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Un choix fait par hasard en furetant à ma médiathèque ; hasard toutefois favorisé par les bibliothécaires qui avaient mis en avant, avec d'autres ouvrages, cette publication, sur une table !

« Cruelle postérité qui ne retient que la maîtresse , et enterre toute une oeuvre à l'ombre d'un géant. Cruelle mais sans appel. Qui connaît l'oeuvre de Dora Maar ? Qui se souvient qu'elle a été l'une des rares femmes photographes admises parmi les surréalistes ? Qui sait qu'elle a consacré soixante ans de sa vie à la peinture ? “

De Dora Maar, comme tant de personnes, je n'avais en mémoire que des images stéréotypés de cette femme, peinte et immortalisée par Picasso, comme « La Femme qui pleure » !...ignorant totalement qu'elle était elle-même une artiste confirmée, peintre et photographe, avec un vrai tempérament.

Une biographie des plus instructives sur une artiste méconnue, mais combien célèbre pour avoir été une des femmes –muses de Picasso, Dora Maar…Vie aussi palpitante que malheureuse… racontée par un biais et des circonstances insolites, originales. L'auteure …par un concours de « hasards » va se retrouver , avec , dans les mains un carnet-agenda téléphonique, et qu'elle n'est pas sa surprise de croiser les noms les plus illustres de l'histoire de l'art du XXe et plus spécifiquement du surréalisme… Ainsi, titillée par une curiosité démultipliée, Brigitte Benkemoun va se lancer dans une enquête au long cours, à laquelle elle va nous, lecteur, faire participer !

La « biographe » nous fait partager la genèse des circonstances l'ayant mis sur le chemin de Dora Maar, par le biais d'un mystérieux carnet d'adresses…ainsi que ses hésitations, questionnements inévitables, pour s'assurer qu'elle est prête à passer des mois ou des années avec la personne choisie, dont elle veut parler, et retracer l'existence, le cheminement sentimental et artistique !

Un engagement et une immersion qui réclament une exclusivité intransigeante !!

De l'admiration à l'exaspération, la « biographe » passe par toutes les émotions possibles, en fréquentant de trop près « l'objet » de ses recherches ! L'extrait suivant l'exprime au plus juste…variations d'humeurs et d'appréciations que nous, lecteurs, partageons avec l'auteure !

« D'autant qu'au fil des jours, la compagnie de la dame au carnet devient pesante. Je suis comme tous ceux que la douleur de l'autre finit par lasser…Comment va Dora ? me demande-t-on souvent. A mes amis comme à mon éditeur, je réponds que « j'avance »…Mais non, je n'avance pas beaucoup. J'ai du mal avec elle. le plus difficile est de s'attacher à une femme si différente et parfois si peu sympathique. Pour essayer de la comprendre, je puise au plus profond de moi le souvenir d'un chagrin qui vous ronge, d'un crabe qui vous dévore jusqu'à vous rendre dingue. Mais je ne suis pas assez sombre ou trop peu tourmentée…Elle m'ennuie, elle me fatigue. Comme Picasso, je la délaisse.. .J'ai besoin de respirer , rencontrer des gens heureux, lire des histoires légères. (p. 153)

Un très intéressant moment de lecture nous faisant revisiter les parcours d' artistes très connus, et d'autres personnalités secondaires tout aussi passionnantes, comme cette artiste découverte (pour ma part), Jacqueline Lamba…peintre rebelle et muse d'André Breton
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Une biographie originale sous forme de jeu d'énigmes grâce à un carnet dégoté par hasard. C'est très intéressant de pouvoir remonter le fil du courant avec des personnages inscrits dans le répertoire de Dora Maar, tour à tour, l'auteure tente de savoir quand cela n'est pas lisible ou bien inscrit, qui peut bien être ce quidam ? Par le biais des recherches, des croisements, elle arrive à ses fins, et de fil en aiguille, elle brode le canevas de la vie de Dora Maar. Je dois dire que j'ai mieux cerné le personnage grâce à toutes ces indications qu'avec d'autres biographie, et il serait bien dommage de résumer cette artiste à "la femme qui pleure", compagne d'une époque de Picasso.
Au delà de Picasso, l'auteure nous fait découvrir maintes poètes, peintres, photographes etc... c'est très intéressant.

Une lecture donc instructive sur Dora Maar.

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Le hasard?, la coïncidence?, on y croit ou pas.
Des rencontres ont parfois lieu.
Ici, un agenda dont le modèle à « l'ancienne » devait être un cadeau.
L'auteure le parcourt.
Stupéfaction et nous vibrons avec elle.
Les noms qui apparaissent sautent à nos yeux ébahis.
On se prend à rêver : Aragon, Breton, Cocteau, Chagall, Eluard… la liste est longue, évocatrice, tentante.
Quelques recherches, une authentification confirme qu'il appartenait à Dora Maar, la photographe, l'artiste peintre, l'amoureuse, la passionnée, surtout connue comme celle que Picasso aima, rejeta, peignit en « La femme qui pleure ».
Commence alors une enquête, un travail de fourmi, une biographie originale favorisée par quelques noms qui permettent à Brigitte Benkemoun de relier la propriétaire à ces adresses et numéros de téléphone qu'elle a noté en l' année 1951.
Le passé arrive en flash-back dans ce présent retrouvé. Et aujourd'hui nous découvrons : une époque, un milieu (un « village » comme dit l'auteure), des peintres, des poètes, des surréalistes et LE plus grand de tous : Picasso.
Des rapports humains contrariés, difficiles, compétitifs, la souffrance d'une femme brisée, malade qui se relèvera en cheminant dans une analyse avec Lacan et une religion quelque peu excessive.
90 ans d'une vie qui défile devant nos yeux, une femme qui intrigue et répulse parfois, un monde dans le monde, monde de souffrances, d'excès, de solitude douloureuse.
Le livre est intense et court, on le quitte à regret, on devine tant de méconnaissance de cette femme qui la souhaita elle-même, le poème qu'elle écrivit et que l'auteure nous transmet en fin de livre le dit : « Dans le secret de moi-même à moi-même secret … ».
Respectons-la comme la respecte l'auteure qui nous raconte le chemin qu'elle a entrepris pendant deux ans à partir de cet agenda que le hasard? ou la coïncidence? a porté jusqu'à elle.
Une magnifique et pudique approche qui, dans un style très agréable, nous propulse dans le monde artistique d'un XXème siècle révolu mais inscrit dans la mémoire des amateurs des Arts et des Lettres.
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Nos relations, nos amis peuvent-ils permettre de dresser un portrait fidèle de nos personnalités ?
Et à propos de portrait, Dora Maar devait-elle se résumer à cette « femme qui pleure » de Pablo Picasso ?


Amour et affection, besoin et nécessité, ennui et orgueil… doivent conduire à se constituer un panel de relations répondant à ces multiples attentes. Comme nous tous, Dora Maar ne devait pas présenter le même visage à chacun de ses contacts. Quoique …

Brigitte Benkemoun a réalisé une véritable enquête sur l'artiste. Tenace, précise, elle ne la lâche pas les fils de tous ces noms du petit agenda retrouvé.
Et quels noms !
Tous le gratin des milieux artistiques et intellectuels des années 50. Un monde d'artistes brillants, surdoués parfois, mais vaniteux, couards, jaloux, méchants souvent. le livre n'en épargne aucun et il tourne comme un papillon de nuit autour de ce diable de Picasso. Dora eut tort de trop s'en approcher, elle s'y est brûlée les ailes…
On s'y perd un peu en aller et retour sur des mêmes phases de son existence, mais cela à l'avantage de les éclairer différemment. On s'instruit aussi si on ne connait pas tous ces artistes. Et j'avoue avoir lu l'ouvrage tout en allant chercher des photographies ou en lisant leur notice biographique sur le web.
Mais au final, le livre nous a beaucoup plus apporté par ce regard sur ces milieux car il est bien difficile de s'attacher à la personnalité trouble et superficielle de cette Dora, si peu attirante.
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Photographe, peintre, muse de Pablo Picasso, Dora Maar est une femme qui a évolué dans le cercle des artistes, surréalistes, intellectuels des années 50. Alors trouver dans un étui acheté par correspondance le carnet d'adresses de Dora Maar, ou même seulement imaginer que cela soit possible est une véritable gageure. C'est pourtant ce qui est arrivé à l'autrice qui a eu la bonne idée, lorsqu'elle est tombée sur des adresses toutes plus incroyables les unes que les autres, de poursuivre ses recherches.

En partant de ces numéros de téléphone et de ces adresses elle remonte le fil de la vie de Henriette Théodore Markovitch, née en novembre 1907 à Paris. Muse du peintre le plus emblématique du XXe. Belle intelligente farouche volontaire hautaine entière volcanique coléreuse exaltée orgueilleuse digne cultivée snob… Les qualificatifs ne manquent pas pour l'évoquer. Et cependant, qui peut se targuer de dire qu'à part citer le si célèbre tableau de Picasso, la femme qui pleure, il ou elle connaît le personnage, sa vie, sa carrière.
Cocteau, Chagall, Giacometti, Balthus, Breton, Lacan, Éluard…
vétérinaire, plombier, architecte…
Et Picasso, à qui elle donne sa vie, son amour, qui lui vaudra sa défaite et sa légende.
Ce que j'ai aimé ?

Embarquer dans ce carnet, parcourir les adresses, retrouver les numéros et les noms parfois oubliés, suivre un parcours de vie, celui de Dora Maar, la femme, l'amante, la muse, l'artiste, la désespérée.

lire la chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2022/04/22/je-suis-le-carnet-de-dora-maar-brigitte-benkemoun/
Lien : https://domiclire.wordpress...
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Décidément, quand une quatrième de couverture fait bien son travail, il faut le dire ! Ici, elle met l'eau à la bouche du lecteur en quelques mots. Et le texte est à l'avenant : c'est une vieille et belle capitale qui reprend vit sous nos yeux. Brigitte Benkemoun fait une biographie originale, sans verser dans le potin mondain. Tout est très délicat, comme le coeur amoureux blessé de Dora Maar, puis revivifié par les amitiés douces et tendres. « Maîtresse officielle est son titre de noblesse, la femme qui pleure sa camisole. » (p. 135) L'autrice brode quand elle ne sait pas démêler le fil, mais tout s'inscrit parfaitement dans ce qu'il convient d'appeler le roman de Dora. L'enquête est historique, sans aucun doute, mais surtout romantique, au sens premier du terme qui renvoie à l'imagination. Car il y a tout à écrire à partir des quelques pages du petit carnet miraculé.
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Vous aimez les enquêtes et les biographies originales… Alors » le carnet de Dora Maar » écrit par Brigitte Benkemoun est une lecture qui va vous enchanter !
Le mari de Brigitte Benkemoun perd son carnet. Uniquement disponible en occasion, elle en rachète un autre et découvre, en recevant l'envoi, un répertoire datant de 1951. Apparaissent les adresses d'Eluard, Cocteau, Douglas Cooperland et tant d'autres … Petit à petit, il devient évident que l'égérie des surréalistes en était la propriétaire.
Qui n'a pas rêvé de vivre une telle aventure ? Trouver un trésor et remonter l'histoire de son propriétaire…A la manière d'un détective racontant ses relations au fil des noms trouvés dans le carnet, Brigitte Benkemoun, journaliste devenue écrivaine, décrit la vie talentueuse d'une photographe devenue muse et compagne de Picasso pendant plus de dix ans (1937-1946). Leur rupture la laisse à jamais « la femme qui pleure »…
Elle finit sa vie en fusionnant avec Dieu n'ayant pu s'unifier à jamais avec son génie, s'isolant de plus en plus, gardant tout, refusant toute visite sous des prétextes toujours fallacieux mais continuant à peindre comme « son maître » le lui avait suggéré, avec un livre nauséeux oublié (?) dans sa bibliothèque !
Toute une longue vie décrite ainsi par petites touches qui s'assemblent, comme un puzzle, au fil des situations, des événements et des époques !
Deux ans de recherche avec des rencontres, des fausses pistes, des rendez-vous, des conversations que Brigitte Benkemoun offre, dans un langage simple, pour construire un portrait vivant, tout en nuance et délicatesse, d'une femme, sa jeunesse effacée, devenue blessée, malade, complétement esseulée, mais libre !
Ce procédé présente une galerie de personnes célèbres ou pas : allant du plombier contacté pour installer une salle de bains afin de combattre l'hygiène encore douteuse de son compagnon à celui du psychanalyste, Jacques Lacan, qui, après sa rupture avec Picasso, assurera son soutien pendant presque sept ans, après lui avoir administré des électrochocs interdits à l'époque, en passant par Brassaï, Balthus, Breton mais aussi Anne de Noailles, Jacqueline et Huguette Lamba, etc…
Avec son « carnet de Dora Maar », Brigitte Benkemoun décrit une personnalité souvent excessive, absolue et entière, qui a par son talent et son amour marqué le XXè siècle. Un livre à découvrir avec la visite de la belle exposition qui lui est consacrée au Centre Pompidou en ce début d'été!
Lien : https://vagabondageautourdes..
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Il y a des gens qui ont vraiment une sacrée chance ! Pensez-donc, tomber, grâce à un achat effectué en ligne, sur un agenda en cuir contenant, planquée dans un rabat, une liste de numéros de téléphone et adresses, tous ou presque concernant des personnalités artistiques célébrissimes, allant de Aragon à Nicolas de Staël, en passant par Cocteau, Chagall, Eluard, Poulenc etc .... il y a de quoi choper le tournis !

Brigitte Benkemoun en frétille de plaisir, on la comprend, et s'empressera de mener une enquête qui va lui permettre de dater ledit carnet, 1951, et de découvrir qu'il appartenait à Dora Maar, pas moins.

Mais qui donc est Dora Maar, hélas plus connue du grand public comme une des nombreuses maîtresses de Picasso, que pour ses propres vertus : photographe d'exception et peintre ?

C'est le projet que l'auteur va se donner, en essayant de tracer un portrait de cette femme, qu'elle fait apparaître par le biais de témoignages de première ou seconde main, obtenus grâce aux noms du fameux carnet, ce qui nous permet de découvrir quelques pans de sa liaison orageuse d'environ dix ans avec le peintre, celui-ci n'apparaissant pas sous un jour bien favorable, compte tenu de son comportement, heu ... un peu douteux, (doux euphémisme) avec les femmes !

Et là, on se rend compte que Google et Wikipedia sont véritablement une sacrée mine d'or pour pêcher de l'information ! car en effet, c'est grâce à ces médias d'exception (!) que Brigitte Benkemoun parvient à dénicher témoins et informations.

Ainsi tente-t-elle de restituer la réalité de la femme et artiste que fut Dora Maar. On percevra donc très vite la vanité d'une telle entreprise, car tous ceux qu'elle a pu rencontrer ainsi que les éléments glanés ça et là ne permettent rien d'autre que de tracer une esquisse forcément réductrice, vue par le prisme évidemment limiteur de ceux qui l'ont aimée, admirée ou détestée, donnant une image kaléidoscopique de cette femme fantasque, intelligente et très séduisante, brillante, ambitieuse et passionnée, fière, entière et coléreuse, mais aussi fragile et dépressive ... devenue peu à peu bigote et conservatrice.

Ces réserves faites, l'ouvrage se lit sans déplaisir, voire avec plaisir, tant il fourmille d'anecdotes intéressantes, surprenantes, amusantes, cocasses même, concernant non seulement Dora Maar, mais aussi ses amis et connaissances , et voir défiler en farandole tous les artistes mondialement reconnus cités dans cet ouvrage vous met carrément l'eau à la bouche !
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Hasard ou coïncidence ?

Lorsque Brigitte Benkemoun commande un nouveau carnet pour son compagnon, elle ne se doutait pas qu'elle tenait là le sujet de son nouveau livre : dissimulé dans ce carnet d'occasion, un répertoire de 1951, appartenant à Dora Maar, photographe, peintre et un temps compagne de Picasso.

Ce répertoire va lui permettre de retracer le parcours de cette artiste.

Le portrait de Dora Maar se dessine peu à peu, par touches subtiles.

Elle apparaît tour à tour forte et fragile, entière et soumise. Une personnalité complexe, dont il est difficile de dire au final si elle nous apparaît sympathique ou pas. Intrigante, par contre, c'est certain.

Le répertoire s'égrène et dévoile au fur et mesure ses secrets dans un récit sans ordre chronologique - ni alphabétique d'ailleurs - mais avec une clarté incroyable.

Au delà du portrait d'une artiste, c'est aussi le portrait d'un microcosme artistique et mondain. D'un cénacle où se côtoie Picasso, Cocteau ou encore Eluard.

D'un microcosme terriblement atypique et en même temps si classique avec ses coups bas, ses ragots et ses tromperies.
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Notre avis :

Les dernières lignes de « Je suis le carnet de Dora Maar » dans la partie remerciements de l'auteure sont : “Mais ce livre n'existe que parce que Thierry Demaizière a eu la bonne idée de perdre son agenda.”

Les impénétrables voies d'eBay et du destin ont en effet transporté et transmis, caché dans l'agenda à remplacer, un carnet d'adresses de 1951 chez notre auteure. Elle va découvrir qu'il s'agit de l'écriture de l'artiste Dora Maar. Nous partons alors à la rencontre, au fil des pages de cette quête, des contacts de celle qui fut l'une des maîtresses de Picasso et son égérie.

Un voyage dans l'histoire d'une femme qui, dans ses 90 ans de vie, est passée par tant de phases, de croyances, d'espoirs et, probablement à cause d'une propension à l'isolement après une trop forte exposition à la lumière, a bâti un monde qui l'a rendue malade et aigrie, je suis aussi perturbée que l'auteure à la découverte d'un penchant antisemite et de la possession de Mein Kampf par celle qui fut la photographe de Guernica.

Le livre est merveilleusement écrit, il a nécessité d'un très long travail de recherche et documentation.

L'oeuvre de Brigitte Benkemoun est brillante et marquante.

“Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es. ” dit l'auteure au tout début de cette aventure et effectivement le portrait « de la femme qui pleure » s'esquisse, prend forme se colore, s'épaissit.
Je suis admirative de ce reportage littéraire si intriguant. Chaque rencontre, chaque avancée dans la reconstruction des liens entre les noms du répertoire et Dora est un jeu de patience élégant et prenant.

Un coeur en plus que la note habituelle donc 6 coeurs pour ce splendide ouvrage à recommander !

❤️❤️❤️❤️❤️(❤️)

Lien : https://blog.lhorizonetlinfi..
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