L'apophtegme revisité, à son apogée.
Cioran est un maître en la matière, oui, mais il est toujours aussi peu drôle.
Bouark, voici ce que je ressens, en substance, tout au long de cette lecture, saccadée, au rythme des préceptes.
Saccadé et non pas sac à idées, cet ouvrage pèse. Il pèse sur la vie, sur ma vie, m'interroge alors que je préfèrerais ne pas le faire. La vie est un fardeau oserais-je déduire de cette lecture… la vie est une chance me suis-je toujours dit, en suis-je réellement convaincu… ?
Et bien merci M'sieur
Cioran, je me remets en question tiens. Ma vision est altérée, erronée, incomplète. Je me sens patraque, perplexe. Maussade. Un sentiment que je n'ai pas pour habitude d'avoir.
Le ressenti demeure intéressant… la prise de tête interne débute…. OH ET PUIS FUCK Emil, tu me les brises sérieusement à force ! Je veux ne pas penser à un soi disant, prétendu et surtout impossible à prouver, poids de la vie !
Sentiment de révolte, de rage. Je dis NON. Je dis non à ce foutu et surtout perfide sentiment qui se propage, veut me ronger, m'user. Ma vie est belle. Oui.
Merci Emil, pour cette piqûre de rappel.
Finem Spicere,
Monsieur Touki.
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