Quel ratage !
Scénario sans intérêt. Un final qui est le décalque de celui d'
Il était une fois dans l'Ouest (La prochaine construction d'une ligne ferroviaire va faire la fortune de quelque(s) demoiselle(s) :ici, elles sont trois.
Que dire du dessin ? Matthieu Belhomme a fait de Cherry
(la plus mordue des 3 filles) une grande bringue au visage sans relief, comme découpé dans une feuille de papier dont elle a la platitude.
Aucun humour : Jolly Jumper est aux abonnés absents (qu'il dise "Brumpfff" deux fois ne rattrape rien) ; le brin de paille au bec de Lucky Lucke le rangerait dans le camp des "gonzesses" ! (pas drôle ou sexiste, voire homophobe).
Et surtout il y a ce personnage de Pete l'Indécis, guère plus qu'une utilité (une ordure parmi d'autres) auquel Matthieu Belhomme a donné les traits de
René Goscinny : comme hommage, on ne pouvait faire pire.
Dans les reprises des aventures de Lucky Lucke, j'avoue que j'ai mille fois préféré celle de
Guillaume Bouzard :
Jolly Jumper ne répond plus.