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Thriller politique ?
Roman d'espionnage ?
Polar à tendance fantastique ?...
... disons que "Transparences" est un subtil mélange de tout cela.

Roman inclassable, donc, à l'image de son héroïne, Ann X., personnage déroutant et atypique.
La mission de Stephen, psychologue en criminologie ayant récemment intégré les bureaux d'Interpol à Lyon, est justement de tenter de faire la lumière sur l'énigme que représente cette jeune femme, dans le but de la localiser et de la neutraliser. Il faut préciser qu'Ann aurait plus de mille meurtres à son actif, et cette longue série a débuté alors qu'elle n'avait que 12 ans, lorsqu'elle a assassiné ses parents et un de leurs couples d'amis, armée d'un sabre japonais. Cet acte fut motivé par le fait que les quatre adultes abusaient sexuellement d'elle régulièrement. Internée dans un institut psychiatrique dont elle s'est échappée par la suite, elle est depuis devenue insaisissable. Maintenant âgée de 25 ans, les seules traces qu'elle laisse derrière elle sont les cadavres de ceux qui ont eu le malheur de croiser sa route et de menacer son intégrité et son indépendance. Personne ne connaît sa véritable identité ou ne sait à quoi elle ressemble puisque, bizarrement, les rares témoins qui l'ont aperçue se livrent à des descriptions contradictoires ou l'ont totalement oubliée. Même les vidéos des caméras de surveillance qui l'ont filmée sont inexploitables car le visage de la jeune femme y apparaît systématiquement brouillé... C'est à se demander, même, si elle existe ! Stephen, lui, en est persuadé. Son investissement dans cette affaire, longue et décourageante, s'apparente à une épreuve, tant professionnelle (l'aspect manipulateur et hermétique du monde des services secrets y est pour beaucoup) que personnelle, car source de remise en question de sa propre personnalité.

Ce résumé ne vous donnera qu'un infime aperçu de la complexité de l'intrigue de ce roman, mais il serait dommage de trop en dévoiler. C'est en tous cas un récit captivant, dont l'action, riche en rebondissements, est menée tambour battant, mais pas seulement... en effet, l'auteur, au-delà de l'aspect purement scénaristique de son récit, sait exploiter les événements mis en scène pour aborder les problématiques sociétales et politico-économiques de notre monde. "Transparences" est un roman dense et brillant car parfaitement maîtrisé en dépit de la variété des thèmes qui y sont abordés.

A découvrir...
Lien : https://bookin-ingannmic.blo..
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Et un bijou de plus à l'actif de Ayerdhal.

Mais cette fois, l'auteur du « Chant du Drille » paru chez le même éditeur récemment, nous offre un polar. Première incursion dans ce domaine, et pour un coup d'essai c'est un coup de maître.

Stephen Ballanger, psychologue québécois spécialisé en criminologie, s'est installé à Lyon pour travailler chez Interpol. A la demande de son chef, il se voit confier un dossier que bon nombre aurait considéré comme une mise à l'écart. Recenser et regrouper des informations sur les crimes non résolus depuis 20 ans en Europe, afin d'établir d'éventuels recoupements. C'est donc dans ce contexte qu'il exhumera le dossier Ann X. Dossier étrangement vide, qui entraînera Stephen sur les traces d'une mystérieuse tueuse en série qui ne laisse jamais la moindre trace, pas même dans la mémoire des témoins. Plus troublant encore, les caméras de surveillance gardent systématiquement une image floue de son visage…

Pour ceux d'entre vous qui ont lu « les futurs mystères de Paris » de Roland C. Wagner, le concept de transparence ne vous sera pas étranger, puisque c'est lui qui en a inventé le concept avec son personnage Temple sacré de l'aube radieuse (Tem pour les intimes). Toutefois, dans le roman d'Ayerdhal, ce concept est vraiment poussé à son maximum. Chaque aspect de la transparence est analysé, décortiqué lui donnant ainsi une véritable cohérence. Vu sous cet angle, le don d'Ann X ne semble plus si invraisemblable et du coup, il n'est plus très étonnant de retrouver ce livre dans le rayon Polar et non SF de votre librairie favorite. On notera que l'auteur rend un petit hommage à R.C. Wagner, en laissant entendre qu'il a sûrement dû croiser la route de Ann X.

Au-delà de l'intrigue elle-même, les grands atouts de cette histoire sont les personnages. Rien n'est laissé au hasard, et tous les protagonistes sont détaillés avec brio.
Stephen, le profiler, tombe les filles sans vraiment savoir pourquoi. Son unique ami est un SDF avec qui il partage ses confidences et le petit-déjeuner sur un banc des vieux quartiers de Lyon. Et lorsqu'il rentrera de plain-pied dans le dossier Ann X, tout son équilibre psychologique prendra une grosse claque, mais on ne perdra pas une miette du cheminement de ses pensées.
Ann X débute sa carrière de tueuse en série à l'âge de 12 ans lorsqu'elle tue, à l'aide d'un sabre japonais, ses parents et un couple d'amis qui abusaient d'elle sexuellement. À la fois fragile et redoutable, Ayerdhal réussi la prouesse de ne la rendre ni attachante ni détestable.

Avec une maîtrise totale de l'intrigue et de ces personnages, l'auteur entraîne son lecteur avec aisance à travers les ramifications parfois complexes de son histoire. À n'en pas douter ce gros pavé réjouira un large public et c'est tant mieux pour Ayerdhal qui mérite vraiment de faire un carton avec ce livre.
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Heureuse surprise ! Dans un des placards de notre "chez-soi" temporaire Bayonnais, une pile de livres. Pas forcément à mon goût mais comme en matière culinaire, ne faut il pas, de temps en temps, aller voir ailleurs ? (en cuisine, ai-je dit, pas en amour).
Et ma foi, je me suis laissé prendre par le récit. Un criminologue d'Interpol est chargé de retrouver une jeune tueuse en série soupçonnée de plus de 1000 meurtres dans le monde. Si la fin se devine comme le nez au milieu de la figure, il n'en demeure pas moins que le texte est bien écrit et les méthodes d'investigation, intéressantes à découvrir.
Un pas trop mauvais livre pour les vacances.
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Lorsqu'il arrive à Interpol, Stephen se voit confier le dossier explosif de Anne X, une meurtrière dont on lui attribue environ mille morts. Les premiers commis, alors qu'elle avait douze ans, ont été ses parents et parents adoptifs, transfuge de l'est à l'ouest ? Pourquoi une double famille ? Comment une enfant de cet âge a-t-elle pu trucider quatre adultes et en épargner un ? D'autant que le massacre s'est effectué à l'arme blanche : un sabre de samouraï, qu'un maître japonais, questionné, estime improbable pour une préadolescente.

Les faits sont là pourtant et bon nombre d'exactions commises depuis lors accusent Anne X dans la détermination, la rapidité d'exécution et la manière. A l'époque où Stephen reprend le dossier, soit en 1998, Anne X a 28 ans. Ce dernier est surpris par le peu d'éléments qui lui sont communiqués. Son prédécesseur, une femme, a démissionné pour raisons de santé, atteinte qu'elle est de la maladie d'Alzheimer. Difficile de chercher une ouverture de ce côté. Homme pugnace et méthodique, Stephen avance, souvent à l'aveuglette, mais il avance, ce qui n'est pas du goût de tout le monde. Il raisonne et pose les bonnes questions aux mauvais interlocuteurs et très vite il va apprendre à ses dépens que la vie de criminologue n'est pas de tout repos.

Anne X est une ombre, invisible ou plutôt visible mais jamais reconnaissable, elle est passée maître dans l'art du déguisement, elle est transparente. Sur chaque scène de crime, le scénario se répète invariablement, oui il y avait une femme, oui elle a disparu comme elle est venue et sur deux cent cinquante témoins, tous interrogés, aucun témoignage ne concorde. de plus, lorsque la scène est filmée par des caméras de surveillance, le personnage susceptible d'être le coupable a le visage flou et non reconnaissable.

Il est difficile pour un expert criminologue, psychologue de surcroit, de définir une hypothèse sur des bases aussi mouvantes. Homme de réflexion plus que d'action, Stephen devra endosser son costume d'espion ou, pour le moins d'enquêteur et aller sur le terrain. Les hostilités vont se déclencher mais pas de la part de ceux, celles, dont on aurait pu s'attendre. Qui surveille Stephen, qui place des micros un peu partout dans son espace vital ? Amis protecteurs ? Ennemis destructeurs ? Anne X ? Allez savoir et si c'était tout ce beau monde, hein ?
Michel, SDF lyonnais et le seul ami de Stephen, ils petitdéjeunent ensemble, sur le banc du premier, c'est le confident, c'est lui l'origine du mot transparent, n'est-il pas lui-même transparent pour les autres qu'est-ce qu'un SDF au fond ? Dans l'esprit du commun des mortels, du chaland qui passe ? Qui se souvient d'un type affalé sur un banc avec une couverture dégueulasse sur lui, hein, qui ? Habituellement on regarde devant soi et on passe son chemin des fois qu'il vous tape de cent balles ! Il a raison le Michel et il va devenir les yeux de Stephen. C'est, d'ailleurs ou ici, c'est vous qui voyez, lui qui prévient et constate la surveillance, surtout des pépés balancées comme des Chryslers.

Il finira par trouver Stephen, oh, il y aura une bêtise, une bavure anodine mais conséquente d'un certain service d'une certaine grande puissance, connu sous un sigle de trois lettres dont je ne ferai pas la pub ici, n'émargeant pas chez eux, donc tintin pollop les gars ! C'est vrai, quoi, la même personne, sauf ayant le don d'ubiquité, ne peut se trouver à deux endroits à la fois (j'en connais qui arrivent à être à la messe et au bistrot en même temps, c'est pas donné à tout le monde cependant !). Grave erreur s'il en fut et ce détonateur remettra en cause la véracité des mille morts et l'implication systématique d'Anne dans ces meurtres qui, a n'en pas douter, arrangent d'autres malveillants.

Cette fable philosophique qui replace les puissants là où ils sont, c-à-d dans la boue jusqu'au cou, notamment du fait de leur course effrénée au pognon est intéressante parce qu'habilement contée par un homme qui sait beaucoup de choses que beaucoup savent également mais se voilent la face, sinon l'ordre du monde risquerait d'être changé (voyez ce qui se passe actuellement dans certains pays) et la pyramide aurait des difficultés à rester stable sur ses bases. Il n'y a rien de nouveau, certains nous avertissent régulièrement, mais, hein, avec nos p'tits bras...
Ayerdhal prend un gros risque avec certaines assertions, certaines corrélations que je n'aurais pas osé faire, passer de l'assassinat de Kennedy aux attentats du 11 septembre c'est aller vite en besogne, mais allez savoir...

L'écriture est de haute volée, un peu trop car il faut lire avec un dico, personnellement j'ai supprimé le dico, donc les termes scientifico-neurologico-médicaux relatifs à des maladies des boyaux de la tête, me resteront étrangers, sans remords, vrai ! Néanmoins c'est bien écrit, facile à lire et poignant, l'enquête difficile, les différents services d'espionnage ou de défense des territoires concernés sont, habilement, rendus. Bref pas d'ennui lors de cette lecture.

Et puisqu'on parle de psy...quelque chose, le transfert bien connu est agréablement mené et sympathique dans son contexte et celui du livre.

Je recommande cette lecture qui peut convenir à tous.
Je ne connaissais pas Ayerdhal, qui est un pseudo, je ne regrette rien !

Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Excellent et pour moi inclassable : pas un thriller, pas vraiment un polar, pas de S.F. non plus ...mais pas ordinaire et très "prenant"
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Un thriller aux multiples rebondissements sur un rythme effréné.

Stephen Bellanger vient d'intégrer Interpol. Avec sa formation en psychologie, sa mission est de reprendre toutes les affaires non classées des 20 dernières années pour essayer de réaliser des recoupements. Lorsqu'il découvre le cas Anne X, sa vie bascule...
Cette jeune fille qui a assassiné ses parents 10 ans auparavant a semé plus de 1000 cadavres sur son passage ! Qui est-elle? Agit-elle sous les ordres de quelqu'un?
Pourquoi le FBI/NSA/... sont sur sa piste et veulent la tuer?
Stéphen, au péril de sa vie, va mener l'enquête pour découvrir la vérité... plus proche qu'il ne le pense!

Ce thriller est haletant. Bien que parfois il soit difficile de bien suivre toutes les implications, il a une véritable dimension politique intéressante. Plusieurs agences gouvernementales sont impliquées et entre faux semblants, stratégies et manipulations, chacun essaie de tirer son épingle du jeu.
Les "gentils" et les "mechants" ne sont pas toujours ceux que l'on croit et tout n'est pas tout blanc ou tout noir...
Saurez-vous démêler le vrai du faux ?
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Stephen, Québécois, grand séducteur malgré lui, psychologue spécialisé en criminologie, travaille au siège d'Interpol à Lyon. Dans sa partie, c'est un génie. Un sacré caractère aussi, authentique, droit, farouchement indépendant, mais aussi têtu comme une mule avec un zeste de rébellion et une forme de naïveté.

Sa mission : effectuer une méta analyse d'une multitude de dossiers de meurtres irrésolus, mais qui renvoient à un personnage tellement énigmatique que la question de son existence-même se pose. Ce personnage, c'est Ann X, parricide à 12 ans, soupçonnée depuis lors de plus de 1000 meurtres, exclusivement à l'arme blanche.

On a beaucoup parlé de Lisbeth Salander, la fantastique héroïne de Millenium, mais avec Ann X, Ayerdhal a créé l'une des héroïnes les plus fabuleuses de l'histoire du roman. Avec tout le respect (et même l'amour) que j'ai pour elle, Lisbeth Salander peut aller se rhabiller. Ann X, c'est l'archétype de la femme fatale, douée de talents à la qui nous emmènent à la limite du fantastique, notamment cette faculté à la "transparence" qui donne son titre au livre ; un mélange de Kill Bill et de James Bond au féminin, une intelligence qui ferait passer Einstein pour un déficient mental, le tout mis en musique par Ayerdhal dans son style unique et inimitable, sans parler d'un suspense qui monte crescendo : un pur régal.
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Mon thriller préféré.
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Je n'ai honnêtement pas aimé ce livre. le personnage principale, fade et antipathique, travaille à Interpol. Il a pour pote un clodo à qui il confie toutes ses infos top secrètes d'Interpol (super agent). le clodo, en même temps, c'est pas une mauviette. Bref, le gentil traque une femme surdouée, genre le Caméléon, mais elle tue plein de gens pépére en pleine rue (> 1000). Elle est tellement douée qu'en fait les gens qui la croisent sont infichus d'en donner une description (hein ? #1), voire même, ils ne se souviennent plus de l'avoir vue (hein?? #2 ). Ah oui et aussi, quand le gentil a envie de copuler avec un personnage de sexe féminin, il suffit qu'il aille dans le parc de la Tête d'Or, il attend, et à chaque fois une femelle vient à sa rencontre parce qu'elle tombe raide dingue du type...
Notez que ça ne me dérangerait pas si c'était clairement un thriller fantastique.

Pour conclure, je dirais qu'on a plutôt l'impression de lire un film-navet holywoodien plutôt qu'un thriller. Je vous invite à comparer les deux extraits ci-dessous et à deviner lequel provient du livre, et lequel de "Terrain Miné", avec Steven Seagal en personnage vedette :
Extrait 1 :
"Alors que tous les enfants de l'établissement se font un plaisir de profiter des sessions qu'une école de cirque organise dans l'enceinte du centre, Ann s'assoit un peu en trait et refuse de s'essayer aux exercices de jonglerie ou de funambulisme prisés par ses camarades. Jusqu'au jour où elle se lève sans dire un mot pour aller jongler avec trois quilles, un mètre au dessus de la piscine sur un cable tendu entre deux piquets qu'elle parcourt plusieurs fois sans un faux pas."
Extrait 2 :
"Mon contact à Washington dit qu'on n'a pas affaire à un élève mais au professeur. C'est le genre de type qui boirait un bidon d'essence pour pouvoir pisser sur ton feu de camp. C'mec là tu le débarques au pôle nord sur la banquise, avec un slip de bain pour tout vêtement sans une brosse à dent et demain après midi tu le vois débarquer au bord de ta piscine avec un sourire jusqu'aux oreilles et les poches bourrées de pessos"

Délicat, non ?
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Mes amis, amateurs de thrillers, fans de polars complotistes, notez ce titre d'un auteur qui fut probablement l'un des meilleurs raconteurs d'histoires, ou en tous cas le plus inventif. Cette histoire nous conte quatre années de la vie de Stephen, psychologue canadien qui s'est engagé à Interpol. Sa première (et seule enquête) concernera la chasse après une tueuse qui a la faculté de disparaitre : Ceux qui la rencontrent ne se rappellent pas d'elle, les caméras de surveillance enregistrent des films où son visage est flouté. A 12 ans, elle a tué ses parents et un couple de leurs amis. Depuis, on ne peut dénombrer leur nombre (un millier ?). Tout ce que Stephen arrive à déterminer, c'est qu'elle tue quand elle se sent menacée.

De ce début, Ayerdhal va nous montrer les guerres entre services (Interpol, Europol, CIA, FBI, NSA, KGB …) et surtout nous plonger dans le doute. Car on se pose les questions suivantes : Qui travaille pour qui ? Qui manipule qui ? C'est un roman sur les illusions, sur les apparences et le seul moyen d'en sortir, c'est d'opter pour la transparence. C'est aussi un roman qui montre des marginaux (Anne X, Stephen ou bien Michel, un SDF) qui essaient de s'en sortir avant d'être repris par le système. Dans ce monde que l'on veut sur, Big Brother (car c'est bien à George Orwell que l'on pense) ne veut pas d'individus indépendants, hors du système qu'ils ont créés.

Non seulement les rebondissements sont nombreux, mais en plus, les scènes sont hallucinantes. Ayerdhal avait le don de peindre des scènes d'une beauté fulgurante, un art de décrire l'action pure. Celles où Anne X tue 4 hommes qui la suivent, en début de roman, fait partie de celles là. On la voit bouger à la vitesse de l'éclair, mais on a une sensation de flou autour d'elle. C'est, en ce qui me concerne, toujours la même chose : j'ai l'impression de voir un film en lisant Ayerdhal, un film que l'on peut s'empêcher de regarder jusqu'au bout. Lisez Ayerdhal, vous ne le regretterez pas !
Lien : https://blacknovel1.wordpres..
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