1974

Si j'ai décidé de lire ce livre c'est à cause de son nom ! Eh oui je suis née en 1974 et du coup le titre a retenu mon attention en plus de la couverture que je trouve intrigante !

Avec 1974, son second roman, Arnaud Codeville est élu plume francophone par les lecteurs d'Amazon puis primé par le site plume libre dans la catégorie nouvelle plume.

On découvre la vie d'un inspecteur de police, Joël Masson, frappé par un drame familial qu'il n'arrive pas à surmonter. Un jour son supérieur hiérarchique le menace d'un renvoi s'il ne se remet pas au travail et lui confie alors une simple affaire de cambriolage qui va se reveler être tout sauf un cambriolage.

J'ai bien aimé ce livre malgré qu'il ne corresponde pas aux genres de livres que j'affectionne car je suis assez "flipette" et j'évite ce qui me fais peur ! Les personnages "gentils" sont sympathiques et bon esprit je trouve. La lecture est fluide et on s'y retrouve assez bien dans le côté fantastique qui n'est pas trop tiré par les cheveux.
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Son premier roman, « La Tour de Sélénite », m'avait bluffé, réalisant même l'exploit, alors que je déteste ça, de le lire sur tablette en à peine deux jours, incapable de décoller de l'histoire. Avec « 1974 », Arnaud Codeville poursuit son exploration des grands classiques de l'horreur, mettant cette fois en scène un policier au bout du rouleau, enquêtant sur plusieurs meurtres particulièrement horribles, en lien avec une sombre histoire de démon.
Le roman, bien plus épais que le premier, se lit cependant de la même façon, aussi rapidement. Une fois que nous sommes plongés dans l'histoire, difficile de relever la tête. L'écriture est fluide, Arnaud connait ses classiques: ceux-ci lorgnent du côté de Lovecraft et ses amis, mais aussi Masterton. Une écriture très visuelle, à la façon d'un scénario à la John Carpenter, dont nous partageons tous deux la passion. D'ailleurs, chacun des deux romans retournent l'ambiance d'un des films du Maitre de l'horreur, Fog pour la Tour, et le Prince des Ténèbres pour 1974. J'avoue quand même avoir eu plus un faible pour le personnage d'Adel Blanchard dans la Tour, peut-être parce que j'ai assez lu de romans mettant en scène des policiers borderline ces derniers temps, et j'ai éprouvé plus d'empathie pour lui.
Au fil des pages, Arnaud Codeville distille ses scènes chocs voire carrément flippantes, s'offrant même un incroyable gimmick à un tiers de la fin, dont on se demande alors comment il va s'en sortir (je ne spoile pas, promis!) mais il retombe sur ses pieds en une fin bien loin de ce qu'il était possible d'envisager au début.
Comme je le lui ai signalé, le seul petit reproche que je pourrais lui faire à lecture de 1974, c'est l'usage inapproprié de l'imparfait à la place du passé dans certaines scènes, qui « casse » un peu le rythme. Mais il en est parfaitement conscient puisqu'il m'a dit qu'il était plus vigilant désormais :) En tout cas, l'auteur confirme une nouvelle fois qu'il est à l'aise dans ce genre de littérature exigeante, et j'attends avec impatience le prochain en me demandant quelle nouvelle facette de l'horreur Arnaud va cette fois venir illustrer!

Une écriture simple, fluide, qui permet de se plonger immédiatement dans l'histoire. Un univers sombre, glauque. Il faut avoir le coeur bien accroché !

Je ne savais pas du tout où l'histoire allait me mener et lorsque je pensais que c'était fini, il n'en est rien, un nouveau rebondissement arrive.

On ne s'attend pas du tout à un tel déroulé entre les secrets qu'on découvre, les mystères, les différentes histoires qui s'imbriquent les unes dans les autres. le seul défaut est la deuxième partie du livre que j'ai trouvé parfois un peu longue, mais il se lit assez bien et on veut connaître le dénouement final.

le personnage principal est bien travaillé entre son histoire personnelle qui rentre en ligne de mire et son caractère. Mais... Pourquoi s'embarque-t-il dans une telle aventure ? Avec la peur, j'aurais ignoré toute l'affaire sur laquelle il travaille et je serais rentrée chez moi tranquillement, laissant faire mes collègues... Mais évidemment, il faut une histoire, il faut un héros et Joël a le coeur bien accroché pour vivre tout cela.

J'ai apprécié ma lecture et aux amateurs d'horreur Fantastique, je vous laisse découvrir le roman d'Arnaud Codeville
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Deuxième roman d'Arnaud Codeville, 1974 se veut plus travaillé que son prédécesseur, La tour de Sélénite, auquel on pouvait reprocher de trop grandes libertés artistiques mettant à mal la cohérence du récit. 1974 est donc plus fouillé, certes, mais également plus fouillis.
Car si l'auteur a pris grand soin à construire son intrigue, les divers éléments sont servis au lecteur sans grand tact et il n'est pas rare de se retrouver ensevelis sous une tonne d'informations et de détails qui auraient gagné à être mieux distillés. La pilule a ainsi parfois du mal à passer, pas bien aidée par le peu d'intérêt que m'inspire notre héros. Joël Masson est ainsi un inspecteur de police alcoolo-dépressif avec son petit drame familial personnel. Soit à peu près comme tous les flics de romans, on connait.
Nageant entre déjà-lu et quelques sursauts originaux, 1974 se montre au moins efficace quand il le faut, raison pour laquelle il devrait trouver preneur auprès des mordus du genre.

Mon premier roman de cet auteur et c'est pour moi un énorme coup de coeur.

Roman mélangeant horreur, fantastique et thriller avec un scénario intelligent.

Une ambiance bien flippante où il est question de démons, magie noire et maison hantée.

A lire pour tous les amateurs du genre.

Que s'est-il passé en 1974 dans cette maison abandonnée de Sebourg dans le Nord de la France ? Pourquoi les pompiers y viennent-ils un jour la réduire en cendres au lieu d'éteindre l'incendie. Ce roman pourrait sembler un remake de Fahrenheit dès les premières pages, mais non. Avec 1974, Arnaud Codeville signe ici un mélange audacieux de polar bien noir et d'horreur. Preuve s'il en est que l'horreur est un genre qui se porte bien, tant dans le cinéma français que dans la littérature.
Même si je ne trouve pas le personnage principal très sympathique, marcher dans ses pas pour démêler l'intrigue est un véritable plaisir, pour peu que l'on résiste à l'idée de lui hurler dessus par moment pour qu'il se reprenne. Ce que semble être au départ un cas de hantise lié à la disparition d'une adolescente en 1974, se révèle par la suite tenir plus de la sorcellerie et de la possession démoniaque, avec dans la coulisse une créature Lovecraftienne qui n'est pas pour une fois ce cher Cthulhu. Et Arnaud Codeville est assez malin pour donner l'impression au lecteur qu'on va aller dans une direction et virer complètement de bord en quelques lignes. le tout non pas une ou deux fois, mais une bonne dizaine de fois dans l'ouvrage. En revanche, au bout des 500 pages je sais qu'il aime le cinéma de genre des années 80/90 et Stephen King, tellement les références sont flagrantes.
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Coucou les Lieblings 🖤

Retour de lecture de "1974" de Arnaud Codeville.
J'ai rencontré Arnaud au salon du livre de Mons. Mon choix était déjà fait, je désirais découvrir son univers en commençant par son deuxième roman "1974". Pourquoi ? C'est tout simplement mon année de naissance et pousser la porte sur la couverture du livre était très tentant.

🖋 le style d'écriture de l'auteur est très agréable. Les mots sont pesés pour retranscrire l'ambiance du livre, les sentiments des personnages et l'intensité de certaines scènes. On arrive très bien à visualiser les lieux de l 'action, j'ai même eu l'impression de sentir quelques odeurs, les descriptions sont précises sans alourdir le texte.
Le récit est riche en références, je me suis instruite sur des sujets que je ne maîtrise pas encore. J'ai également pris conscience que je connaissais bien des objets évoqués et que je commençais à dater 😄 # jesuisvintage.

👥 Les personnages sont vraiment très contruits, pas un seul n'est négligé. L'impression d'être dans la vie réelle, aux côtés du personnage principal, est bluffante. Il pourrait être votre collègue, votre ami... un quotidien frappé par des événements extraordinaires . J'ai souvent ressenti ce trouble dans mes lectures de Stephen king.
Je ne me suis toutefois pas attachée aux protagonistes de cette histoire, ce sont les situations vécues qui m'ont touchées.

📚 Je me suis laissée glisser doucement dans cette aventure, échafaudant des théories au fur et à mesure des nombreux rebondissements.
J'ai adoré mener l'enquête auprès de Joël. Je n'ai eu qu'un seul petit regret ( 🤫je ne peux pas spoiler) mais vu la fin du livre, je ne peux qu'approuver le choix de l'auteur.
L'atmosphère mystérieuse et les situations effrayantes ont été un véritable plaisir pour moi, fan de film d'horreur.
Enfin, j'apprécie énormément quand une lecture me pousse à chercher et apprendre de nouvelles choses.

Je remercie Arnaud Codeville pour ce passionnant moment passé dans son univers.

Du même auteur : La tour de Sélénite et Parasite.

💀🔪👿😪🚓/5

Nouvel auteur que je découvre. Surprise qu'il ne soit pas encore repéré par les grands éditeurs. Écriture fluide, propre, sans fioritures inutiles, les descriptions bien placées, et les personnages crédibles.
Je dévore ce Thriller fantastiquo-ésotérique avec un immense plaisir. Franchement, il vaut la peine.

Tout d'abord, je vais vous livrer mon ressenti concernant cette 1ère expérience du livre audio : après un 1er chapitre difficile, j'ai réussi à rester un peu plus concentrée sur le récit. C'est vraiment compliqué car dès que l'on commence à décrocher ou à penser à autre chose, on est de suite largué dans l'histoire.
C'est également assez étrange d'écouter une seule voix faire la narration, les dialogues et incarner les différentes personnages.
Moi qui ai un rythme de lecture plutôt rapide, j'ai subi cette lecture trop lente à mon goût. Il faut savoir que ce livre, qui en format papier fait environ 550 pages, dure presque 10 heures en format audio !
du coup, j'ai eu du mal à rester dans l'histoire et à me souvenir des personnages. Ma mémoire visuelle ne m'a été d'aucun secours dans le cas présent.

Concernant l'histoire en elle-même, je n'ai pas accroché avec ces histoires de fantômes trop caricaturales à mon goût.
Je n'ai pas été tenue en haleine, je n'ai pas frissonné, je suis totalement passée à côté !
Peut-être que mon ressenti aurait été totalement différent avec le livre papier ...
Une chose est sûre, j'ai malheureusement jeté l'éponge après 4h d'écoute...

Une vraie surprise pour moi ce livre ! En effet la 4eme de couverture ne dévoile pas l'intrigue et je me suis retrouvée plongée dans l'histoire sans plus vouloir quitter mon livre.

Me voilà suivant l'histoire de Joel dont la vie s'est trouvée bouleversée par un tragique événement... Une nouvelle enquête va venir le sortir de sa descente aux enfers.
L'intrigue et l'ambiance se mettent en place progressivement jusqu'à me faire frissonner quand je lis tard le soir.

Très belle découverte de ce jeune auteur qui m'a tenu en haleine tout du long.
Et c'était pas gagné je ne suis pas une grosse fan de SF mais le mélange des genres est ici parfait.
Je m'empresse de me procurer sont premier opus "La tour de Sélénite" pour retrouver sa plume agréable.