AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,12

sur 301 notes
5
19 avis
4
40 avis
3
7 avis
2
0 avis
1
2 avis

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
C'est ce qui s'appelle être complètement à contre-courant : j'ai détesté cet album, et de plus en plus au fil de la lecture, alors qu'il récolte une superbe moyenne de 4.21/5 sur Babelio et que sa "note" la plus basse est 3.

Le début est plutôt sympathique, prometteur en tout cas : nous sommes à New-York en 1970. Paul est doué pour le dessin, il en a fait son métier puisqu'il est tatoueur (vocation précoce, on voit vite comment). La police le sollicite pour établir des portraits-robots d'après des descriptions de témoins. Il est également appelé sur des scènes de crimes en série signées d'un certain Bad Santa, les enquêteurs sont curieux d'avoir l'avis de cet homme sensible et intuitif. Ce Paul/Pavel a un passé bien sombre : il est rescapé du goulag, où il a (sur)vécu de sept à vingt ans, au milieu de la violence masculine et d'une guerre des gangs. Ça forge le caractère...

Début intéressant, donc : alternance entre la vie de Paul aux USA en 1970 et ses années goulag à partir de 1948. J'ai commencé à grincer des dents avec des scènes trop explicites de pédophilie, me demandant s'il était nécessaire de les montrer, s'il ne suffisait pas de les suggérer, persuadée que le même type d'acte entre un homme et une petite fille aurait été censuré. Pour le reste : allergie croissante à l'ambiance et à l'intrigue testostéronées. Quant au dénouement de cette enquête policière, je l'ai trouvé au mieux incompréhensible, au pire affligeant.

Avis : 1/5. Mais je ne suis visiblement pas le bon public, erreur de choix de ma part, mea culpa. Je m'en mords toujours les doigts quand j'essaie de me frotter au registre "BD d'aventure virile".
Commenter  J’apprécie          261
Encore raté.
Dès que je vois le nom de Boucq sur la couv d'une BD, je prends sans réfléchir.
Et cette fois encore, c'est la grosse déception.
Mais que va faire François Boucq dans cette galère ?
Little Tulip est une BD au scénario trash dans laquelle l'horreur est en surenchère.
C'est lourdingue et tellement faux que ça en deviendrait pathétique.
Alors oui je date, mais Boucq c'était l'absurde lié la subtilité.
Il n'y avait pas d'autre dessinateur pour proposer un univers aussi étonnant et personnel.
Alors je persévère en espérant retrouver l'imaginaire de la femme du magicien, de Jérôme Moucherot ou de la pédagogie du trottoir.
Boucq était mon préféré.
Difficile de se résoudre à tourner la page.
Commenter  J’apprécie          20


Lecteurs (514) Voir plus



Quiz Voir plus

Tu charries, Charyn !

Mon pote Daniel Pennac dirait qu'il a le cul bordé de nouilles, moi je préfère dire que j'ai le cul............?...................

Rouge
Bleu
Vert
Blanc
Noir

10 questions
9 lecteurs ont répondu
Thème : Jerome CharynCréer un quiz sur ce livre

{* *}