Hunter

Un polar aussi noir que le froid qui s'emparre de vous et vous fige.
Un univers de cahos, entre Tarantino, les freres Cohen et Mario Bava, on en sort groggy.

Je l'ai dévoré en un après midi. Lecture rapide, j'avais la sensation d'être pris dans un film sans pouvoir quitter l'écran des yeux.

Nettement mieux que l'étouffant Mato grosso, ce Hunter lance une série qui s'annonce prometteuse mais n'égal cependant pas les aventures de l'imprononçable Yeruldegger Bon on fera avec, mais le style n'est pas celui d'un Craig Johnson pour décrire la vie dans l'ouest Américain, dommage et les personnages trop manipulés pour prendre vie. Je lirais la suite, ça mange pas de pain, mais c'est comme Fantazme, ou cette critique, un peu écrit rapidement .....

ce livre m'a beaucoup heurté, il faut du coffre pour le lire, mais malgré tout on ne le quitte pas

Ce livre vous coupe le souffle au propre comme au figuré. On sent tout au long de l'Intrigue, qu'il ne faut surtout pas dévoiler, ce souffle froid et ces paysages lugubres de ce village abandonné sauf par quelques individus au passé trouble et douloureux .
Cette chasse à l'homme pour retrouver le coupable mais qui n'est pas celui qu'on croit
La violence est extrême et inimaginable
Un racisme sous jacent en permanence évoqué et des portraits de femmes qui sont celles qui résistent , qui se battent
La fin laisse la porte ouverte à une suite qui risque d'être sanglante elle aussi
Un excellent scénario pour un thriller