La Fille de l'ogre

Merci à netgalley et au éditions les escales pour m'avoir permis de lire ce livre passionnant.
République Dominicaine, années 20, Flor de Oro Trujillo est une petite fille adorée par sa mère mais délaissée par son père.
Les années passent Flor cherche toujours plus l'affection de son père mais ce dernier très préoccupé par son ascension sociale ne lui offre que sa tyrannie.
Devenue jeune femme, Flor impose à son père, son futur mari Porfirio, malheureusement un piètre époux.
L'argent et le pouvoir de son père pourront-ils un jour offrir à Flor le bonheur ?
Biographie romancée, passionnante, très documentée de la vie de la fille du dictateur Rafael Leonidas Trujillo.
Le talent de conteuse de Catherine Bardon nous emporte dans les pas de cette jeune femme prisonnière des hommes toute sa vie.
Très bon moment de lecture.

J'ai tellement mais tellement aimé la saga "les déracinés"...
J'ai commenté je pense des centaines de fois sur les rs...
Je ne pouvais pas passer à côté de celui là...
J'ai aimé...
Flor quelle femme !!!!
Quelle vie peut-on espérer en étant la fille de l'ogre ??????
Est ce qu'elle a eu le choix dans sa vie ?????
Une vie à fuir, à chercher la liberté...mais à quel prix !!!!
Une vie à chercher l'amour mais une vie remplie de solitude...
Je réponds déjà présente pr le prochain roman....
Et je me réjouis à l'idée de lui dire en vrai à quel point j'aime ces romans... Bientot a la librairie @librairie_du_herisson a Montargis!

📖1915. Flor de Oro naît à San Cristóbal, en République dominicaine. Son père, petit truand devenu militaire, ne vise rien de moins que la tête de l'État. Il est déterminé à faire de sa fille une femme cultivée et sophistiquée, à la hauteur de sa propre ambition. Elle quitte alors sa famille pour devenir pensionnaire en France, dans le très chic collège pour jeunes filles de Bouffémont.
Quand son père prend le pouvoir, Flor de Oro rentre dans son île et rencontre celui qui deviendra le premier de ses neuf maris, Porfirio Rubirosa, un play-boy au profil trouble, mi gigolo, mi diplomate-espion, qu'elle épouse à dix-sept ans. Mais Trujillo, seul maître après Dieu, entend contrôler la vie de sa fille. Elle doit lui obéir, comme tous les Dominicains entièrement soumis au Bienfaiteur de la Patrie, ce dictateur sanguinaire.
Marquée par l'emprise de ces deux hommes à l'amour nocif, de mariages en exils, de l'Allemagne nazie aux États-Unis, de grâce en disgrâce, Flor de Oro luttera toute sa vie pour se libérer de leur joug.

C'est LE roman de cette rentrée littéraire à découvrir absolument.
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Un pan de l'histoire qui m'était inconnu, le gouvernement de la république dominicaine dans les années 1930.
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Le président Rafael Trujillo, sa fille aîné tout particulièrement que nous allons découvrir.
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Un destin terrible pour Flor de Oro emprisonné dans une relation toxique avec son père.
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Un coup de coeur pour cette histoire bouleversante 🤎⚡️
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Une histoire vraie, une femme qui s'est mariée près d'une dizaine de fois, fille d'un dictateur qui gouverne non seulement un pays mais aussi la vie de sa fille, Flor de Oro. J'ai trouvé ce livre TRÈS long, souvent monotone, et j'ai (trop) souvent pensé « Mais bon sang elle n'a toujours pas compris la leçon ?!!! Elle est crédule c'est pas possible! » mariage sur mariage, c'est lassant. Toujours la même histoire : mariage, amaigrissement, alcool, divorce, questionnement, problème avec son père à la rencontre d'un autre homme, mariage, désillusion, amaigrissement, alcool, divorce, etc…. Je l'ai lu en entier car je pensais à chaque chapitre qu'il allait se passer quelque chose, qui n'est jamais venu….

Merci à Catherine Bardon de nous avoir fait découvrir la vie de Flor de Oro (quel nom magnifique !). Je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler mais on y découvre sa vie, ses joies, ses peines, ses maris et sans oublier bien sûr… son père. Parce qu'honnêtement qui pouvait dire qu'il / elle connaissait cette famille et cette dictature avant ce livre

Je viens de terminer la Fille de l'Ogre, la vie détaillée de la fille aînée du dictateur de la République Dominicaine Rafael Trujillo abattu en 1961 par des opposants au régime tyrannique sévissant depuis plusieurs décennies. Mon sentiment sur ce roman est le même que pour « les Déracinés ». Je l'ai trouvé passionnant sur le plan historique. Malheureusement le style m'a semblé trop romanesque avec un usage superflus d'adjectifs excessifs. Néanmoins je suis prête à lire les prochains romans de Catherine Bardon tant ils m'apportent sur la connaissance de la République Dominicaine, ce pays que j'affectionne, tant par la beauté de ses paysages que par son histoire foisonnante.

"J'ai trouvé des photographies de Flor de Oro et je l'ai trouvé belle. Ce qui m'a frappé, c'est son sourire éclatant. J'ai voulu savoir ce que cachait ce sourire. Peu à peu, au fil de mes investigations, j'ai découvert les méandres de sa vie, une vie digne d'un roman dramatique : neuf maris, des exils, des fuites, la vie mondaine, la bohème…confie Catherine Bardon à ses lecteurs...pour décrire l'histoire de son dernier roman La fille de l'ogre.
C'est à travers le destin de Flor de Oro, l'histoire en creux d'une dictature implacable qui a asservi la République dominicaine pendant trois décennies et ce livre se lit d'un trait.
L'album de ces années vécues par Flor défile et se succèdent les bribes de sa vie malmenée. Ce roman est loin d'être une chronique historique tant Catherine Bardon tente d'endosser les états d'âme de cette femme qui rêvait de liberté. Il y a quelques longueurs et des redites dans cette histoire de dérive et de va-et-vient et cet itinéraire émotionnel et fictif de Flor de Oro, mais Catherine Bardon donne, avec fougue, et une plume vive et alerte, chair à son récit et à son héroïne.
Merci aux éditions Les Escales et à #NetGalleyFrance

La lecture de ce livre a été découverte totale du personnage et de l'histoire contemporaine de la république dominicaine : passionnant de bout en bout ! Autour de l'héroïne bien des personnages mériteraient un livre à eux seuls . Une biographie qui a tout d'un roman et donne aussi envie d'en savoir plus sur ce pays dans un angle mort de l'histoire entre les drames d'Haïti et l'omniprésence historique de Cuba.

Ce livre sur la fille de l'Ogre des Caraïbes m'a intéressée au début puis lassée au fil des pages à la fois sur le fond et sur la forme.
L'histoire de cette femme qui n'a jamais rien décider par elle-même et a toujours vécu sous le joug de son père ou de ses maris ne m'a absolument pas émue. On comprend au fil des pages que l'argent (son père est ultra-riche) est aussi une autre prison donc l'héroïne ne peut se passer. Alors, franchement si son sort n'est pas enviable il y a pire dans la vie ! En plus, elle retourne vers son père qu'elle soupçonne d'avoir assassiné son mari (enfin un de ses maris) ; je préfère les héroïnes plus battantes et plus courageuses.
Ensuite l'auteure rajoute des pages pour redire sans cesse le désespoir de cette "pauvre petite fille riche", sa dépression, ses addictions. On l'a vite compris et j'ai eu l'impression que Catherine Bardon "meublait" les pages pour réussir à faire un roman.