Lorsque son mari là quitte , après vingt ans de vie commune , l'univers de Samantha s'effondre. Entourée de la sollicitude un peu envahissante de sa mère et de sa meilleur amie , elle s'inquiète pour son jeune fils tandis que son passé ne cesse de la hanté...... Comment a- elle-pu s'abuser à ce point ? Sans ressource ni travail , mais résolue à s'en sortir , Samantha va prendre des locataires. Leur irruption dans sa vie changera peu à peu son regard sur le monde. Une délicieuse veille dame sur le point de se marier ,un coiffeur très raffiné , une étudiante déprimée , tous vont l'aider sans le savoir à trouver l'autonomie qu'elle n'a jamais eue.
Deuxième de couverture.
Un roman qui donne envie de se battre pour soi et son fils.
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J'ai mis énormément de temps à lire ce livre qui pourtant est assez court.
Je n'ai pas réussi à m'intéresser à l'histoire. Je pense qu'il m'était difficile de m'identifier à cette femme.
Samantha, dit Sam, mère d'un enfant, femme au foyer, vient de se faire quitter par son mari. Elle en perd tous ses repères. J'ai trouvé qu'elle en devenait même pathétique, jusqu'à en perdre sa dignité à un moment.
Ce n'est que vers les 100 voir 50 dernières pages, qu'elle remonte doucement la pente. Mais tout en gardant par moment l'espoir que son mari revienne.
Elle commence à travailler, elle prend des locataires...
Par moment, ce roman est assez prévisible. Certes, j'aime les belles histoires, mais j'aime aussi me faire surprendre.
Je vous invite donc à le lire pour vous en faire votre propre opinion.
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Que se passerait-il si on pouvait soulever le toit d'une maison -ce serait une opération portes ouvertes au plein sens du terme - et regarder à l'intérieur ? Que verrait-on? Les gens ne se conduiraient sans doute ni plus ou moins bizarrement que moi.
Il me faudra trouver un autre locataire. Hier j'ai vu une annonce sur le tableau d'affichage de la librairie
Etudiante cherche chambre à louer.
P 126
Mais tu es folle où quoi Pourquoi na tu pas mis des chaussettes ? On attend une tempête pour ce soir , ça risque même de se gâter. Je ferais mieux de rentrer chez moi.
P 134
Je n'ai jamais imaginé que la vie serait facile tous les jours. J'ignorais juste à quel point j'étais faible.
Flint Journal Community Columnist Eileen Button interviews Author Elizabeth Berg.(en anglais)