Songe à la douceur

Dans ce roman doux et un peu loufoque, Clémentine Beauvais reprend et adapte les oeuvres "Eugène Onéguine" de Pouchkine et de Tchaïkovski. Chapeau bas pour cette belle idée! Un bon point également pour l'originalité de l'écriture et de la forme du texte, c'est intéressant.
Quelques idées lancées m'ont également beaucoup intéressées, je pense à certaines considérations sur l'amour, sur les hommes et les femmes, qui m'ont semblées plus que pertinentes. Voilà... Malheureusement malgré ces aspects positifs, le livre ne m'a vraiment pas séduite, un peu trop lent, trop aérien, trop détaché... Je ne saurais pas très bien dire d'où vient le problème mais à ces personnages pourtant bien agréables, je n'ai pas pu m'attacher, et à cette histoire je n'ai pas réussi à vraiment m'intéresser, je suis restée loin, dehors, et je m'y suis un peu ennuyée.

Il arrive parfois qu'un livre acclamé par la critique nous donne des attentes... et qu'elles ne soient pas comblées.
J'avais beaucoup entendu parler des ouvrages de Clémentine Beauvais, notamment depuis "Les Petites Reines". "Songe à la douceur" est le premier que je lis (si l'on exclut "Inséparables" de Sarah Crossan qu'elle avait traduit, et que j'avais beaucoup aimé).
Je ne m'attendais pas du tout à ce genre d'histoire. Les vers libres ne m'ont pas dérangée. Ils ont même donné un rythme intéressant à cette histoire qui ne m'a malheureusement pas du tout passionnée.
C'est la vie, et les aléas du lecteur : parfois on aime, parfois moins.
Lien : http://unjour-unlivre.fr/201..

Une lecture qui ne me laissera pas un souvenir impérissable : une histoire de rendez-vous manqué, de non dits et de parcours de vie.

Tatiana retrouve, dix ans plus tard, Eugène dont elle était amoureuse à l'âge de 14 ans. Après l'avoir éconduite, Eugène semble aujourd'hui différent mais Tatiana a changé.

L'introspection des personnages est l'atout de ce roman qui par ailleurs m'a paru un peu léger, superficiel. le caractère des deux héros se délite à la lecture, le drame qu'ils ont vécu semble un peu décalé et peu crédible.

J'ai eu le sentiment d'une intrigue un peu brouillonne qui avait du mal à se dessiner.

Je n'aime pas abandonner un livre, mais là j'ai vraiment du mal a accrocher. et pourtant c'est magnifiquement écrit. Original, ce roman sous forme de poème à priori inspiré d'une oeuvre de la littérature Russe que je ne connais pas. Une histoire d'amour bourré d'introspection et d'analyse du ressenti des deux jeunes gens. Si les rimes ne me gênent pas, le fait de chercher mes fins de phrases tantôt au milieu de la page tantôt en dessous m'agace ... je pourrais le finir, je le ferais peut être, mais comme je ne prend pas de plaisir à cette lecture et que j'ai une pile qui s'amoncelle sur ma table de chevet je passe au suivant. Tant pis.

Cette réécriture du roman d'Alexandre Pouchkine Eugène Onéguine (et de l'opéra de Tchaïkovski) est un OVNI. Mais d'où Clémentine Beauvais a-t-elle sorti toutes ses idées ? La mise en page de ce roman nous emmène de surprise en étonnement. D'ailleurs, allez voir l'article de Mathilde pour vous faire une idée. Il fallait aussi et le pari semble réussi puisque Songe à la Douceur a fait l'objet de nombreux coups de coeur. Cependant, il n'y a pas de juste milieu : vous allez adorer ou détester. Il faut dire qu'une mise en page totalement folle sur 248 pages, il y a de quoi se fatiguer. Cela a dû être très amusants à construire mais c'est le genre de choses qu'on préfère grignoter ici et là plus que de devoir lire une histoire complète qui, ici, manque terriblement de profondeur.
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J'attendais beaucoup de ce livre qui a été accueilli quasi unanimement de façon positive. Je n'ai malheureusement pas été emportée par cette lecture, ni par cette écriture, pas plus que par la mise en page. Dans Songe à la douceur, Clémentine Beauvais nous invite à découvrir l'histoire d'amour entre Tatiana et Eugène, on assiste à des moments de leur vie à l'adolescence puis une fois adultes (cf Eugène Onéguine de Pouchkine).
L'écriture est inhabituelle, voire déroutante.
Un roman qui s'adresse sans doute davantage à des adolecents, un roman qu'il faudra que je relise pour essayer de l'apprécier à sa juste valeur. C'est sans doute de l'ordre du ressenti : on est complètement sous le charme ou on passe à côté. Je suis désolée d'avouer que je n'ai pas été touchée comme j'avais espéré l'être...

Bizarre je dirais. Pour plusieurs choses
1 le texte écrit en lui-même, des paragraphes à gauche des à droite, des mots qui font des dessins, ... Pas facile
2 la lecture soit elle est normale soit elle est rapide, trop de mots en même temps, pas le temps de réfléchir, juste lire en "avancé"
3 l'histoire tient debout par des pages et un livre relié, c'est à peu près tout. C'est une "jolie" histoire mais avec tant de noeuds qu'il en est impossible d'arriver à bout. (Des noeuds)

Pourtant les commentaires étaient vraiment motivants mais pour moi ça n'a pas collé.

Construction amusante
Se laisse lire
Pour autant, je ne suis pas inspirée pour cette critique.
A vrai dire, je me suis un peu lassée sur la fin,

Je ne suis pas très inspirée pour cette critique mais puisque Babelio exige un minimum de 250 caractères, je fais du remplissage….

J'admets que je n'ai pas réussi à lire ce livre.
Le titre m'a plu, les phrases émanant de divers personnes m'ont mis l'eau à la bouche... mais je n'ai pas aimé.
Qui parle ? L'auteur ? Une tierce personne ? Je n'ai pas su. Je me suis demandé au début si c'était le 2ne tome. Mais non, unique tome.
Alors passé ce travers, je poursuis ma lecture mais la façon de l ecriture avec des lignes à droite, à gauche... comme une pièces de théâtre ou je ne sais quoi... je n'ai pas réussi à tenir.
Ca devait être une jolie histoire d'amour... mais elle sera avorté pour ma part

Je n'ai pas trop aimé ce livre car il manque de péripéties durant leur rencontre, mais ce n'est que mon avis. J'ai par contre beaucoup aimé comme des images je recommande !
Ce que j'aime beaucoup dans ce livre c'est que c'est écrit en vers libre, je trouve que ça ne serait pas du tout pareil si c'était écrit en phrases.