La magie des dessins animés

De l'invention de la première "caméra" à la cession de Pixar, du petit au grand écran, voilà un essai collectif qui ne manque pas de mille détails passionnants sur ce septième art qui n'a rien à envier aux six précédents.
Par exemple, j'y ai appris avec grande surprise que la trilogie de Tolkien, le seigneur des anneaux avait été adapté en courts épisodes de dessins animés en 1978 (mais sans faire l'unanimité a priori, ce quo forcément m'a donné envie de les trouver !). J'y ai retrouvé avec fierté de mémoire conservée des noms comme Meliès, Lumière, qui m'ont replongé dans les cours de cinéma qui sont sûrement ceux que j'ai préféré au lycée.
Malheureusement, la fin est déroutante. On s'arrête simplement après plusieurs dizaines de pages sur des anecdotes chronologiques de l'évolution du dessin animé au cinéma (puis film d'animation) avec une dernière fiche sur un Asterix produit en 2014... Et c'est tout. Fin. Une synthèse, un propos de fin, je ne sais pas, n'importe quoi plutôt qu'une sorte de discussion où le protagoniste s'arrête de parler, se lève et s'en va sans aucune explication. Et malheureusement encore, les fautes de langage, coquilles et autres erreurs navrantes sont nombreuses (annoncer la naissance de Kipling en 1936 quand il écrit le livre de la jungle à la fin du XIXème c'est moyen quand même), j'en viens à me demander si les ouvrages sont relus par qui que ce soit avant d'être publier chez cet éditeur tellement ça paraît trop gros parfois pour être passé sous les yeux de plusieurs personnes (en théorie !).
Mais au moins, cette fois-ci le sujet était mieux traité, moins dense, le livre avait une vraie structure et était franchement intéressant pour qui veut en apprendre un peu plus sur les origines des dessins animés et leur essor en France.

Sans grand intérêt. Ce n'est pas un roman mais plutôt un livre documentaire qui fait la rétrospective des dessins animés sortis durant toute une période.
Mais ce n'est pas complet. Cela va juste nous donner un dessin animés marquant par année. C'est assez succinct, survolé et sans grand intérêt. On peut juste en retenir que les illustrations nous replonge dans un aspect nostalgique pour ceux ayant grandis avec.