D'emblée, des les premiers pages,
Patricia Cornwell nous annonce qu'elle a trouvé qui se cache derrière le surnom de Jack l'Eventreur, l'un des pires serial killers que l'Europe est connue.
Walter Sickert, peintre reconnu englais serait ce monstre qui éventre les prospituées de Whitechapel.
Durant les presque 600 pages du roman,
Patricia Cornwell, développe sa thèse à travers des interprétations liés à l'enfance de Sickert, des coïncidences de lieu, de dates. L'auteur est tellement convaincue qu'elle a raison qu'elle arrive à m'embarquer dans sa théorie même si parfois j'ai trouvé que c'était de l'acharnement et que certains éléments étaient très raccourcis.
En dehors de l'enquête, j'ai appris énormément de chose sur l'époque Victorienne, sur Scotland Yard et également sur la médecine légale.
J'ai vraiment lu cet ouvrage comme un roman sans tout prendre pour argent comptant. Et ce fût une lecture très agréable et prenante.