En 2017, j'avais été dégoûté par "
Bâton rouge" et auparavant déjà par "
Une mort sans nom" et "
Vent de glace". Seule le premier que j'ai lu de cet auteure, "
Mémoires mortes" m'avait plu. Et pourtant, je me suis fait encore piéger par ces 4èmes de couverture alléchantes. 618 pages des pensées sans aucune subtilité de l'héroïne récurrente Kay
Scarpetta interrompues par des dialogues tout autant dépourvus de finesse. 200 pages auraient été suffisantes pour dire ce qu'elle avait à dire. Elle aurait évité ainsi de nous infliger ses radotages indigestes.