Fahrenheit 451

Je vais sûrement me faire lyncher mais... j'ai pas du tout aimé.

Enfin j'aime beaucoup l'idée du roman et l'univers créé. C'est un monde dans lequel on aimerait pas mettre un pied. On le découvre par petites touches et plus on en apprend, plus on a envie de ne jamais aller vers un monde pareil.

Les classiques et le style d'écriture des romans d'avant n'est pas du tout fait pour moi. J'ai beaucoup de mal à les lire et ici, j'ai retrouvé cette sensation. J'ai pas du tout accroché au style d'écriture de l'auteur et il y a certains moments où j'ai lu en diagonale.

La fin m'a laissé perplexe. J'apprécie les fins ouvertes mais bon là je vois pas l'intérêt. Je trouve qu'une fin fermée avec soit des solutions soit un fin catastrophique aurait plus apporter à l'histoire.

Après avoir lu Fahrenheit 451, j'ai eu l'impression d'être à l'école et d'avoir terminé un devoir pénible. Ça y était, j'avais lu un incontournable de la littérature.
Entre temps je me suis ennuyé. L'ambiance de ce monde sans livre est bien rendue, mais c'est la seule chose positive. Clarisse, le personnage sympathique du roman disparaît rapidement (sans que l'on sache comment), et les autres sont bien fades. le style ne m'a pas convaincu non plus, il ne me reste plus qu'à me hâter d'oublier ce livre, ce qui ne devrait pas poser de problème

Guy Montag est un pompier, et son but n'est pas d'éteindre les feux, mais d'en allumer pour brûler des livres, qui sont devenus des objets interdits. Un jour, Guy décide de tout de même découvrir la littérature, à ses risques et périls.
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Malgré l'intrigue qui m'attirait bien, ca ne l'a pas fait pour plusieurs raisons : d'une part l'écriture, ou du moins la traduction que j'ai trouvée un peu pompeuse, puis le récit qui n'allait pas assez vite. Je me suis surprise à piquer du nez à plusieurs reprises...
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La science fiction n'est pas vraiment faite pour moi je pense !

Visiblement, ce livre est un Grand classique de la SF.
Même si le fond de l'histoire m'a parut, la plupart du temps, intéressant, j'en ressors avec le sentiment de m'être un peu ennuyé.
Je ne sais pas si cela est du au style de l'auteur, mais certains passages m'ont semblé indigestes et sans but.
C'est dommage car je m'étais lancé dedans avec enthousiasme...
Bref, je n'ai pas adhéré même si le sujet m'a donné, par moment, matière à réflexion.

Ce roman est présenté comme LE roman dystopique à lire. Un classique, selon certains.

Je ne lui ai rien trouvé d'extraordinaire.

Je n'ai pas réussi à trouver un intérêt aux personnages, ni à l'intrigue. Tout me semblait confus.

La fin m'a laissé sur ma faim.

Certains classiques m'échapperont toujours.

Voici une critique un peu à contre-courant. Je n'ai pas trouvé de raison de mettre une meilleure note à Fahrenheit 451 et je ne comprends pas qu'il soit considéré comme une référence.

Il est certain que l'auteur a été influencé par les évènements de son temps : le nazisme et le communisme ont donné des sociétés où l'on brûlait certains livres et où on faisait la chasse aux intellectuels. J'ai donc trouvé le thème très intéressant, mais c'est tout ce qu'on saura de la société dystopique de Fahrenheit 451 : elle brûle les livres et elle favorise les autres formes de divertissement. J'aurais voulu que ce soit plus développé - dans un univers dystopique, c'est aussi cela que l'on attend.

Désormais, on connaît le déroulement des histoires dans les sociétés dystopiques : le héros est d'abord très bien intégré dans cette société, arrive dans sa vie un questionnement qui change son point de vue, puis il fait son possible pour lutter contre cette société ou s'en échapper... Globalia, Equilibrium... tant d'autres films ou livres se basent exactement sur cette même trame. Fahrenheit 451 ne peut pas - ou ne peut plus - apparaître comme une perle rare.

C'est donc une déception. Tant pis. J'aurai peut-être plus de chance avec un autre livre de Bradbury.

Je l'ai lu parce que c'est devenu un classique, une référence. Je pense à Michael Moore qui a fait son film "Farenheit 9/11" en jouant sur ce titre-référence.

Bon... C'était intéressant. Une bonne critique et mise en garde sociologique, comme tout bon science fiction.

Est-ce que j'en suggère la lecture? Bah, ça n'est pas très long, alors pourquoi pas se l'enfiler, question de culture. Mais j'ai trouvé ça un peu étrange, comme récit. Pas très solide, j'oserais dire.

A la fois ancien (1953) et très moderne, ce roman de Bradbury cherche à découvrir la valeur de la littérature, des mots, de la pensée. Il nous met sur de nombreuses pistes de réflexion. C'est incroyable comme le monde dans lequel on vit ressemble à celui qu'il a imaginé. Bien entendu, la technologie et les politiques mises en place ne correspondent parfois pas du tout à nos systèmes actuels mais c'est dans la manière de vivre, et penser, de désirer qu'on reconnait nos sociétés de consommation qui vont à toute allure et qui crament tout sur leur passage.

Bradburry pique juste où il faut avec son héros parfaitement intégré dans cette société futuriste où lire est devenu criminel, où le bonheur est d'avoir le cerveau sans cesse sollicité, de bouger constamment, même si on ne sait pas où nous allons ni ce qu'on fait... du moment qu'on fait.

Puis dans sa vie, il y a des petits hics. Une rencontre inhabituelle, des petits questionnements, deux trois choses qui ne collent plus. Un livre qui lui tombe par hasard dans les mains alors qu'il est là pour faire régner l'ordre et tous les détruire. Et là c'est la débandade. Comment sa société en est-elle arrivée là? Pourquoi n'arrive-t-il pas à réfléchir, ne fut-ce qu'un instant? Pourquoi ne le laisse-t-on pas penser?

J'ai été plutôt déçue par cette lecture. Pour un classique, je ne l'ai pas trouvé très abouti.
J'ai trouvé le style de l'auteur assez plat et les personnage pas très réalistes. du coup, je n'ai pas réussi à m'attacher à eux ou ne serait-ce qu'a m'intéresser a eux.

Montag est un pompier. Sauf que dans ce monde, les pompiers n'éteignent pas le feu, ils l'allument. En fait, leur travail est de détruire les livres. Car dans ce monde, il est interdit de lire.
Les gens ne réfléchissent pas, ne pensent pas, ils sont complètement abrutis par la technologie. Ils ont des pans de murs entier dans leurs maisons qui sont en fait des télévisions qui hurlent a longueur de journées.

Fahrenheit 451 est un livre qui a beaucoup de potentiel mais qui au final n'est pas très intéressant. Il a quand même le mérite de faire réfléchir les lecteurs, ce qui en soit n'est déjà pas si mal.
Lien : http://leslecturesdefeflie.b..

Un grand classique assez visionnaire qui dépeint une société hyper technologique et hyper individualiste, où le héros est un pompier; A cette époque, les pompiers n'éteignent plus les feux mais sont payés pour brûler les livres, et avec eux toute la culture, et même, éventuellement, leur propriétaire. Voici un roman qui pose de vraies questions sur le sens de l'histoire et sur les priorités de nos sociétés. Ceci dit, si je trouve la problématique fascinante, je n'aime pas le style de l'auteur.