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Un dernier tome qui répond aux questions posées dans les 2 premiers, toujours aussi amusant par moment et sérieux à d'autres.
Une conclusion juste ce qu'il faut et des relations entre personnages qui se sont développées en finesse entre le 1er et le dernier tome. Une série à découvrir et à relire
Lien : http://bulledelivre.wordpres..
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"Sans âge", le cinquième tome du "Protectorat de l'ombrelle" de Gail Carriger donne le clap de fin à cette merveilleuse saga littéraire.

D'un côté, tant mieux: cela commençait à tourner en rond et à perdre tout doucement la saveur de "la première fois"; d'un autre côté, je me sens déjà un peu nostalgique et surtout triste de quitter Alexia et ses aventures incroyables.

Et oui, entre sa relation amoureuse avec un loup-garou, celle étrange et amicale avec les vampires, sa maternité particulière, ses visites en Italie et en Egypte, son style de défense à la sauce british avec du combat à l'ombrelle entrecoupé de pauses pour prendre le thé, ... tout ça va me manquer!

Ce 5ème tome emmène Alexia, sa famille, et toute une troupe de théâtre en Égypte où elle doit présenter sa fille à la plus vieille vampire "vivant" encore sur Terre. Elle en profite pour enquêter sur le mystérieux "fléau des Dieux" et en apprend un peu plus sur son père...

J'ai beaucoup aimé l'intrigue, même si je trouve qu'il reste encore quelques pans de la vie de notre héroïne sans réponse. J'ai en tout cas beaucoup aimé la fin, qui était mouvementée mais qui laisse aussi place à l'imagination pour la conclusion.

Si vous aimez le steampunk, le fantastique, l'Angleterre et/ou la Reine Victoria, cette saga est faite pour vous. Humour & action au rendez-vous!

Bref, merci à l'autrice d'avoir utilisé sa plume pour créer ce merveilleux moment de lecture!
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Ça y est, j'ai enfin terminé le cinquième et dernier tome du protectorat de l'ombrelle. J'ai mis du temps pour le lire, non pas qu'il n'est pas bien, au contraire, mais j'étais prise par mon projet de reconversion professionnelle et le webinaire sur les métiers du numérique, ce qui me prenait la journée entière ainsi que les soirées.

J'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire :
Deux ans ont passé depuis la naissance de Prudence et la vie des Maccon ainsi que celle de lord Akeldama est rythmée par les frasques de la petite fille. Une fois la nuit tombée, cette dernière vole les pouvoirs des surnaturels, et sa mère est obligée d'intervenir.
Tout au long de cette lecture, on découvre les capacités de l'Abomination, mais également ses limites, ce qui était intéressant.
Deux événements marquants se produisent :
– lady Kingair revient d'Écosse pour demander de l'aide. Son Bêta s'est rendu en Égypte pour enquêter sur la momie, mais il a disparu.
– Alexia et Prudence reçoivent une invitation que notre héroïne ne peut pas refuser, venue de Matakara la plus vieille des vampires. C'est ainsi que toute la famille se rend à Alexandrie avec les Tunstell – il faut bien une excuse pour voyager là-bas et quoi de mieux que d'accompagner la troupe de théâtre dont ils sont les mécènes ?

On sent que c'est un dernier tome : beaucoup de révélations sont faites que ce soit sur le Alessandro Tarabotti, sur Floote ou sur Biffy.
D'ailleurs les passages que j'ai préférés sont ceux avec le jeune loup dandy de la meute de Londres : il est tellement attachant que je ne peux m'empêcher de l'adorer. Quand il était là, ça se lisait tout seul et j'avais terriblement envie de savoir la suite.
J'ai eu un peux plus de mal avec les scènes en Égypte. Sûrement parce que j'apprécie énormément le côté anglais du récit et là, je me suis sentie déracinée : le contraste entre les deux cultures était trop violent et ce, malgré le fait que les personnages restent eux-mêmes et un peu guindés.
Malheureusement, l'atmosphère qui se dégage de ce pays m'a déplu : toutes ces étendues arides, ces dunes de sable, la ruche de Matakara tellement différente de celle de la comtesse Nadesky ou de la maison d'Akeldama.
J'ai fini par m'y faire, mais ce n'était pas aussi fluide que d'habitude.

Ça n'empêche que j'ai beaucoup aimé cette lecture, surtout les derniers chapitres qui m'ont fait hurler, l'angoisse totale !
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..
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Ce dernier tome n'était franchement pas indispensable. L'humour de l'auteur que j'avais tant apprécié jusque là, sombre dans le grand guignolesque et c'est dommage. Dommage aussi toutes ces facilités narratives qu'elle emprunte et auxquelles elle ne nous avait pas habitués. Un roman bâclé au regard des précédents tomes qui étaient plutôt bien ficelés. Une déception pour moi : heureusement, l'histoire s'arrête là.
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Je n'ai pas trouvé de points négatifs dans cet opus. Les personnages sont toujours aussi hilarants et intéressants, avec de belles évolutions dans les ruches, meutes et familles de tout ordre, certaines attendues par le lecteur et d'autres un peu moins.

Côté intrigue je n'ai pas repéré d'incohérences flagrantes, j'ai même trouvé qu'il y avait de très bonnes choses, notamment avec cette reine vampire d'Alexandrie. J'ai aussi adoré le traitement du choc des cultures Egypte – Angleterre qui donne lieu à de petites pépites humoristiques.

J'ai été satisfaite de revoir pas mal de personnages des anciens tomes, j'ai un peu eu l'impression que l'auteur essayait de les rassembler une dernière fois, même alors que pour un ou deux ce n'était pas trop nécessaire à l'intrigue, mais ça allait, elle n'a pas abusé des caméos non plus.

Une série qui se finit comme elle a commencé, dans un joyeux désordre social et surnaturel.
Lien : https://croiseedeschemins.wo..
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Un superbe dernier tome! On découvre une autre facette de plusieurs personnages : Alexia, professeur Lyall, Biffy et Floote! J'aime beaucoup la petite Prudence qui a déjà une grande personnalité du haut de ses 2 ans et qui n'est pas sans rappeler sa maman.
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Bon, commençons par le côté désagréable du livre, sa couverture.Je n'ai pas le choix des couvertures de cette série, qui sont kitsch à souhait, à cause de ce photomontage visuellement peut attrayant. Je préfère de loin celles du Livre de Poche, mais malheureusement pour moi, quand je commence une série dans une certaine édition et un certain format, j'aime bien la poursuivre jusqu'au bout. Et comme le grand format sort toujours avant la version poche...

Ce cinquième et dernier tome de la série du Protectorat de l'ombrelle est dans ma PAL depuis sa sortie, et j'ai retardé sa lecture autant que possible, car je n'avais pas envie de quitter cet univers loufoque et ses personnages tous très attachants. J'ai pourtant cédé quand j'ai appris que Gail Carriger entamait une nouvelle série, dans ce même univers, avec pour personnage principal, Prudence. Trop cool!! Je dois avoué que j'ai du posé puis reprendre ce livre au cours de sa lecture à cause d'un trou de mémoire phénoménal concernant les aventures écossaises d'Alexia. La lumière n'est pas revenue pour autant mais d'une part cela ne m'a pas empêché de comprendre le récit, et d'autre part cela va m'insiter à relire la saga dans son intégralité,... lorsque j'aurai le temps (c'est quoi ce gros éclat de rire que je viens d'entendre?! *mode offusquée*).

Replonger dans les aventures toujours plus rocambolesques d'Alexia a été un vrai plaisir, avec cette fois un voyage à la clé: l'Egypte. En plus de son univers steampunk, le charme de cette série est toujours bien présent, avec cette atmosphère victorienne, à Londres, comme au Moyen Orient, la "complicité" verbale entre Alexia et Conall, les familiers de la série comme Biffy, Ivy et compagnie. Tout y est. L'intrigue de ce tome s'insère parfaitement au milieu de tout ça.

L'élément novateur de ce tome est la présence de la fille d'Alexia et Conall, nommée Prudence, qui est une vraie tornade à elle seule. Elle apporte du pep's aux aventures de ses parents en tant qu'élément instable et assoiffée de découvertes. Elle a pour compagnons les enfants d'Ivy, un peu plus discrets quant à eux. La clôture de cette série implique des réponses aux questions que le lecteur se pose notamment sur le père d'Alexia, qui trouvent une réponse ici, même si elle n'est pas simple à expliquer à un profane. Gail Carriger fait également évoluer ( terme assez énigmatique pour éviter tout spoiler) trois personnages importants parmi les proches d'Alexia et Conall: Biffy, Ivy et le Professeur Lyall. Lord Dama est beaucoup moins présent ici, dommage. (...)
Lien : http://lillyterrature.canalb..
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Si la qualité n'a pas toujours été la même dans les 5 tomes qui composent la saga, j'ai trouvé ce dernier tome à la hauteur de notre chère Alexia. Il y a un seul bémol, mais dans l'ensemble, ce que j'aimais avec Gail Carriger y était.

L'humour, tout d'abord. Cet humour très british, décalé à souhait, qui me fait tantôt sourire, tantôt rire.

Le vocabulaire souvent tiré par les cheveux, avec un soupçon de steampunk, est juste incroyable. C'est dans ces moment-là que je regrette de ne pas pouvoir lire ce genre de livre en VO, je serais perdue. Comment, quels choix a fait le traducteur pour nous offrir un texte pareil?!

Les personnages sont succulents. Dans ce dernier tome, l'un d'entre eux ressort plus que les autres. Il s'agit de Biffy. Je l'ai toujours apprécié, mais son personnage évolue de manière particulièrement intéressante. Il est à la fois tendre, naïf et décidé. Un mélange qui donne un résultat final surprenant et que je trouve tellement excellent. C'est la fin parfaite qui convient à ce personnage. Lyall se révèle un sacré coquin et trouve une place à la fin de la saga qui est moins lumineuse mais néanmoins cohérente. Ivy... reste Ivy mais préparez-vous, elle saura aussi vous surprendre (façon Ivy, on s'entend).
Voilà le tour d'Alexia, Conall et Prudence.
Alexia est impossible. Je l'ai trouvé plus ''normale'' dans ses réactions émotives tout en restant fidèle à elle-même. Elle en fait voir de toutes les couleurs à son mari, et jongle habilement entre ce dernier et sa démone de fille. Cette dernière est un danger public. Imaginez une enfant de deux ans absolument inconsciente de ses pouvoirs, avec le caractère d'Alexia. Cela donne une Prudence pas vraiment prudente. du pur délice. Et avec ça, il y a un Conall au caractère toujours épouvantable, aux nerfs durement mis à l'épreuve, mais qui... non ne le mérite pas, mais disons sait très bien se débrouiller pour s'en sortir. La fin qui concerne ces trois personnages m'a beaucoup plu. Cela peut sembler facile, je l'ignore, mais une fin qui me rassure concernant un couple et un enfant auquel je me suis énormément attachée.

Au niveau de l'intrigue, la boucle est bouclée sur pas mal de points. le petit tour en Egypte ajoute un peu de piment au récit et amène de nouveaux personnages plus que mystérieux, avec au début, beaucoup beaucoup de questions. C'est dans les réponses que j'ai trouvé une faille, concernant le père d'Alexia. Il m'a manqué un petit quelque chose pour être satisfaite.
Et j'avoue, des séries parallèles seraient un pur bonheur concernant des personnages comme Tarabotti père, Biffy, Ivy... Prudence!

C'est une saga qui se clôt très bien, avec ce qu'il faut de ''vrai fin'' pour me satisfaire, et assez d'ouverture pour faire aller l'imagination. Et Gail Carriger nous l'a prouvé avec sa nouvelle série ''Le pensionnat de Mlle Géraldine'', son univers, elle l'aime.
Lien : http://samlor-en-livre.eklab..
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“Sans âge” clôture une saga digne de ce nom. de la même trempe que les précédents, nous filons sur un autre continent pour une enquête à 200km/h. Gail Carriger fait monter tous ses personnages sur la scène et on ne résiste pas à les suivre une dernière fois. La fin proposée est on ne peut plus juste pour qui a pu apprécier la compagnie d'Alexia et toute sa clique.
(chronique complète sur le blog)
Lien : http://livrement.com/2013/10..
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Bon, si j'ai bien compris, il s'agissait de la dernière aventure d'Alexia Tarabotti, notre paranaturelle préférée. J'y ai retrouvé tous les ingrédients que j'aime dans cette série (l'humour anglais, l'ambiance victorienne et les descriptions des toilettes de l'époque), sans parler des personnages auxquels je me suis attachée au fil des tomes. Encore une fois, les voyages et les rebondissements ne manquent pas, certains mystères trouvent leur résolutions, d'autres restent en suspens, mais quelle lecture plaisante et divertissante. Et encore une fois, je trouve que c'est bien pour un auteur qui a du succès avec une série de savoir s'arrêter ! (juillet 2013)
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