Origami blues

Laissez passer les p'tits papiers...
Chaque existence est un origami,ce petit pliage japonais exquis.Mais,si on le déplie,il porte les marques de son histoire...
Dans ce roman,chapitre après chapitre,les personnages font leur apparition, les événements surgissent,autant de secrets révélés qui seront salutaires pour commencer à "vivre".
J'ai adoré la petite boutique de Florence,je pouvais y voir ces réalisations poétiques que sont l'art du pliage et du découpage,sentir l'atmosphère apaisante du lieu et entendre tinter le carillon.
La plume douce de l'auteure y est pour quelque chose et nous emporte dans cette histoire romanesque.
"J'ai l'impression que mon existence tout entière tient dans ces lettres argentées qui reflètent le monde :" Origami blues"

Cela fait un mois que j'ai terminé la lecture de ce roman et je me retrouve devant une page blanche, incapable d'aligner quelques mots pour rédiger une chronique digne de ce nom.
« Vite lu et vite oublié. » Voilà l'expression qui me vient à l'esprit lorsque je repense à Origami Blues. Pourtant j'ai le souvenir que ce petit roman trouvé dans une boîte à livres m'a permis de passer un moment serein de lecture. Alors pourquoi n'ai-je pas grand-chose à y dire ?
Certainement parce que ce style de lecture romantique n'est pas ma tasse de thé. Peut-être parce que je m'y ennuie un peu. Il me fait penser à ces films de Noël aux scénarios identiques qui pullulent d'octobre à janvier sur nos chaines télé. Ils sont plein de bons sentiments, mielleux et baveux à souhait et sont oubliés à peine le film terminé.

La seule magie de ce roman consiste en cette petite boutique d'origami qui donne très envie. Je l'imagine remplie de papiers colorés de différentes textures et formes qui s'envolent lorsqu'ils forment une grue ou se mettent à coasser lorsqu'on les transforme en grenouille. Oui, je le sais, l'origami ne se limite pas à ces deux animaux. Mais, ma foi, je manque un peu d'imagination et de compétence en la matière.

Si l'origami est la poésie de la géométrie, moi, dans cette chronique, je suis la poésie de la médiocrité. Vous me pardonnerez, j'en suis sûre.

Ce livre est fait de sensations, de sentiments et de bonheur tout simplement. Sarah Clain a transformé les avions de papiers de mon enfance en petits bouts de bonheur, elle en a fait en quelques centaines de pages, un art à part entière pour moi qui ne pensait pas une seconde trouver tant de beauté dans de simples pliages de papier.
Sarah Clain écrit ici un roman qui touche à l'enfance, à l'adolescence, à cette période qui laisse des souvenirs indélébiles, elle parle d'art, d'acceptation et de tolérance, elle déplie une palette de couleurs variées, vous n'aurez que l'embarras du choix.


Lien : https://livresque78.com/2021..

Quelle petite pépite que ce roman j'ai tout de suite accrochée avec le personnage de Florence dont on fait connaissance durant l'anniversaire de son neveu, elle est un peu présenté comme une magicienne au milieu de jeune enfant et cette première scène m'a bien fait rire.

Par la suite nous la suivons dans son travail car elle tient une boutique spécialisée dans les origamis et certaines rencontres vont avoir lieu, tout d'abord une commande assez importante pour un mariage et puis un jeune surdoué dans les origamis qui souhaitent travailler dans le boutique.

Alors oui certaines choses sont un peu convenues et le livre étant court on se doute fort de certains éléments mais dans mon cas ayant eu beaucoup d'empathie pour le personnage de Florence, de sa soeur, de son neveu j'ai aimé les messages véhiculés.

Par exemple le fait de vouloir changer de vie à tout âge, l'amour, la fratrie, la famille mais aussi des thèmes plus douloureux comme la mort ou l'abandon.

On découvre au final le personnage de Florence un peu comme un origami en faisant connaissance petit à petit et même si elle peut sembler plutôt froide au premier abord on découvre son vécu et on comprend pas mal de chose.

Une jolie découverte cela faisait un moment que je voyais de bon avis sur ce livre et je ne regrette pas du tout de m'être lancé dans cette lecture.

Florence est l'heureuse propriétaire d'une boutique spécialisée dans l'art de l'origami qui connaît un certain succès. Elle se contente d'une vie simple et s'efforce d'oublier certains événements de son passé. Mais la vie s'amusant à troubler son quotidien bien trop rôdé va mettre sur son chemin un jeune étudiant qui va s'avérer avoir un véritable don pour l'origami ainsi qu'un bel inconnu. Ajoutez à cela sa soeur qui va décider de partir vivre à l'étranger et vous comprendrez que Florence va devoir sortir de ce cocon qu'elle s'était construit et accepter d'avancer vers l'inconnu.

J'ai trouvé tout cela assez cousu de fils blancs même si (il faut bien l'avouer) j'ai versé une petite larme à la fin. Je n'ai malheureusement pas accroché à la romance avec Vincent, par contre j'ai beaucoup aimé découvrir ses souvenirs passés et son histoire avec Priam.
Pour conclure, si j'ai trouvé l'histoire assez sympathique et agréable à lire, je ne peux cependant pas dire qu'elle me laissera un souvenir impérissable.

Flo est l'aînée, n'a pas d'enfant (elle garde sa liberté), a un neveu Solal (quel drôle de prénom a trouvé sa soeur); sa mère est tyrannique, intrusive, mais pour le bien de ses deux filles et de son petit fils!
Sa liberté, son épanouissement, Florence les trouve dans sa boutique spécialisée dans l'art du pliage japonais.
Pourquoi cet attrait pour les origamis? Quelle idée de faire confiance dès les premières minutes à un étudiant timide cherchant un job d'appoint?
Et Vincent dans tout cela? Encore une simple aventure?

Oui ce roman a obtenu les prix du livre romantique en 2021 mais il n'en est pas pour autant totalement fleur bleu!
Du suspens il y a, des personnages attachants aussi, un intérêt pour l'Italie indéniablement… alors pourquoi le pas se laisser séduire?
Attention, s'agissant d'un roman court, il faut profiter de chaque paragraphe…
Le style est simple, fluide, un brin mélodique.

un bon moment de lecture en perspective.

Jolie lecture que je n'ai pas réussie à interrompre. On est en milieu de nuit et je referme les pages d'Origami blues avec le sourire.
Il serait facile de faire une longue liste de critique : tous ces hasards du livre sont parfois un peu tirés par les cheveux, ce Vincent trop parfait, cette mère totalement caricaturale …

Mais le personnage de Florence balaye toutes ces réserves et nous permet d'apprécier la belle histoire de sa reconstruction.
On y parle de grand amour perdu: Priam, le petit copain de Flo s'est tué l'été de ses 14 ans.

J'aime beaucoup le personnage de Raphaël, ce jeune garçon dans la lune et terriblement attachant. La relation que noue instantanément Flo avec lui est très douce, la fin nous confirme que ce qui les lie est profond et qu'ils se comprennent, peut-être depuis toujours !

Comme d'habitude, je suis conquise par ce livre Charleston, une bien belle maison d'édition dans laquelle les personnages féminins sont forts et inspirants.

Lorsque je vois le mot Origami j'ai un reflexe pavlovien, je suis fascinée par ces carrés de papier washi et ce qu'ils deviennent dans des mains expertes. J'ai tenté l'expérience pour me rendre compte comme chaque pli est important. Chaque pli est primordial pour le faire, et une fois déplié, l'origami ne peut être refait, c'est exactement comme dans le roman de Sarah Clain.
Florence a plié son coeur en un très complexe origami, qui lui sert aussi de carapace, et lorsqu'enfin le destin lui permet de le déplier, elle n'aura plus besoin de le replier. Très joli livre qui mérite complètement le prix du livre romantique des Editions Charleston. Style très agréable qui nous emporte dans un ballet de mains, de pliages, de couleurs. je me tiens d'ores et déjà prête à attendre son prochain livre. Et je souhaite le plus beau des envols à un millier de petites grues.

Voici une histoire feel good mais pas mièvre.

Florence possède une boutique de papier et est spécialisée dans l'art du pliage japonais, l'origami.

Cette jeune femme est célibataire mais l'on ressent une tristesse permanente chez elle. Si elle s'entend bien avec sa soeur Rebecca il y a une certaine animosité avec sa mère qui veut tout diriger.

Un jour, un étudiant franchit la porte de la boutique à la recherche d'un job, sa spécialité est le kirigami, Florence l'embauche à mi-temps.

J'ai beaucoup apprécié l'art du papier qu'il soit plié ou coupé , un univers que l'on ne côtoie pas souvent ou l'auteur a su créer une romance .

Une histoire bien écrite ou l'on s'évade entre grue et cocotte.

Note : 4 / 5

C'est au milieu de ses papiers colorés, aux formes merveilleuses que Florence se sent bien, dans sa boutique ou elle peut vivre sa passion pour les origamis. Sa vie est bien façonnée, organisée… un peu trop d'ailleurs…
Il suffira d'un étudiant qui franchit les portes de sa boutique, d'un bel homme qui croise son chemin pour que tous les secrets qu'elle gardait se dévoile.

Quand on ouvre un roman des éditions Charleston, on sait que les émotions sont au rendez-vous… et ce fut le cas ici.
Ce roman est bouleversant, il aborde des sujets délicats, le deuil, l'abandon, les secrets que l'on garde, et le chemin de la résilience. Un roman qui vous touche, et qui vous captive.

Des le départ on se demande que peut bien avoir vécu cette jeune femme pour etre aussi aigrie? En effet Florence a un comportement des plus surprenants, mais au fil des pages quand les pièces s'assemblent, on se rends compte de toute ces douleurs qu'elle trimballe depuis des années et j'avoue m'être prise d'affection et de compassion pour cette jeune femme. J'ai détesté la mère de Florence, un vrai dictateur cette femme, j'ai eu de nombreuses fois envie de lui dire de s'occuper de ses affaires!!

Ce roman est court, il se lit très vite mais vous happe du début à la fin. L'auteure m'a surprise, parce que vraiment je ne savais pas où elle voulait nous mener!! On comprend certaines choses assez rapidement mais on est loin de se douter de l'ampleur de ce que nous cache Florence.

L'auteure nous livre une histoire captivante et émouvante, je ne suis pas étonnée que ce livre est remporté le « prix du livre romantique 2021 » chez Charleston. Il le mérite vraiment.

La plume de Sarah Clain que je découvre avec ce livre est fluide, et douce, il n'y a pas de longueur, une belle réussite, un roman rempli d'espoir, qui passe de l'ombre à la lumière.