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3,03

sur 51 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Merci à Babelio et aux éditions Open Strange Doors pour cette proposition de lecture totalement hors de ma zone de confort.
J'étais impatiente de recevoir ce livre avec l'idée de faire une incursion dans le monde de l'heroic-fantasy que je ne connais absolument pas ( si ce n'est Tolkien).

L'histoire se déroule  au XVIème siècle, dans une ambiance très moyen-âgeuse où la magie est encore très présente bien que totalement interdite par l'Église.
On découvre d'abord Angus Grey, un jeune homme maladif aux aptitudes de sorcier qui va s'adjoindre un démon familier surnommé Karb. Avec un groupe de sorciers dirigé par un certain M.le Maudit, il se lance dans une mission contre la papauté en réponse aux persécutions que les sorciers ont connus depuis l'avènement de la chrétienté. Il est accompagné d'un prieur de l'abbaye de Westminster en mission vers Rome avec lequel il se lie d'amitié.

La première partie, intitulée La maison Grey, a tout fait pour me décourager de poursuivre ma lecture. J'ai eu l'impression de me retrouver dans un univers auquel je n'avais pas accès. J'ai même eu le sentiment que l'auteur refusait de m'en donner les clés et qu'il ne les confiait qu'à des lecteurs initiés.

Certes l'atmosphère ésotérique est de circonstance, et cette partie est très descriptive. Mais cette présentation est restée pour moi totalement hermétique, tant la part d'implicite dans la construction de cet univers est importante. Comme si l'auteur avait créé un monde cabalistique dont il ne souhaitait pas partager les codes.
J'ai rarement eu ce sentiment d'être tenue à l'écart, alors même que j'ai apprécié des romans sur des thèmes qui me semblent aussi mystérieux que le base-ball, la pêche à la mouche ou la physique quantique.

Les parties suivantes sont davantage rythmées par les rebondissements dans la poursuite de leurs aventures. Mais ceux-ci n'ont pas suffi pour susciter mon intérêt pour des personnages dont je ne comprends pas les intentions. le monde de la sorcellerie, avec sa hiérarchie et ses multiples divisions, reste pour moi inintelligible après cette lecture
Il m'est difficile de diagnostiquer la cause de cet échec, et de l'ennui ainsi occasionné, d'autant plus que l'écriture, plutôt littéraire et travaillée, n'est pas en cause.
J'aurais été ravie de faire la connaissance de ces sorciers, magiciens, nécromanciens ou goètes mais je suis restée bien loin de ces démons médiévaux et de leurs occultes occupations.
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Voici qu'il est temps pour moi de livrer mes impressions et vraiment la tâche est difficile ....parce que ce lourd pavé (plus de 1,5 kilos) m'est littéralement tombé des mains et que j'ai vraiment dû me battre les flancs pour poursuivre ma lecture avec la pénible impression de devoir absorber sans faim un plat vraiment indigeste. Et oui , je dois l'avouer à ma grande honte, j'ai jeté l'éponge en abandonnant ce texte , ce qui ne m'était pas arrivé depuis bien longtemps.
Quel dommage car l'intrigue bien résumée sur la quatrième de couverture avait tout pour me plaire et depuis ma découverte de la Fantasy il y a une bonne dizaine d'années , je me suis attachée à ce domaine littéraire qui recèle tant de pépites et j'ai béni ces auteurs qui m'ont apporté tant de bonheur de lecture, Pierre Pevel en premier bien sûr, mais aussi Robin Cook, Ursula le Guin et Georges Martin.
Avec Searth Cabal qui apparait modestement sur Google comme encyclopédiste (sic!) je n'ai vraiment pas retrouvé le plaisir délicieux de lecture que j'attendais de ce roman.
Nous voici dans un univers uchronique où Mary la Sanglante (la fille d'Henry VIII et de Catherine d'Aragon) règne depuis de longues années sur l'Angleterre et impose la religion catholique .
Les mages (ou goètes) se font discrets et la lutte entre l'Eglise et les sorciers se trouve d'autant plus à l'ordre du jour que le roman se déroule à la période charnière entre la mort d'un pape et la prise de fonctions de son successeur.
Angus Grey , le dernier héritier d'une lignée de sorciers est atteint d'un mal mystérieux ce qui ne l'empêche pas de vouloir se joindre à une conspiration contre l'église dirigée par le puissant M le Maudit (tiens, tiens coup d'oeil à Fritz Lang ? ).
Pour cela il lui faut invoquer un puissant esprit mésopotamien au cours d'une invocation maléfique qui exige le sacrifice de jeunes enfants ( ça commence bien ! On trouve tout de suite le héros vraiment sympathique !)
Mince ,ça ne marche pas et c'est un démon familier qui surgit de cette cérémonie sanguinaire et la créature va s'attacher aux pas du héros, un lien puissant se créant entre les deux personnages.
Sur ces entrefaites, arrive dans le château non pas Dracula mais un religieux du nom de Bartley Blyth qui fait halte dans cette sinistre demeure sur sa route vers Rome où il doit aller pour se racheter d'une lourde faute ...
Entre les deux personnages des liens vont se tisser et leur chemin sera long, parsemé d'embûches avec des péripéties multiples et des batailles , le déroulement de l'intrigue faisant par ailleurs la part belle à la magie...
Mais pourquoi suis-je restée totalement imperméable à ce texte ? D'abord parce que les personnages sont vraiment peu sympathiques voire même irritants et on se contrefiche des malheurs qui peuvent bien leur arriver !
Seul le petit démon Karb échappe à mon féroce jugement car au moins, lui, il tente de s'améliorer et il évolue au cours du récit ce qui le rend attachant.
Ensuite les flashbacks qui interviennent fréquemment sans prévenir, troublent la cohérence temporelle du récit. Par ailleurs le texte (ou la traduction ?) est peu précis et parfois on ne sait pas qui parle (c'est gênant !)
Le style enfin est vraiment ampoulé voire amphigourique (pour rester dans le champ lexical cher à l'auteur ) et vraiment pour un livre de fantasy trop , c'est trop ;
Ce livre n'était vraiment pas fait pour moi et j'espère qu'il pourra trouver son public grâce à sa superbe illustration de couverture.
PS : pour finir sur une note plus positive voici la très belle citation de Milton qui introduit le récit
"qu'importe une terre ou riante ou maudite ?
Ce ne sont pas les lieux c'est son coeur qu'on habite ;
le coeur de notre sort cet arbitre éternel
Fait du ciel un enfer et de l'enfer un ciel "
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Merci à Babelio et aux édition Open Stange doors pour l'envoi de ce livre.

Ce pavé de plus de 700 pages nous emmène dans l'Europe mystique du XVIème siècle, un siècle obscur entre une Eglise toute puissante et de sombres pouvoirs qui ressortent des ombres.

En protagoniste nous allons suivre Angus Grey et un prêtre Bartley Blyth.

Et c'est là que ça commence à coincer pour moi. Je développe.
Angus, dès le départ, m'a été antipathique au possible : je eut l'impression de croiser ce bon vieux Elric (@Strombringer , @Michael Moorcock ) mais en bien moins écrit. Je suis face à un nécromancien, épris de grandes ambitions, devant porter le combat face à la chrétienté MAIS il est de constitution chétive (à tiens comme "mon" prince albinos), cruel (ah tiens comme, bref ;) ) et va passer un pacte avec une sombre entité (oui vous avez compris le principe).

S'ajoute un passage "trop dark" complètement gratuit : et je suis sorti du texte.

J'ai poursuivit en découvrant Bartley et je suis ressortis. Là c'est de ma faute: je n'arrive pas à le distinguer, dans la scène d'introduction (très longue scène) de son acolyte, dans cette fichu diligence. Il y a un loupé car c'est vraiment confus à la lecture.

J'ai continué mais ça était compliqué. Pourtant j'ai un univers riche, ouvert, avec une ancre historique sympathique mais non. J'ai l'impression d 'avoir déjà lu ça mille fois (j'ai du @les dames du Lac de @Marion-Zimmer-Bradley par exemple avec la posture de la mère adoptive).

Bref, un pavé qui m'a lassé et que je ne peux pas recommander.

NB: je le place en fin de critique car c'est très personnel: le niveau de langue de l'auteur. Alors oui, pas de soucis pour découvrir un nouveau mot. C'est mon pêché mignon de prendre mon dictionnaire et de noter un mot. Par contre si c'est pour faire un effet de style avec un synonyme léché... aucun intérêt. Oupille c'est un flambeau, ça marche. Je vous laiss deviner de quel côté penche ce roman ;)
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Inspiré par les quelques avis existants et par le résumé qui a capté mon attention, j'ai accepté de me laisser tenter par ce texte.
Mais cela ne l'a pas aussi bien que ce que j'avais espéré.
Le roman est long, ça se voit tout de suite. Pourtant, ce n'est pas quelque chose qui a tendance à me faire peur. Cependant, je me suis très vite rendu compte de la lourdeur du style. Et s'il y a beaucoup d'action, cela n'enlève pas que j'ai eu du mal à accrocher. Ce qui n'a pas joué en sa faveur non plus, c'est l'impression d'un manque d'informations. On est tout de suite plongé dans le récit et je trouve qu'il manque une introduction pour comprendre un minimum le fonctionnement de l'univers décrit. C'est comme si le narrateur écrivait en s'attendant à ce que l'on soit déjà dans sa tête et qu'on ait les mêmes informations que lui. Cela a créé une mise à distance entre moi, le récit et les personnages.
Ce n'est donc pas un avis très enthousiaste. Malgré les qualités qu'il y a dans ce livre, l'univers et les personnages qui semblent très intéressants et le travail indéniable derrière l'écriture de ce texte, je n'ai pas réussi à être transporté par ses pages.
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, "La grande année des goètes" est un premier roman prometteur qui mêle habilement histoire médiévale et magie noire dans une uchronie captivante. Malgré quelques longueurs et un style d'écriture exigeant, l'intrigue riche en rebondissements et en personnages attachants saura certainement séduire les amateurs de fantasy. En librairie depuis sa sortie le 1er janvier.
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Je dois avouer que c'est la première fois que je lis un livre et que je ne comprends que très peu de choses à ma lecture tant cet ouvrage est ésotérique. Esotérique dans son histoire, mais cela est normal puisqu'il parle de sorcellerie, mais aussi ésotérique dans son écriture. Les noms, les termes employés, les légendes évoquées et même les éléments historiques sont tellement compliqués qu'on se demande si on sait encore lire. Certains passages sont plus faciles que d'autres, mais globalement cela concerne tout le livre. Si vous n'êtes pas spécialiste de la sorcellerie, vous êtes complètement perdu. Pour presque toutes les phrases vous êtes obligé d'aller sur internet pour mieux comprendre. de plus, les chapitres et sous-chapitres commencent tous par « Il faisait ci, il pensait ça… », et vous mettez un petit moment à savoir de qui on parle. Je suis certain que l'auteur avait une vision claire et précise de tout cela dans sa tête mais la retranscrire à l'écrit est autre chose. Quand on lit un roman, on se représente les personnages, les lieux, les événements etc, et cela participe au plaisir de la lecture. Mais là, je n'y suis pas arrivé tant c'était compliqué. Impossible de me représenter les visages, les bâtiments ou les « batailles ». Je me rappelle, en ayant vu le film « 2001 l'odyssée de l'espace », m'être dit que le film n'était pas bon car si on n'avait pas lu le livre, on passait à côté de plein de choses dans le film. Et bien, là, c'est l'inverse. Il faudrait peut-être faire un film pour bien comprendre et bien profiter du livre ensuite. Car oui, l'histoire, que l'on comprend malgré tout globalement, est intéressante et prenante, mais la lecture est bien trop complexe pour pouvoir réellement et pleinement l'apprécier. Ce livre est un sacré travail, n'en doutons pas, et chapeau à l'auteur, mais il n'est pas à la portée de tout un chacun. Alors, si vous êtes amateur et connaisseur de tout ce qui touche à la sorcellerie et aux légendes associées, sans doute ce livre vous plaira. Pour vous faire réellement une idée, essayez de trouver des critiques de gens qui s'y connaissent car je ne suis vraiment pas le mieux placé pour vous le certifier. En revanche, si vous n'êtes pas un spécialiste de goétie et/ou théurgie, commencez par lire des livres sur ces sujets avant de vous attaquer à ce livre.
Un grand merci cependant à Babelio et Open Strange Doors de m'avoir permis de découvrir cet ouvrage, c'est toujours enrichissant.
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Je remercie Babelio et Open Strange doors pour cet envoi lors d'une opération Masse Critique.
Néanmoins, je vais livrer mon ressenti honnête sur ma lecture, et je ne suis pas très enthousiaste. D'abord, à première vue, la couverture m'a évoqué un roman pour adolescents ou yong adult, avec cette silhouette masquée tel un assassin de jeux vidéos, et cette créature à ses pieds qui pourrait faire penser à un Pokemon - de l'apparence de Salamèche, du caractère de Pikachu. le terme de "goètes" du titre est expliqué dès la première page, mais j'ai vraiment eu l'impression qu'il était mis à la place de magicien juste pour se différencier du cycle Harry Potter...
Un tout jeune adulte accompagné d'une créature magique un peu peureuse mais qui parle avec la voix de la raison, une Eglise toute puissante et universelle qui écrase le monde par son intolérance, un complot pour l'abattre... Tout cela n'est pas d'une folle originalité, et, surtout, selon moi, est tellement plus subtil et riche dans la Trilogie de la poussière de Philip Pullman - plus connue sous le nom d'A la croisée des mondes en français. Ici, on comprend que nous sommes dans une uchronie où Marie Tudor est restée au pouvoir et a maintenu le catholicisme en Angleterre. Sauf que... L'auteur n'en fait quasiment rien. Les aspects uchroniques sont très peu présents dans le texte.
Je passe aussi sur des révélations sur les identités de personnage qui sont assez évidentes, des rebondissements attendus et des personnages très monolithiques, sans nuance ; c'est le démon qui se révèle être le plus complexe. Pour finir, la fin m'a semblé très longue, d'autant que les personnages étant des magiciens voire des nécromants, ils ne meurent pas, ou pas complétement - sauf que, quand cela fait la 3ème fois qu'on nous dit qu'un personnage est mort et qu'il revient, l'effet s'affaiblit... Les dix dernières pages sont d'ailleurs assez ratées selon moi, sans rapport avec le récit initial, avec un ton qui tranche par sa légèreté avec le reste.
Peut-être que l'auteur prépare un tome 2 - ou une adaptation en série, mais ce sera alors sans moi.
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Alors que la magie est depuis longtemps proscrite dans cette Europe du XVIe siècle, Angus Grey, héritier d'une lignée de sorciers anglais, porteur d'un don rare et d'un mal mortel va se lancer dans une quête démoniaque qui va se transformer en un examen de conscience et d'une recherche d'un idéal de vérité existentielle. Autour d'un contexte historique uchronique mêlant fantasy médiévale et magie noire, alliances magiques et associations improbables Searth Cabal imagine une collusion de magiciens, poussés par la prétention et une volonté de vengeance, pour abattre la tyrannie de la papauté et l'emprise de Rome sur le monde. Entre pactes occultes, alliances douteuses et un hypothétique sentiment de probité prétexté par les protagonistes, ce voyage tant épique qu'initiatique va se révéler plus qu'aventureux. de l'Angleterre jusqu'à Rome, Searth Cabal développe un périple mouvementé et plein de rebondissements dont les acteurs vont inconsciemment établir les bases d'un nouveau monde. Les nombreuses péripéties, les affrontements comme les manifestations de magie et de nécromancie sont décrits avec minutie. En s'appuyant sur des recherches soignées, l'auteur mélange judicieusement une fantasy romanesque à L Histoire, construisant un récit riche et sophistiqué qui conjugue théologie, légendes ancestrales et démonologie.
L'intrigue est conséquente, plutôt plaisante mais certains aspects sont difficiles à appréhender, surtout lors d'une première partie confuse, longue et complexe mais également lors des évènements nébuleux dans la cité romaine. Au final, on ne comprend pas très bien les tenants et aboutissants de cette quête mystique et de cette confrontation latente entre le bien et le mal. le caractère de chaque personnage est analysé en profondeur et longuement développé. En revanche, ils sont froids, immuables et quel que soient les circonstances, les polémiques ou les épreuves traversées, ils n'affichent aucune évolution. Aucun, hormis peut-être le démon familier Karb, ne fait montre du charisme nécessaire pour susciter un intérêt particulier, de la sympathie ou une quelconque compassion.
Paradoxalement, la richesse du vocabulaire, la dimension onirique, le foisonnement des détails, le lyrisme des descriptions et l'intensité du climat ambiant rendent la lecture laborieuse et peu attrayante. Dans un objectif de perfection, Searth Cabal s'égare dans une écriture par trop alambiqué et une lourdeur de style superflue. "La grande année des goètes" est un premier roman singulier, pas réellement déplaisant mais, trop disparate et grandiloquent.
Un grand merci aux éditions Open Strange doors pour la découverte de ce roman qui, même s'il ne m'a pas particulièrement captivé, n'est pas inintéressant sur le fond. Un ouvrage reçu à l'occasion d'une opération promotionnelle de Babelio qu'également je remercie vivement.

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C'est malheureusement un abandon pour moi. le résumé me tentait beaucoup, j'ai été très intrigué par ce roman fantasy médiéval, cependant, je n'ai pas réussi à adhérer à la plume de l'auteur. J'ai fait plusieurs tentatives, mais impossible d'accrocher. Dès les premières pages, on entre directement dans l'histoire. Si d'habitude, j'aime ce genre là, j'ai été perdu. Pour moi, il manquait les explications dans les premiers chapitres, qui m'auraient permis de m'immerger dans cet univers. le langage soutenu ne m'a pas aidé non plus. Ce n'est pas un style que je lis beaucoup, mais qui peut être très beau cependant, comme j'avais du mal à savoir où l'auteur voulait m'emmener, ce genre n'a fait que me perturber encore plus. Ce n'est pas un livre pour moi.
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Je tiens tout d'abord à remercier Babelio et Open Strange Doors pour l'envoi de ce livre.

C'est pour moi un abandon après quelques 150 pages.

D'abord, le format est tout sauf pratique pour la lecture. le livre est très grand et large, en plus de faire plus de 750 pages, mais il fait en plus de ça un poids de 1.3kg ! Comment dire que le transport est impossible et qu'on ne peut lire qu'assis.

Parlons du contenu. L'histoire n'avait l'air pas trop mal, mais je n'ai jamais réussi à m'attacher aux personnages. Je trouve le rythme très très lent, on est bien loin d'un page turner, j'avoue n'avoir jamais eu l'envie de tourner les pages. Enfin, les changements de points de vue sont très peu visibles, si bien que l'on a tendance à se perdre dans le récit.

Voilà pour moi, je ne dis pas que le livre soit mauvais en soit, mais il n'est pas fait pour moi.
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