S'enfuir, larguer les amarres, ne pas se retourner.
Courir, courir à en perdre haleine, à s'en brûler les poumons.
Pousser la vie droit devant soi sans se poser de questions, ne rien attendre et n'avoir aucun regret.
Allumer des feux d'artifice pour que l'espoir renaisse et voir le ciel s'embraser de milliers d'étoiles.
Si l’on veut distribuer du bonheur, il faut d’abord s’occuper du sien. Parce que si l’on n’est pas heureux soi-même, on n’a rien à offrir à personne !
Si l'on veut distribuer du bonheur, il faut d'abord s'occuper du sien. Parce que si l'on n'est pas heureux soi- même, on n'a rien à offrir à personne.
mais elle le savait, les gens que la vie a meurtri ne se rencontrent jamais ou simplement dans la pénombre d'une nuit où deux désespoirs s'aiment sans parler, sans oser, s'avouer que peut être quelque chose serait possible.
"ce qui me surprend le plus chez l'homme occidental, c'est qu'il perd la santé pour gagner de l'argent et il perd ensuite son argent pour récupérer la santé. a force de penser au futur, il ne vit pas au présent et il ne vit ni le présent ni le futur. il vit comme s'il ne devait jamais mourir et il meurt comme s'il n'avait jamais vécu."
Le dalaï-lama
Le bleu du ciel succède toujours au gris des nuages.
L’espoir à l’inquiétude.
La gaieté à la tristesse.
La rencontre à la séparation.
La vie est ainsi faite, elle équilibre nos joies et nos peines.
Chacun a sa chance, à nous de la saisir…
Au bout du chemin, ce qui comptera vraiment, ce seront les rêves que nous auront osé vivre.
Les rencontrent les plus improbables sont celles qui nous apportent la surprise de l’inattendu. Nos vies s'en trouvent chamboulées, nos certitudes d'hier s'envolent pour faire place à un flot de questions qui nous poussent vers l'avenir. Commence alors le cheminement qui nous amènera à l'endroit exact où nous devons être.
Louise le savait, sans son traitement, la maladie grignotait ses neurones plus rapidement que les médecins ne pouvaient le prévoir. Mais elle souhaitait vivre ses derniers moments de lucidité comme un être humain et non pas comme un légume au regard fixe et dépourvu de toute émotion. Et puis, à quoi bon quelques secondes de plus, pour profiter de quoi ?
Lorsque les souvenirs ne frapperont plus à notre porte, que restera-t-il de cette vie passée ?