AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,53

sur 163 notes
C'est une très bonne histoire. J'ai beaucoup aimé l'écriture sous forme de journal. le récit est un jeu entre deux voix qui se cherchent, s'épient, se menacent, c'est très bien fait. La tension est forte tout au long du récit, il y a beaucoup de mystère et on se pose beaucoup de questions sur tous les personnages.
Commenter  J’apprécie          00
C'est une belle arnaque, ce livre au titre racoleur qui profite de la notoriété d'un autre pour se faire une place au soleil.
C'est vrai qu'il n'a pas les moyens de se faire une réputation par lui-même, car c'est un polar glauque et peu crédible, à lire uniquement si vous n'avez rien d'autre sous la main.
Commenter  J’apprécie          00
Le Docteur March a quatre fils du même âge. Sa femme est malade suite à la mort d'un cinquième et Jeanie, veille sur elle en même temps qu''elle est bonne dans la famille. Jeanie tient aussi un journal intime à propos de ses découvertes dans cette maison étrange où parmi ces quatre frères, beaux, grands, blonds et intelligents, se cache un assassin qui rédige lui aussi son journal intime et que Jeanie ne tarde pas à découvrir. le jeu consiste alors de percer le mystère car l'assassin avoue être l'un des quatre jeunes gens qui tue les jeunes et les filles dans leur entourage. Les meurtres semblent liés à une frustration sexuelle et Jeanie n'a rien d'un limier flegmatique dans ce chassé-croisé de schizophrènes, car son goût prononcé pour la bouteille en général et le gin en particulier embrume ses idées.
Le roman est écrit comme un match de tennis, les chapitres utilisent d'ailleurs les termes empruntés à ce sport : "revers, balle de match etc...". A travers ces échanges de diaristes, Brigitte Aubert brosse un portrait très "Le Quesnois" de cette famille visiblement américaine, espèce d'idéal du rêve américain comme peuvent en témoigner les publicités ou les illustrations des années cinquante. La sauce prend bien, la narratrice enquêtrice pour laquelle le lecteur prend d'abord parti, n'est pas un modèle de probité et de vertu mais il ne peut pas décemment adhérer à celui de l'assassin mégalo et schizophrène en puissance.
Un polar palpitant bien que la fin soit un peu décevante voire conventionnelle.
Commenter  J’apprécie          00
Petit thriller rapidement fini, j'ai trouvé le livre moyen. Moi aussi j'ai trouvé que ça tournait en rond, sans doute parce qu'il n'y a tout simplement pas d'indices qui nous amène tranquillement vers la solution. Donc, cette solution nous est donnée à la fin, explosive et soudaine...ou pas..enfin, disons que j'avais envisagé la solution, puis abandonnée. Cependant, j'ai tenu jusqu'à la fin, curieuse que je suis de savoir qui est donc ce psychopathe qui haïs tant les femmes.
[Masquer] Je suis surprise que les fils aient accepté la vérité de leur frère psychopathe aussi docilement. L'un d'eux aurait pu traduire un malaise qui nous aurait orienté vers un coupable parmi la fratrie, Ç'aurait été un moyen de nous mener vers d'autres solutions et sans doute psychologiquement plus logique.[/masquer]
J'ai tout de même apprécié le dialogue entre les deux personnages, un peu à la manière d'un duel ou d'une guerre de mots.
Commenter  J’apprécie          00
Un petit livre sympa, agréable à lire et à la construction originale. Il a de plus le mérite de ne pas être trop long (240 pages) car au delà, la forme choisie par l'auteure serait devenue fatigante. Brigitte Aubert, selon moi, a su éviter d'en arriver à cela et nous délivre de surcroît un épilogue inattendu tout en restant crédible. Cela n'était pourtant pas gagné d'avance car pour un roman tel que celui-ci, ce qui est attendu plus que tout est la révélation finale qu'on sait par avance être un coup de thêatre. C'est donc dans cette attente qu'on lit le roman mais c'est à double tranchant : si la fin est décevante, on est déçu par l'ensemble du roman, si elle est convaincante et nous surprend, on est satisfait, ce qui pour ma part fut le cas.
Commenter  J’apprécie          00
Brigitte Aubert réussit à maintenir le suspense jusqu'à la fin de son roman, même si mon petit cerveau un peu affûté par trop de romans noirs avait susurré à mon oreille quelques hypothèses dont l'une s'avéra assez juste. Elle joue essentiellement avec la psychologie de ses personnages, faisant naître des sentiments, des émotions, de la peur à la colère, qu'elle réussit assez justement à faire partager au lecteur, le tout dans un espace confiné, créant une atmosphère de huis-clos d'autant plus inquiétante...
Lien : http://croqlivres.canalblog...
Commenter  J’apprécie          00
Ma préférée est Jo, comme tout le monde je pense...
Commenter  J’apprécie          00




Lecteurs (376) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz sur le livre "Le couturier de la mort" de Brigitte Aubert.

Quel chien a la petite vieille de la ruelle au début du roman ?

un teckel
un caniche
un yorshire

10 questions
1 lecteurs ont répondu
Thème : Le couturier de la mort de Brigitte AubertCréer un quiz sur ce livre

{* *}