2018 (15)
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Bon alors... Je dois bien reconnaître que je n'ai pas vraiment accroché. Je comprends la célébrité du roman à cause de l'intelligence de l'univers, de l'audace de la construction qui reste toujours dans le flou et du message féministe. Mais pour moi ça été une lecture difficile et peu agréable qui m'a laissée un sentiment de malaise. Je n'avais pas non plus réussi à adhérer à la série télévisée qui doit s'étendre bien au delà de l'action du roman proprement dit.
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Il y a quelques semaines, ma maman m'a offert La servante écarlate de Margaret Atwood que je convoitais depuis un moment sans jamais me l'acheter. Vous le savez si vous suivez régulièrement nos revues séries, Gabrielle et moi avons commencé à regarder la série (The Handmaid's tales) et pour ma part, je me suis arrêtée avant la fin de la saison 1.
J'aime beaucoup l'univers que j'y ai découvert et je n'avais qu'une hâte découvrir le fameux chef d'oeuvre de Margaret Atwood plus en profondeur ! Malheureusement, ça ne c'est pas exactement passé comme prévu. Vous le savez, j'ai horreur de lire les livres après avoir vu les films ou les séries pour deux ou trois raisons: l'adaptation n'est parfois qu'un pale reflet du livre, l'histoire est beaucoup trop prégnante dans ma mémoire pour que je sois surprise par l'histoire ou pire, l'adaptation est mieux que le livre.
Très franchement, je ne sais pas si j'aurais réussi à accrocher à l'histoire sans avoir vu la série avant. Je vais probablement être l'une des rares personnes à le penser vu le succès qu'a eu ce livre mais pour moi ça a été une petite déception. Un "tout ça pour ça" qui m'a laissé un goût d'insatisfaction.
Alors attention, je ne remets absolument pas en cause le travail de Margaret Atwood, avoir imaginé cet univers à cette époque et qu'il ait autant d'écho de nos jours est incroyable. Son univers dystopique, sa réflexion sur la place des femmes dans une telle société est probablement avant-gardiste mais je n'ai pas du tout accroché à la forme du récit.
Le problème c'est que la série est trop bien faite. La série est tellement bien faite qu'elle colle à la narration même de l'auteur. Margaret nous présente June et June raconte son histoire de façon si inclusive, toutes les pensées et toutes les digressions du personnage nous sont contées. On y comprend sa solitude, la façon dont elle a du compartimenter les choses pour survivre. C'est une vraie claque, mais c'est sans surprise. Rien, rien de rien.
Si vous n'avez pas encore vu la série et que vous hésitez à la voir avant de lire le livre, lisez-le avant, ne faites pas la même erreur.

Mon deuxième soucis avec la narration et ce côté très inclusif c'est que même les dialogues sont narrés, pas cette narration avec les guillemets et les tirets à chaque fois, non, narrés. Je déteste ça. J'ai détesté ça et en plus comme je m'ennuyais… vu que je connaissais l'histoire… ça ne m'aidait pas à me réjouir de la lecture.
Mon dernier soucis et je m'arrêterai là sur les points qui ont fait que ma lecture n'a pas été mémorable, ce sont les détails et la fin en elle même, vous le savez surement, la série et la suite de la série surtout vont plus loin que le roman. A tel point que je m'étais arrêté dans la série presque au dénouement final de l'histoire de June. J'ai balisé les vingt dernières pages en voyant que je n'aurais pas plus d'info sur son histoire. Vraiment. L'univers manque cruellement de détail pour moi, on se plaint quand un auteur en fait trop et aussi quand il n'en fait pas assez. J'ai trouvé que les problèmes évoqués et le fonctionnement de Gilead n'était que sous-entendu, énoncés discrètement, j'ai gardé la sensation que toute la violence de la situation était plus transparente dans la série que dans le livre et c'est dommage.

Encore une fois, je tiens à préciser que cela ne reste que mon avis, l'univers construit par Margaret Atwood est génial, le message derrière est important mais j'ai été trop marquée par la série pour apprécié son livre à sa juste valeur et y trouver plus que ce que je n'ai déjà découvert.
La toute fin du livre à un goût d'Inception mais elle n'a pas vraiment su raviver l'attente que j'avais vis à vis de ce livre.

A découvrir avant la série pour en savourer tout le plaisir !
Lien : https://leboudoirbibliothequ..
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Une dystopie dont l'idée de départ est saisissante, cependant je n'ai pas adhéré à l'écriture de l'auteur.
La république de Gilead est une dictature qui emprunte à beaucoup de systèmes déjà existants : les revues brûlées évoquent Fahrenheit 451, "les corps pendus au Mur" aux agissements du Ku Klux Klan, les chiffres tatoués à la cheville des Servantes au nazisme, et "l'étiquette" à respecter au sein de la maison du Commandant rappelle la cour de Versailles. Rien de très nouveau donc, si ce n'est le problème de stérilité que rencontre l'humanité à cause de la pollution ("L'atmosphère est devenu trop saturée de produits chimiques, rayons, radiations ; l'eau grouillait de molécules toxiques").

Par ailleurs il ne se passe pas grand chose dans cette histoire, tout au moins dans la première moitié (250 pages tout de même). le quotidien de Defred est morne ("les longues parenthèses de rien"), constitué d'interdits, de règles et de protocoles, et l'on s'ennuie avec elle ("la quantité de temps inoccupé"). La jeune femme est nostalgique d'une époque révolue (comme on la comprend !) et son récit s'interrompt sans cesse pour revenir à ce passé "douloureux de me voir rappeler". Pour autant on ne sait pas trop comment la société en est arrivée là. Il est juste fait mention d'un coup d'Etat ("C'était après la catastrophe, quand ils ont abattu le Président, mitraillé le Congrès et que les militaires ont déclaré l'état d'urgence").

De manière générale le discours de Defred est confus, plein de non-dits et de reprises ("Ce n'est pas ainsi que cela s'est passé. Voici ce qui s'est passé.") Elle se rattache à ses souvenirs (son mari Luke, sa petite fille qu'on lui a enlevée) pour tenir le coup mais en même temps cela lui est source de souffrance (que sont-ils devenus ?). En tant que femme fertile, son rôle se cantonne à celui "d'utérus à deux pattes", l'acte sexuel étant imposé à dates fixes et dénué de tout sentiment (n'attendez pas dans ce roman des scènes à la Cinquante nuances de Grey !). Et c'est bien cela qui lui manque le plus : aimer et se sentir aimée. Les Commandants ont mis en place (illégalement) des palliatifs mais le résultat n'est qu'une version pitoyable de ce qui existait avant.

Qui dit dictature dit résistance et Defred a vent d'un "réseau", dont font partie sa mère et son amie rebelle Moira. Mais dans cette communauté où l'on ne dispose même pas de la liberté d'expression, comment s'informer sans risquer sa vie ? Les exécutions publiques sont là pour rappeler les limites à ne pas franchir...

La fin nous laisse un peu en plan. Quant aux "notes historiques" qui suivent le récit, je me suis interrogée sur leur pertinence ainsi que sur leur objectif. D'un côté le témoignage de Defred est contesté dans son authenticité, de l'autre cet additif laisse supposer que Gilead n'existe plus, sans que l'on sache, une fois de plus, comment s'est déroulée son éradication.
Bref le roman ne pas pas pleinement convaincue. Reste à savoir si la série est plus prenante !
Lien : https://www.takalirsa.fr/la-..
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Dans une société totalitaire une caste de commandants peut disposer des "servantes" comme ventres, un rituel d'accouplement est programmé tous les mois, dans le but de faire des bébés qui seront ensuite élevés par les femmes des commandants trop âgées pour encore être fécondes. Si le sujet est intéressant par toutes les questions qu'il soulève, je n'ai pas franchement été passionnée, toutes les situations s'étirent en longueur, ce qui peut être volontaire pour créer un parallèle avec la vie de Defred sans perspective, enfermée dans un silence interrompue par quelques échappatoires très risquées. Mêmes les retours en arrière, où Defred pense à sa vie antérieure avec son amoureux Luke et sa fille, dont elle est sans nouvelles, restent à la surface de ces souvenirs.
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Il ne m'a pas particulièrement plu au départ, ni passionné. Les pensées sombres que nous confie la servante nous plonge tout de suite dans sa détresse et la lutte qu'elle mène pour éviter la folie. Car c'est une prisonnière. Asservie par un état de dictature, elle vit dans un pays où la surveillance d'autrui est un sport, pas besoin de verrous aux portes : il suffit de placer des barrières faites de terreur dans les esprits. Régulièrement elle fuit en pensées vers un passé qu'elle doute parfois d'avoir vécu, les souvenirs lui permettent de se rappeler qu'elle n'est pas une chose, mais une mère, une épouse qu'on a réduit à l'état « d'utérus sur patte ». Solitude, ennui, peur, paranoïa et résignation sont ainsi mis en parallèle avec l'amour, insouciance, liberté et joie de vivre d'une époque disparue.
Et puis, les « maitres » deviennent les victimes de leurs propres lois, et doivent se cacher pour profiter des choses qu'ils interdisent. La servante apprend à négocier et rêve de rebellions.
Jamais dans le livre on ne saura son nom, elle est Defred, car elle appartient à l'homme dont le prénom est Fred, jusqu'au jour où elle appartiendra à un autre. On sait très peu de choses sur les autres protagonistes, juste ce qu'elle croit. Ces mystères alourdissent encore plus une ambiance déjà tendue.
Depuis 1985 de nombreuses dystopies ont été écrite, plus ou moins violentes, la condition féminine bafouée, et malheureusement la réalité elle-même est suffisamment riche d'exemples pour que le roman ne soit plus original. Ce qui n'empêche que certains passages pourraient être étudier pour montrer comment il est facile de tomber dans l'horreur.
J'ai particulièrement aimé le dernier chapitre. Pas parce qu'il sonnait la fin d'une lecture désagréable, mais parce qu'il donne un éclairage particulier dont nous prive la série.
Pas de suspense : j'ai préféré la série. Ecrite en collaboration avec l'auteure, de nouvelles histoires sont racontées, notamment celle des « maitres ». Ces derniers ne correspondent pas tout à fait à ceux du roman, mais n'en sont que plus intéressants. L'épouse surtout, véritable moteur dans le couple, initiatrice des lois obscurantistes, elle finit piégé dans un rôle qu'elle avait écrit pour d'autres. Un conseil : regardez là.
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Mon avis:

La servante écarlate est un de ces classiques de la littérature anglaise très connu que j'ai toujours eu envie de lire. J'ai donc profité de sa réédition chez Robert Laffont Poche pour me le procurer. Mon avis en refermant ce livre est en réalité très mitigé. Si j'ai énormément aimé l'intrigue qui est réellement très intéressante et très bien pensée par l'auteure, beaucoup d'aspects du roman cependant m'ont en revanche déçu.

Margaret Atwood nous livre un récit incroyablement révolutionnaire, visionnaire et futuriste pour l'époque, la plaçant ainsi comme l'une des premières inventrice de la dystopie. En raison de problèmes écologiques comme la pollution, économiques comme la chute dramatique de la natalité, ou encore religieux avec la montée du terrorisme, le monde tel que nous le connaissions n'existe plus. Les Hommes à cause de leur soif de pouvoir, de grandeur et d'argent, ont créé un monde cauchemardesque dans lequel les femmes fertiles sont kidnappées et mises au service du gouvernement religieux afin de repeupler la planète qui est en voie d'extinction. Un monde totalitaire où les femmes sont les victimes sexuelles d'un pouvoir abusif sous prétexte de protéger le peuple, un monde où règne la peur et l'obscurantisme dans lequel des purges sont organisées pendant lesquelles les opposants au régime mis en place sont mutilés ou tués.

C'est un récit complémentent déstabilisant et qui fait peur car à travers l'histoire de ces servantes écarlates, c'est le monde dans lequel nous vivons actuellement qui est remis en question. On se rend compte que tout peut basculer à tout moment, que certains problèmes rencontrés dans ce monde pourraient être également les nôtres dans quelques années. C'est la lâcheté du gouvernement qui est également mise en avant, un gouvernement qui refuse de porter les responsabilités d'un tel chaos, et qui aujourd'hui est transformé en bourreau. J'ai donc trouvé l'univers créé complètement fou et ainsi complètement passionnant du fait de la crédibilité de certains faits.

Cependant malgré l'originalité et la profondeur du récit je me suis parfois beaucoup ennuyée, car l'héroïne qui se nomme Defred reste dans la contemplation et la méditation. Il y a très peu d'actions finalement car son arrivée dans la clandestinité qui nous est annoncée dans le résumé n'intervient que dans les dernières pages du roman. Nous allons être tout au long du récit dans son esprit, dans les souvenirs qu'elle conserve encore de sa vie d'avant avec son mari Luke et sa fille, on va comprendre aussi petit à petit ce qu'il s'est passé et pourquoi le monde est devenu tel qu'il est actuellement. Malgré tout j'ai refermé le livre avec énormément de questions, notamment en ce qui concerne sa famille dont nous ne connaissons pas le sort, mais aussi en ce qui concerne la fin qui est une fin ouverte et qui ne nous permet donc pas de comprendre ce qu'il advient de Defred.

Je me suis malgré tout beaucoup attachée à cette jeune femme qui a tout perdu du jour au lendemain, sa famille, son identité et sa dignité. En tant que servante du peuple elle n'est plus rien, son corps ne lui appartient plus et pourtant elle nous parle de sa nouvelle vie avec beaucoup d'ironie. Elle est très touchante dans sa manière de voir les choses et de supporter ce quotidien difficile et glacial fait de privations et de soumissions en se raccrochant aux souvenirs de sa vie d'avant et à l'écriture qui lui apporte un réconfort et un échappatoire certain. A travers ses yeux nous assistons aux "copulations" qu'elle subit dans le but d'arriver à procréer et aux cérémonies d'accouchement qui sont ici décrites comme des traditions dans lesquelles les femmes ne sont plus que des objets que l'on manipule et que l'on exhibe pour le bien de la société.

Le roman est en réalité emprunt de pensées féministes qui dénoncent de façon indirecte et silencieuse l'interdiction pour une femme de disposer de son propre corps, d'avoir un rapport sexuel uniquement pour le plaisir, ou encore d'avorter librement. Je ne peux donc que vous conseiller de le découvrir pour l'univers dystopique, pour le rôle de la femme qui y est décrit, mais aussi pour la peur qui est insufflée, celle d'être à un moment donné victime d'un pouvoir abusif.

Pour conclure:

Un récit cauchemardesque et un brin féministe, incroyablement révolutionnaire pour l'époque que j'ai apprécié pour tous les sous-entendus et pour les réflexions qu'il apporte sur notre propre société. L'ambiance est saisissante car pleine de tension, dérangeante et glaciale, mais malheureusement l'auteure reste trop à mon sens dans la contemplation. le récit manque ainsi cruellement d'actions, et la fin ouverte ne m'a pas semblé très claire.

Ma note: 15/20.
Lien : http://autantenemportelesliv..
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