La plupart des syndicats représentés au Havre ont longtemps manifesté une attitude franchement hostile à l'adhésion des femmes. En 1913, ils s'y font mais se préoccupent peu d'accroître la participation féminine aux activités régulières et aux directions. Ainsi, la Fédération des Ports et Docks n'a accepté les femmes en 1912 par un vote de 16 pour et 11 contre.