Brenna AubreyDéjouer le système tome 5 sur 10
/5 5 notes
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Résumé :
Il sait jouer de tout, sauf des femmes...William Drake est un génie. Un artiste avec une mémoire photographique et la concentration nécessaire pour réussir tout ce qu'il entreprend. En plus, il est propriétaire d'une partie d'une entreprise de jeux vidéo valant des milliards de dollars. Un homme comme lui, vingt-six ans, riche et beau ne devrait avoir aucun problème pour plaire aux femmes. Sauf que lui, si. Plus précisément ? et William, obsédé par les détails, est ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Sacré challenge pour développer une romance entre William et Jenna. Sachant que William souffre du syndrome d'Asperger et Jenna est une jeune fille bien moderne. Avec le dernier chapitre du tome Jordan, je m'attendais à du lourd mais j'ai ressenti les lacunes que ma binôme Missnefer souligne....
Je note d'abord le point fort : William. Seulement William...
Suis-je trop tatillon? Oh que oui! Après plus de 500 critiques en roman d'amour je commence à noter sévère. Je ne demandais pas que Brenna Aubrey alimente mes fantasmes mais qu'elle pousse un peu plus sur la relation William/Jenna sachant qu'il y avait une donnée particulière dans cette romance. Je ne connais rien au syndrome et j'espère qu'elle a su se documenter avant de se lancer. Elle aurait pu le préciser dans ses remerciements. Elle a su crée un personnage touchant et époustouflant mais la romance passe encore à la trappe.
QU'en est il d'ailleurs?
Pff quel gâchis d'être passée à côté encore une fois. Je suis frustrée car il y avait une très bonne trame, une très bonne intrigue romance et l'auteure passe à côté. Pourquoi nous donner un chapitre Mia au lieu de continuer sur William en Bosnie? Pourquoi ne pas avoir écrit des chapitres au moment de la relation Doug/Jenna pour découvrir les réactions de William? Pourquoi encore s'attarder sur le milieu Geek alors qu'elle aurait faire interagir William avec sa famille, ses amis.....? Comment peut on se prendre d'affection pour Jenna encore inconnue au bataillon qu'on découvre juste comme un blonde qui change de mec comme de chemise? Qui ne remarque jamais William sauf pour dire qu'il est canon.
L'auteur n'arrive pas à gérer son histoire sur la longueur.
Autre point que je veux souligner. Ce changement de temps utilisé entre chapitre William et Jenna m'a fait perdre les pédales. Je me suis demandée si on changeait de scène.
Alors voilà, je suis blasée pour alors qu'il y avait une bonne base, une très bonne trame et des scènes intéressantes. La mayonnaise Brenna Aubrey prend une fois sur deux.
Je préviens ma binôme Maribel je n'ai plus envie de continuer. Son dernier chapitre m'a coupé dans mon élan.
Je note d'abord le point fort : William. Seulement William...
Suis-je trop tatillon? Oh que oui! Après plus de 500 critiques en roman d'amour je commence à noter sévère. Je ne demandais pas que Brenna Aubrey alimente mes fantasmes mais qu'elle pousse un peu plus sur la relation William/Jenna sachant qu'il y avait une donnée particulière dans cette romance. Je ne connais rien au syndrome et j'espère qu'elle a su se documenter avant de se lancer. Elle aurait pu le préciser dans ses remerciements. Elle a su crée un personnage touchant et époustouflant mais la romance passe encore à la trappe.
QU'en est il d'ailleurs?
Pff quel gâchis d'être passée à côté encore une fois. Je suis frustrée car il y avait une très bonne trame, une très bonne intrigue romance et l'auteure passe à côté. Pourquoi nous donner un chapitre Mia au lieu de continuer sur William en Bosnie? Pourquoi ne pas avoir écrit des chapitres au moment de la relation Doug/Jenna pour découvrir les réactions de William? Pourquoi encore s'attarder sur le milieu Geek alors qu'elle aurait faire interagir William avec sa famille, ses amis.....? Comment peut on se prendre d'affection pour Jenna encore inconnue au bataillon qu'on découvre juste comme un blonde qui change de mec comme de chemise? Qui ne remarque jamais William sauf pour dire qu'il est canon.
L'auteur n'arrive pas à gérer son histoire sur la longueur.
Autre point que je veux souligner. Ce changement de temps utilisé entre chapitre William et Jenna m'a fait perdre les pédales. Je me suis demandée si on changeait de scène.
Alors voilà, je suis blasée pour alors qu'il y avait une bonne base, une très bonne trame et des scènes intéressantes. La mayonnaise Brenna Aubrey prend une fois sur deux.
Je préviens ma binôme Maribel je n'ai plus envie de continuer. Son dernier chapitre m'a coupé dans mon élan.
Citations et extraits (3)
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— Tu es comme ma propre fille. Tu le sais. Je te le dis tout le temps. La seule chose pire que de perdre Braco, ce serait de te perdre aussi.
— Mais…
— Il n’y a pas de mais. Tu te lèves. Tu te laves le visage et tu vas voir cet homme. Tu lui dis ce que tu ressens, d’accord ? Tu lui dis que tu l’aimes et que tu veux être avec lui. Sois courageuse, Janja. Il faut du courage dans cette vie, car si tu n’en as pas, la vie et les circonstances te réduiront en poussière.
Sois courageuse, Janja .
Mes poumons brûlaient quand je respirais et ma gorge était bloquée par les larmes. J’avais terriblement mal aux yeux, pourtant les larmes continuaient à couler. Je ne savais pas du tout d’où elles venaient.
Je secouai la tête.
— J’ai si peur.
Elle me caressa les cheveux.
— Nous avons tous peur. Chaque jour que nous sommes ici, nous ne savons pas ce qui va se passer. Mais la vie est faite pour être vécue. Penses-tu que si j’avais le choix, je retournerais dans le temps et j’éviterais d’avoir un fils, juste pour éviter la douleur de l’avoir perdu ? Non. Jamais . J’ai porté ce bébé et je l’ai élevé et je l’ai tenu dans mes bras et je l’ai embrassé et je l’ai aimé. Et je me souviens comme il était merveilleux. Oui, je pense à l’homme incroyable qu’il serait devenu, mais je suis reconnaissante de chaque jour qu’il a passé sur cette terre. Je ne le regretterai jamais. Et tu ne le devrais pas non plus.
Je me frottai les yeux, entendant la vérité dans ces mots, et soudain un calme inexplicable descendit sur moi. La douleur et le chagrin étaient toujours là, mais il y avait aussi du réconfort. Il y avait de l’amour. L’amour que je ressentais pour Helena. La gratitude que j’éprouvais de l’avoir dans ma vie.
Et elle avait raison. Si j’avais le choix, je serais retournée en arrière et j’aurais tout revécu. J’étais très reconnaissante du temps que j’avais passé avec Brock. Des souvenirs. De ma relation avec ses parents incroyables. Tout. Pas de regrets.
— Mais…
— Il n’y a pas de mais. Tu te lèves. Tu te laves le visage et tu vas voir cet homme. Tu lui dis ce que tu ressens, d’accord ? Tu lui dis que tu l’aimes et que tu veux être avec lui. Sois courageuse, Janja. Il faut du courage dans cette vie, car si tu n’en as pas, la vie et les circonstances te réduiront en poussière.
Sois courageuse, Janja .
Mes poumons brûlaient quand je respirais et ma gorge était bloquée par les larmes. J’avais terriblement mal aux yeux, pourtant les larmes continuaient à couler. Je ne savais pas du tout d’où elles venaient.
Je secouai la tête.
— J’ai si peur.
Elle me caressa les cheveux.
— Nous avons tous peur. Chaque jour que nous sommes ici, nous ne savons pas ce qui va se passer. Mais la vie est faite pour être vécue. Penses-tu que si j’avais le choix, je retournerais dans le temps et j’éviterais d’avoir un fils, juste pour éviter la douleur de l’avoir perdu ? Non. Jamais . J’ai porté ce bébé et je l’ai élevé et je l’ai tenu dans mes bras et je l’ai embrassé et je l’ai aimé. Et je me souviens comme il était merveilleux. Oui, je pense à l’homme incroyable qu’il serait devenu, mais je suis reconnaissante de chaque jour qu’il a passé sur cette terre. Je ne le regretterai jamais. Et tu ne le devrais pas non plus.
Je me frottai les yeux, entendant la vérité dans ces mots, et soudain un calme inexplicable descendit sur moi. La douleur et le chagrin étaient toujours là, mais il y avait aussi du réconfort. Il y avait de l’amour. L’amour que je ressentais pour Helena. La gratitude que j’éprouvais de l’avoir dans ma vie.
Et elle avait raison. Si j’avais le choix, je serais retournée en arrière et j’aurais tout revécu. J’étais très reconnaissante du temps que j’avais passé avec Brock. Des souvenirs. De ma relation avec ses parents incroyables. Tout. Pas de regrets.
— Jenna.
— William, répondis-je.
— Dis-moi que tu ne partiras plus. Sauf si tu me prends avec toi.
— Je n’irai nulle part sans toi si je dois me sentir aussi mal qu’au cours de ces dernières semaines.
Il serra ses bras plus fort autour de moi.
— Essayons de ne plus être aussi stupides, dit-il. Nous sommes faits pour être ensemble.
— Allez, viens, nous allons tester encore une fois tes capacités à supporter la foule, au moins pendant un petit moment. Nous devons nous rendre à la fête du mariage. Et il faut que je montre mon bel Américain.
Il rit.
— William, répondis-je.
— Dis-moi que tu ne partiras plus. Sauf si tu me prends avec toi.
— Je n’irai nulle part sans toi si je dois me sentir aussi mal qu’au cours de ces dernières semaines.
Il serra ses bras plus fort autour de moi.
— Essayons de ne plus être aussi stupides, dit-il. Nous sommes faits pour être ensemble.
— Allez, viens, nous allons tester encore une fois tes capacités à supporter la foule, au moins pendant un petit moment. Nous devons nous rendre à la fête du mariage. Et il faut que je montre mon bel Américain.
Il rit.
Je me laissai glisser le long du mur à côté de la porte, me roulant en boule, le visage contre mes genoux. Je pensais qu’il ne me restait plus de larmes à pleurer. J’avais tort.
Même si j’avais été prête à tout jeter dans ma panique et ma peur plus tôt dans la journée, je n’étais pas prête à perdre ceci.
Mais prête ou pas, cela se produisait. Et il n’y avait rien de plus que je puisse faire.
Même si j’avais été prête à tout jeter dans ma panique et ma peur plus tôt dans la journée, je n’étais pas prête à perdre ceci.
Mais prête ou pas, cela se produisait. Et il n’y avait rien de plus que je puisse faire.
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