La coloc

Romain vient de perdre sa grand mère et en héritage il y a son appartement,comme il est en internat ,il va suggérer à ses parents une colocation entre copains afin d'occuper ce dernier.
L'occasion toute rêvé pour pouvoir s'émanciper , il va emménager avec Rémi et Maxime et ensemble vont découvrir la vie en colocation , ce qui évidement ne va pas couler de source, l'indépendance et la responsabilité de chacun va s'en trouver contrarié jusqu'à un événement qui va faire basculer l'histoire de ce roman
Un roman sympa basé sur l'amitié, la jeunesse et le vie qui démarre.

C est en vacances,enfin au calme que Romain se raconte... raconte son année de colocation.
Des comics un geek finalement pas si prévisible et Maxime, LA star du lycée.
Une année qui le marquera pour toujours.

Dans la coloc, Jean-Philippe Blondel nous fait découvrir un univers que tous les lycéens ne connaissent pas forcément. Ce roman nous livre les bons côtés de la colocation mais aussi les contraintes qu'il peut y avoir à vivre à trois dans un appartement à 16 ans ! Nous suivons les débuts de ces adolescents sans leurs parents et assistons à de nombreux événements de leur vie. Des disputes, des fêtes, des amours, qui ne vont pas tout le temps les aider. Un roman distrayant aux nombreuses péripéties.

C'est une question intéressante mais pas tellement abordée dans les romans pour adolescents : la colocation, avec ses bons et ses mauvais côtés. Mais au-delà de ça, ce roman marque aussi le passage à l'indépendance du narrateur et de ses deux colocataires. Solidarité, promesse, trahison : sans rentrer trop en détail dans des histoires d'amour comme on peut en voir souvent, le roman de Blondel s'intéresse aux liens étroits que l'on noue avec les gens qui nous entourent, comment certaines personnes traversent notre vie pour un temps, eà quel point on n'est jamais sûr de connaître quelqu'un, et comment on finit, un jour, par pardonner.
Une belle expérience, un thématique intéressante, un bon roman !

A la mort de sa grand-mère, Romain décide d'habiter dans son appartement en colocation. Il n'a pas réussi à s'habituer à l'internat. Avec ses parents, il va donc passer une annonce auprès des lycéens de son établissement. Un trio va naître. Romain est assez introvertit. Il essaie de se fondre dans la masse tout en regardant les élèves les plus populaires et leurs techniques d'approche. Maxime fait parti de ces élèves populaire, mais c'est surtout un garçon qui n'a pas confiance en lui et dont la vie familiale est assez compliquée. Rémi est le geek de base, sans ami.
La vie en colocation va leur permettre de passer au dessus des à priori et de se révéler. Evidemment tout ne sera pas tout rose. Ces trois-là n'étaient pas ami à la base. Il faut donc apprendre à se connaître, composer avec les envies et les habitudes des uns et des autres. Cette expérience va forcément créer des liens et les faire grandir.
J'aime beaucoup cet auteur. D'habitude, on le voit sur des sujets assez sombres. les personnages peuvent être torturés et n'ont pas des situations de vie faciles. Ici, même si certains personnages ont des problèmes, on est sur des sujets plus légers du quotidien. Et j'ai aimé ... un livre léger. Un livre sur l'amitié, un livre sur l'expérience de la vie, un livre sur le lycée et ses tracas, l'amour. Un livre qui fait du bien.
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Ma première pensée quand j'ai lu la quatrième de couverture fut : une coloc entre 3 mecs de 16 ans. Hum… Parfaitement irréaliste. Premièrement, parce que je ne connais pas foule d'adolescents de 16 ans suffisamment responsables, deuxièmement, parce que j'imagine très mal ces trois garçons avoir une hygiène de vie convenable sans la présence d'un adulte pour contrôler et enfin, parce qu'il me semble que laisser trois mineurs livrés à eux-mêmes est interdit par la loi ou tout au plus est totalement irresponsable de la part de leurs familles.

Bref, je n'ai pas démarré cette lecture sur les chapeaux de roues. La suite m'a rapidement convaincue que je lisais un texte assez convenu et plat. Les personnages manquent cruellement de profondeur et d'originalité. L'auteur à au moins eu le mérite de me faire rire : c'est une coloc entre un ES, un S et un L, etc. Ça commence comme une histoire drôle et cela ne l'est même pas. Les trois adolescents se veulent comme des caricatures des branches dans lesquelles ils étudient : le geek qui passe sa vie entre son ordinateur et ses manuels de mathématiques d'une simplicité frappante pour lui est en S, le bosseur acharné qui se plonge dans le travail pour oublier et qui a une immense culture générale est en L, et enfin, le branleur de service qui n'en fout pas une, mais qui s'en sort toujours avec une pirouette est en ES. Et ce n'est qu'un peu des clichés du livre, je ne veux pas non plus vous spolier.

J'ai bien envie de faire une révélation à l'auteur : les S ne sont pas tous fans de mathématiques et souvent ils s'arrachent les cheveux sur leurs manuels, les l'ne sont pas de grands lecteurs et ne sont malheureusement pas si cultivés que cela, ce qu'ils aiment ce sont souvent les langues. Quant aux ES, ils ne sont pas plus fêtard que les autres ou moins travailleurs. Ah et parce que cela me saoule de le lire partout : les geeks ne passent pas leur vie devant leur écran d'ordinateur, de nombreuses études scientifiques ont démontré qu'ils ont une grande capacité d'empathie, une excellente culture générale, car ce sont des touches à tout, et qu'ils sont très sociables. Voilà pour le coup de gueule.

Le roman a quand même le mérite d'être bien écrit, ce qui permet de le lire assez rapidement, mais il est d'une platitude si désespérante qu'il ne restera pas dans mes annales.
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Romain 16 ans, vient de perdre sa grand-mère. Alors qu'elle laisse son appartement en héritage, il saisit l'occasion pour convaincre ses parents de le laisser y vivre en colocation. C'est avec Rémi, un véritable geek et Maxime à qui tout semble réussir que Romain va partager son quotidien.
L'auteur nous fait partager la vie de ces trois adolescents qui petit à petit rentrent dans le monde adulte avec les avantages et les inconvénients de la vie en communauté.
Un roman très agréable à lire et à conseiller aux adolescents comme aux adultes même si la fin de l'histoire perd en crédibilité. Un peu dommage.

Ce roman relate le quotidien et les turpitudes d'un jeune lycéen et de ses amis. Si on a l'habitude des personnages féminins dans ce genre de littérature "d histoire de vie" le point de vue masculin est plus rare et apporte une certaine originalité à ce livre. Bon moment de divertissement .

J'aime l'écriture de Jean-Philippe toujours très réaliste, c'est encore le cas ici. En revanche le sujet ne me le paraît pas tellement (réaliste). 

Des adolescents de 16 ans, en coloc pendant leur année de 1ère au lycée cela me paraît peu crédible mais après tout peut-être que je suis une vieille ringarde.

Ce roman est, malgré ce bémol, très facile est agréable à lire, je l'ai englouti en peu de temps. 
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Une petite gourmandise que j'ai dévorée avec plaisir.
A priori, rien de commun entre Romain, ce lycéen de 16 ans du XXIème siècle, et moi. Pourtant … Au fil des pages, les mots de Jean Philippe Blondel ont fait surgir des images, des émotions, des bruits, des odeurs et les souvenirs de mon adolescence du siècle dernier ont surgi !
Il ouvre une fenêtre intemporelle sur les problèmes relationnels de l'adolescent avec ses parents, avec ses congénères, sur ses difficultés à s'affirmer, sur les copains qu'il admire, sur ceux qu'il envie ou qu'il rejette, sur ses premières amours, ses premières déceptions, ses premiers chagrins.
Quel bonheur de passer d'un dortoir (où sont bannis silence et obscurité totale, en 1960 comme en 2010 !) à un chouette appartement en colocation ! Ces trois garçons qui n'avaient fait que se croiser vont faire un bout de chemin ensemble. L'amitié sera peut-être au bout de ce chemin.