La petite histoire
Nous retrouvons Mato et Saori en planque avec de nouveaux changeformes. Ils souhaitent retrouver Ian et Yuutō, qu'ils pensent toujours prisonniers du labo.
Mon ressenti
La duologie se termine renforçant les liens du quatuor. J'ai pensé un agréable moment en leur compagnie. On passe d'un point de vue à l'autre, moins de surprise ici car on connaît bien chacun d'entre eux. Une conclusion en douceur pour cette histoire de manipulation.
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Un deuxième tome réussi comme le premier 😍
J'ai adoré retrouver les personnages, le livre est présenté comme le premier, en quatre parties qui nous offre le point de vue des quatre personnages principaux et vraiment j'apprécie énormément cette présentation la 🥰
Chaque personnage a sa personnalité mais ils sont tous touchant et d'avoir l'histoire sous chaque angle de vue c'est vraiment top
Ils vont faire la connaissance d'autres personnages qui vont apporter leur touche dans cette aventure et les aider à comprendre ce qui leur arrive et tenter de trouver des réponses
Après que Yuutô et Ian ont été séparé de Saori et Mato chacun se voit confronté à leurs épreuves et commence à comprendre ce qui ce passe et que cette forêt n'est pas synonyme de liberté 🫣
Tout ce qui attends nos personnages nous emporte et on a ce côté thriller fantastique qui est tellement appréciable et si bien ficelé 😃
Je me suis encore plongé dans cette lecture, et vraiment j'avais cette impression d'être rentré physiquement dans le livre et être spectatrice des événements comme si j'étais à côté et ça m'arrive assez rarement donc clairement cette duologie va faire partie de mes préférés 😍
Mon dernier mot sera : cette fin 😲
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La course-poursuite se poursuit ! Nos quatre héros se retrouvent à nouveau confrontés à leurs limites physiques, mais aussi psychologiques, suites aux manipulations que le laboratoire leur a fait subir. Ils doivent s'appuyer les uns sur les autres pour survivre dans cet environnement hostile, qui les poussent dans leurs retranchements. C'est toujours aussi haletant !
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« Mes baisers légers ne l’avaient jamais sorti de sa torpeur. N’étais-je donc pas son prince charmant ? Un sourire ironique passa sur mon visage, fugace. J’étais plutôt le vilain des histoires, que le héros. »