Une saison au bord de l'eau

J'ai apprécié cette lecture car, même s'il est vrai que la trame de base est un peu convenue - franchement... tomber amoureuse de son patron quand on est jeune et gaffeuse, ça m'a fait penser à Bridget Jones ! - le cadre et l'appartenance à son île, ainsi que les éléments culturels, rendent l'intrigue savoureuse.

J'ai apprécié les personnages secondaires, comme les frères de Flora, Colson le milliardaire fantaisiste, l'amie institutrice (Fiona je crois), ainsi que les scènes de genre, les fêtes, la tempête... Je me suis régalée de cette vie simple en plein coeur des éléments, j'avais l'impression de vraiment goûter les plats avec des ingrédients de la ferme. Enfin, j'ai été emballée par la remise à l'eau de la femelle orque, et fréquemment amusée par les allusions à la nature fantastique de Flora, supposée être selkie, cela ajoutait un plus.

Bref, la romance ne m'a pas du tout passionnée, mais pour ces divers aspects, je ne me suis pas non plus ennuyée. Je testerai peut-être des recettes, je n'ai pas encore essayé. Et ça me fait un livre à passer à ma mère, qui aime les romans feel good, surtout ceux où quelqu'un retrouve son terroir et ne veut plus en repartir.

Flora, assistante juridique dans un cabinet d'avocats à Londres a quitté son île de Mure en Ecosse suite au décès de sa mere. Elle y retourne pour le travail avec la peur au ventre car elle n'est pas la bienvenue.
Elle doit habiter chez son père et ses trois frères qui tiennent la ferme, les relations sont conflictuelles.
Elle fait de nouvelles rencontres lors de sa mission, elle se cherche.
C'est un roman feel good, pour passer un bon moment.

Jenny Colgan c'est La petite boulangerie du bout du monde. C'est aussi Toute résistance serait futile. Deux univers bien différents. Avec ce nouveau roman, Une saison au bord de l'eau, on retrouve avec bonheur la fraîcheur d'une île reculée et on se replonge avec délice dans cette nature sauvage et abrupte qui, à elle seule, devient le personnage principal de l'histoire.
Bien que sise sur une île écossaise, l'histoire semble se recouper avec celle de la petite boulangerie, histoire poétique vers qui va nettement ma préférence. Les personnages, toujours hauts en couleurs, sont dépeints d'une telle façon, tantôt caricaturale et humoristique, tantôt douce et nostalgique, qu'on les imagine sans peine évoluer sous nos yeux, comme au cinéma.
Vous l'aurez compris, Jenny Colgan n'a pas son pareil pour faire évoluer ses personnages dans une ambiance pétillante et tous les ingrédients sont réunis pour que le lecteur passe un véritable moment de détente : une île perdue à la nature hostile, des insulaires au caractère bien trempé, l'amour au détour d'un rocher et une héroïne insatisfaite et qui, grâce à un coup de pouce du destin, reprend les rênes de sa vie. Ici encore, la gastronomie joue un rôle essentiel, celui d'apaiser les tensions et de réchauffer les coeurs. Et alors que dehors la tempête fait rage, quoi de mieux que se retrouver dans une cuisine surchauffée avec des scones, des cakes, des tourtes à la viande, du pain, du beurre fermier et de la confiture maison?
Avec Une saison au bord de l'eau, il ne faut surtout pas s'attendre à un livre profond, qui demande une réflexion intense. Non, ce livre est tout l'inverse. Il ne fait qu'effleurer les tensions familiales, les recherches identitaires et il m'est souvent arrivé de rester sur ma faim… En le refermant, j'ai d'ailleurs eu ce vague sentiment d'avoir lu un ersatz de la Petite boulangerie du bout du monde. Mais soyons magnanime et sincère. Ce roman a cependant le mérite de nous accueillir les bras ouverts, de nous envelopper dans un univers chaleureux et de nous bercer avec bienveillance au gré des tergiversations de ses personnages. Et quand bien même l'intrigue est ô combien prévisible, le lecteur pourrait se surprendre à attendre le tome 2. Alors, en cette belle saison automnale, pourquoi ne pas vous accorder une petite pause, sans en attendre plus?

Les romans de l'auteur sont toujours basés sur le même scénario. L'héroïne se retrouve catapultée à un endroit où elle n'a pas envie d'être et se fait plein d'amis grâce à ses talents culinaires ... et elle rencontre l'amour. le scénario est bien respecté mais c'est agréable à lire et cela donne presque envie d'aller sur l'île de Mure qui n'existe pas ... Par contre, les recettes qui sont indiquées en fin de livre, bof !

C'est une petite histoire sympathique et romantique, une petite île bien décrite qui donnerait presque l'envie de s'y installer. Flora est une héroïne contrainte de quitter son train-train quotidien londonien pour retourner sur sa terre natale. Elle redonne vie aux vielles recettes de cuisine de sa mère pour « sauver son île ». Et au fil des aventures, elle retombe amoureuse de sa contrée. En bref, un roman bien huilé de positive-attitude.

J'avais lu la série de la petite boulangerie, que j'avais vraiment adoré, que j'avais trouvé un peu originale, et je m'étais énormément attachée aux personnages... En découvrant ce nouveau roman je m'attendais à quelque chose de très feelgood, dans son style. Mais j'avoue être assez déçue, en dehors d'une histoire quelque peu différente, « une saison au bord de l'eau » est très calqué sur ces précédents écrits. Et même si j'avais beaucoup apprécié, j'aurais souhaité découvrir quelque chose de nouveau.

L'histoire est sympathique, mais je ne me suis pas du tout attachée aux personnages. Ma curiosité n'a pas été réveillée par leurs aventures. En revanche, les descriptions de l'île et des coutumes locales m'ont beaucoup plu.

Un roman "feel good" comme on les appelle, bien dans l'air du temps. Il paraît que c'est tout à fait dans le style de l'auteure chez qui on trouve souvent les mêmes ressorts romanesques. Je ne peux pas dire, c'est le premier roman de cet auteure que je lis et je ne pense pas poursuivre. Ce qui m'a attiré, c'est plus la petite île écossaise. Après, ça dégouline un peu de bon sentiments : cette juriste qui n'est pas avocate, amoureuse de son patron qui change de vie pour revenir à la ferme de son enfance n'est pas déplaisante, mais c'est loin d'être une oeuvre qui marque.
Les relations entre les frères et la soeur sont un peu caricaturales. le retour à la nature, l'authenticité des paysages et des gens rudes qui les peuplent contrairement aux citadins : cela sonne quand même pas mal le cliché. La plume quant à elle, ou tout au moins la traduction n'est pas excellente. Il faut parfois relire plusieurs fois une phrase pour comprendre la tournure tant celle ci est fautive.
L'histoire reste plaisante, mais est-ce suffisant ?

un roman feel good , sentimental et avec une grosse bonne dose de pâtisserie. l'intrigue est convenue et si le roman se demarque des autres du même schéma mainte fois utilisé ( héroïne qui rentre au bercail) c'est le lieu choisi sur ces lointaines îles écossaise qui est pour moi l'intérêt de ce roman. parfait à lire en terasse avec une boisson fraîche. a éviter de lire si vous avez faim cependant, on sent l'auteure pâtissière cuisinière à chaque page

Bon c'est Mignon, sympathique à lire, idéal pour l'ete . Mais quand on en a lu un, on les à tous lus ....les personnages sont agréables , l'histoire est agréable ... mais ce n'est pas le roman qui marquera le siècle ...

J'ai commencé à me lancer dans la lecture de livre de Jenny Colgan avec une saison au bord de l'eau. C'est une petite histoire plutôt sympathique, très feel good, mais sans surprise (et donc sans saveurs ?). C'est un roman agréable à lire en été, je n'en retiendrais cependant pas grand-chose dans quelques semaines probablement.
Lien : https://mellecupofteabouquin..

Je retrouve à nouveau la plume de Jenny Colgan, avec une Saison au Bord de l'eau, reçu lors du swap organisé par Benji sur Twitter

Une saison au bord de l'eau est un roman feel-good, avec une petite romance comme sait faire Jenny Colgan ! On découvre Flora MacKenzie, juriste londonienne. Son travail l'amène sur son île natale, en Ecosse, auprès de ses frères, son père et les habitants de l'île qui l'ont vu grandir. Son patron dont elle est folle amoureuse est lui aussi de la partie.

J'ai pris plaisir à retrouver la plume simple et légère de Jenny Colgan, avec une jolie histoire, qui confirme de nouveau mon amour pour l'Ecosse (bien que je n'y sois jamais allée).

Malgré tout, cette histoire ne m'a pas autant plu que les autres livres de l'autrice. le début est très long et plat, il ne se passe pas grand chose. Et les personnages ne sont pas assez fournis et assez clichés. Joël, le patron est totalement imbuvable et terrible avec Flora alors qu'elle est folle de lui. Il est décrit uniquement avec ce trait de caractère tout la première partie du récit. Je ne comprends pas du tout l'attrait de Flora pour lui. Et ça m'a un peu gâché l'histoire. Leur histoire est trop facile et longuette. Comme si Jenny Colgan avait écrit une pâle copie de la Petite Boulangerie.

Je suis curieuse de lire la suite et de voir comment Jenny Colgan a développé l'histoire. Et je suis pressée de retourner en Ecosse avec Flora !
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