Le souffle chaud de Matéo dans son cou, ses baisers, ses caresses l’électrisaient. Les mains du jeune homme couraient sur elle, n’osant trop s’attarder, de peur de la choquer. Parfois il s’arrêtait, comme s’il attendait sa permission. Elle prenait ses mains et les posait là où il n’osait pas, là où elle avait envie. Elle souriait, elle était belle. Elle lui disait des « Je t’Aime ».
Elle était heureuse. Avait-elle déjà été aussi heureuse ?