L'ensemble austère et sans espoir se dirige malgré quelques ouvertures sensitives vers une conclusion négative voulue par le maître des ténèbres ici et ailleurs en même temps venu en urgence recadrer ces troupes sur le point de sombrer dans les sentiments.
Tout est volontairement distant, irrespectueux, obscur et froid dans un moyen âge sans vie propice à tous les désenchantements ou seul le chant est susceptible de drainer quelques sensibilités.
Il faut un rien pour distraire le malin, le malheur du monde par exemple cela n'empêche pas un voyeur sinistre et détaché responsable de tous les maux de souffrir de solitude en se délectant seul de ses méfaits.
Comment dans ces conditions espérer la moindre indulgence d'un concept revanchard, livré à lui-même n'ayant aucune pitié pour tous ces humains fragiles et prétentieux soumis docilement à leurs fausses perceptions sans combattre.
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Les visiteurs du soir" contexte défaitiste et ténébreux baigne dans une temporalité et une énergie quasiment nulles à l'image de l'insensibilité de ces envoyés du Diable aux regards éteints complètement vidés de toutes émotions.