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La promesse de l'oasis de Béatrice Courtot !

Dès le début, la couverture de la promesse de l'oasis a capturé mon attention. Tout semblait être aligné pour que je me plonge avec délice dans cette histoire. Malheureusement, j'ai été confrontée à une déception à mesure que les pages se tournaient. le rythme, d'une lenteur pesante, a contribué à distancer mon intérêt du fil narratif. Malgré mes espoirs, j'ai peiné à forger un lien avec les protagonistes et leur parcours semé d'embûches. Mon coeur de lectrice aspirait à un revirement, un éclair d'intensité qui n'a malheureusement jamais surgi.

Le style d'écriture est indéniablement soigné et l'on ressent la profondeur de la recherche effectuée par l'auteur. Ce livre s'évertue à brosser un tableau familial, se déroulant entre la France et l'Algérie. Nous découvrons Nour, une danseuse classique, hantée par le spectre de la tragédie qui a frappé sa famille. Par un twist du destin, son grand-père, dernier pilier de sa vie, tombe dans le coma, accentuant son isolement.

En contrepoint, nous voyageons dans le passé, avec Daniel en 1954, en Algérie. Tandis qu'il se passionne pour la botanique, sa famille lui réserve un accueil mitigé face à ses choix. Au coeur de ce paysage, il croise le chemin d'Asma. Mais leur idylle se voit menacée par la montée des tensions, l'Algérie étant à l'aube de la révolution.

Ces destins entrelacés avaient tout pour offrir un récit poignant, une quête de vérité riche en émotions. Pourtant, malgré le potentiel indéniable du roman, il m'a semblé qu'il manquait un ingrédient essentiel pour susciter mon enthousiasme.

La promesse de l'oasis n'était peut-être pas mon livre, mais il pourrait être le vôtre.


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Les drames s'enchaînent dans la vie de Nour. Après avoir perdu ses parents très jeune dans un accident de voiture, puis sa grand-mère mutique à la suite d'un suicide, c'est au tour de son grand-père d'être victime d'un infarctus. La découverte d'une étrange calligraphie dans son bureau incite Nour à élucider le mystère qui semble entourer sa famille, et ainsi toucher du doigt La promesse de l'oasis.

Je n'avais pas été convaincue par La vallée des oranges, que j'avais trouvée très plate, mais j'ai tenu à accorder une seconde chance à l'auteur, essentiellement parce que je n'avais encore jamais lu de romans se passant à l'époque de la guerre d'Algérie.

J'ai mieux apprécié ce livre, mais la conclusion est malgré tout sans appel : le style de Béatrice Courtot n'est pas (du tout) le mien. Amoureux d'envolées lyriques, vous y trouverez votre bonheur, mais pour ma part, c'est quelque chose que j'exècre (qu'importe l'auteur).

Ce qui me gêne le plus ici, c'est le contraste entre les descriptions qui ont, indéniablement, le mérite de nous transporter à Alger la Blanche ou aux portes du Sahara, et les dialogues qui, pour leur part, sonnent faux. On sent que beaucoup de répliques sont là pour transmettre des informations aux lecteurs, et que les personnages ne tiendraient pas réellement de tels propos entre eux.

Le contexte historique occupe une place plus importante que dans La vallée des oranges, mais toujours pas assez à mon goût. Après avoir lu Nous reviendrons à La Havane (Chanel Cleeton), excellent sur ce point, c'est un peu décevant.

La partie « passée » n'en demeure pas moins bien plus intéressante que la partie « présent », comme c'est le cas dans… Eh bien, tous les livres des éditions Charleston. Nour est encore une fois l'archétype de l'héroïne qui a besoin de remonter l'historique de sa famille pour savoir où elle en est dans sa propre vie, mais surtout, surtout…

Je suis censée éprouver de la sympathie pour une femme qui quitte son compagnon sans un mot, sans une explication, et se rapproche beaucoup trop d'un séduisant médecin en un battement de cils, pour ensuite en vouloir mortellement (toujours sans un mot et sans une explication, mais sans vergogne non plus) audit malheureux compagnon de la « tromper » parce qu'elle l'a surpris dans la situation ô combien non équivoque de… marcher dans la rue à côté d'une autre femme ? Désolée, mais non.

Quant à la révélation majeure de l'intrigue… Je ne vais pas mentir, je me l'étais spoilée en lisant quelques avis, aussi appréhendais-je un peu de voir comment l'auteur allait amener ce rebondissement, et… Mouais. C'est quand même assez tiré par les cheveux.

Spoilers dans ce paragraphe ! On essaye bien de justifier pourquoi Asma n'a jamais parlé en détail de sa soeur, mais personne, absolument personne, n'en savait un minimum à son sujet (c'est-à dire leur gémellité) ? Genre… Son protecteur ? Qui a vécu un temps dans son village ? Au sein de sa famille ? Et pendant toutes les années qui ont suivi la guerre, il ne s'est pas soucié de sa protégée pour se rendre compte de la confusion ? Daniel n'aurait-il pas pu prendre contact avec lui, quand on voit avec quelle facilité Nour parvient à se rapprocher de sa fondation ? Fin des spoilers !

Face à cette conclusion, j'ai été submergée par un sentiment de « tout ça pour ça », d'autant que ma lecture m'a paru passablement longue en raison des nombreuses et interminables envolées lyriques susmentionnées. Si vous aimez les romans très contemplatifs, qui reposent davantage sur une plume poétique que sur un scénario prenant, et les histoires d'amour aux décors exotiques, je vous invite à vous laisser tenter par ce récit. Moi, en revanche, j'en resterai là des oeuvres de Béatrice Courtot.
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La quatrième de couverture avait tout pour me plaire mais cette lecture n'était pas faite pour moi. Je ne suis pas arrivée à m'intéresser à l'histoire et j'ai plusieurs fois eu envie d'abandonner ce roman. le rythme était lent avec peu de péripéties. Je ne suis pas arrivée à m'attacher aux personnages ni à leur quête de vérité. J'ai cru jusqu'au bout à un rebondissement mais malheureusement ce livre n'a pas matché pour moi. le roman est bien écrit mais il me manquait quelque chose pour en faire une bonne lecture.
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Une histoire en deux temps !
Nour est une prof de danse classique à notre époque. Elle a perdu ses parents très jeune et depuis elle vit avec son grand-père. Ils ont une relation fusionnelle. Tout bascule quand celui ci se fait hospitalisé après une attaque.
En parallèle, on suit Daniel dans l'Algérie des années 50 un peu avant la guerre d'indépendance. Ces parents sont des pieds noirs arrivé en Corse. La vie lui sourit, il va pouvoir aller à Alger pour ses études. Il est sur un petit nuage.
La suite de ma chronique :
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Suite à l'infarctus de son grand-père adoré Nour décide de s'installer chez lui durant son hospitalisation. Cependant une découverte mystérieuse lui fait dire qu'il lui manque certains éléments de son passé familial. Sur les traces de son histoire, Nour voyage entre Paris et Alger, passé et présent et découvre ainsi l'Algérie qui a vu grandir son aïeul.

Ce livre est une belle découverte! Je dois dire que je ne connais pas grand-chose à l'histoire de l'indépendance de l'Algérie si ce n'est ce que m'en ont raconté mes grands-parents, eux-mêmes pieds noirs. Grâce à ce roman j'ai pu mieux cerner les circonstances de cet événement qu'ils ont vécu étant jeunes, et me suis sentie d'autant plus proche d'eux. J'ai pu partager une partie de leur tristesse et de leur mélancolie et certains passages résonnaient en moi comme si c'était eux qui me les avaient conté.

Même si ce livre est romancé, je le mettrais entre leurs mains, de façon à pouvoir en discuter avec eux. Savoir s'il leur rappelle des souvenirs, et si leur histoire était similaire à celle du grand-père de Nour. J'espère qu'il leur plaira d la même façon qu'il m'a plu.
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La promesse de l'oasis est un roman familial, entre France et Algérie.

On suit Nour, une jeune femme qui fait de la danse classique et qui n'a pour unique famille que son grand-père car ses parents sont décédés dans un accident et sa grand mère était profondément dépressive ce qui la conduit au suicide. Malheureusement son grand-père fait infarctus et tombe dans le comas.

En parallèle on suit Daniel en 1954 en Algérie. Sa famille vit là bas et il étudie la botanique malgré les réticences de sa famille. Là-bas il rencontre Asma mais l'orage approche car la révolution est en route.

Au début, j'accrochais bien avec l'histoire de Nour, même si je ne voyais pas trop le lien avec l'histoire de Daniel. Et on se doute que les histoires vont se rejoindre mais ont ne sait pas comment.

Au milieu du récit, j'ai trouvé quelques longueurs. J'ai parfois eu envie de délaisser l'histoire. le rythme des évènements étaient trop lents.

A la fin, je me suis prise à tourner les pages à vitesse grand V pour comprendre le dénouement et le lien entre passé et présent. La fin est vraiment très chouette. Dommage qu'on ressente cette petite longueur au milieu.

Elise__♥

Instagram : etliselesmots
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Cette semaine j'ai terminé La promesse de l'Oasis. Un roman rempli de mystère et de découverte sur l'Algérie, son histoire, ses paysages et cette saga familiale qui va s'y mélanger.
Nous allons suivre Nour à notre époque, qui découvre dans l'appartement de son grand-père des calligraphies reçues dernièrement qui lui auraient causé un AVC . D'où viennent-elles ? Qui les a écrite ? Pourquoi "Papé" a t'il réagit aussi violemment ? C'est ce que Nour va essayer de comprendre tout en essayant de contrôler sa vie personnelle et amoureuse.
Dans ce roman, nous partons à la recherche de secrets de famille, de mystères, de non-dits avec beaucoup de douceurs et d'humanité. On découvre l'Algérie avant et pendant la guerre avec une alternance passé/présent. J'ai plutôt bien aimé ma lecture mais un peu trop de passages politico-historique m'ont fait décrocher à certains moments de l'histoire et de l'enquête initiale, un peu dommage..
Par contre le final est assez inattendue et original, plutôt contente d'avoir été surprise par ce dénouement.

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J'ai découvert l'auteure l'année où elle a gagné le Prix du Livre Romantique organisé par les éditions Charleston et Pocket. J'étais donc curieuse de découvrir son nouveau roman qui allait me plonger dans un monde qui m'est complètement étranger : la guerre d'Algérie.

Comme je m'y attendais le contexte de ce roman est passionnant. J'ai aimé découvrir cette période troublée dont j'ignorais tout. Béatrice Courtot a d'ailleurs su trouvé les mots pour que l'immersion soit totale. le conflit nous est ainsi retranscrit de façon claire et limpide et je suis ressortie de cette lecture en ayant appris quelque chose. Des premières tensions jusqu'aux attentats, nous voyons l'Algerie basculer dans la violence et se cliver entre pieds noirs et algériens. Sans prendre parti et grâce à un couple mixte incarné par Daniel et Asma, nous découvrons ce pan terrible de l'Histoire.

Mais bien plus qu'un roman historique c'est aussi une magnifique histoire d'amour. Un amour interdit, mais un amour profond et sincère à n'en pas douter. Alors pourquoi Asma s'est elle enfermée dans le mutisme et s'est suicidée bien des années plus tard ? C'est ce que tentera de découvrir Nour, la petite fille du couple. Sur les traces de ses racines elle pourrait découvrir un terrible secret de famille.

Le récit alterne ainsi entre passé et présent pour notre plus grand bonheur. C'est fluide et addictif mais parfois un petit peu maladroit dans le style. L'auteure se perd parfois dans des détails inutiles ou des termes techniques ce qui peut rendre quelques parties un petit peu confuse. Il n'y a par exemple pas de narrateur fixe. L'histoire nous est racontée de plusieurs points de vue, c'est parfois dur de s'y retrouver.

Malgré tout ce roman est passionnant, dramatique et intriguant même si la révélation du secret m'a paru tout de même un peu grosse. En tout cas, en commençant ce roman et pendant une bonne partie de ma lecture, je ne savais pas du tout où l'auteure m'emmènerait.

Un roman historique passionnant et dépaysant.
Lien : https://monjardinlitteraire...
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En tournant les pages, je sens bien l'odeur de menthe fraîche me chatouiller le nez et je peux même imaginer les pâtisseries au miel titiller mes papilles.


Ce roman nous fait voyager entre l'Algérie dès 1954 et la France de 2008. J'aime beaucoup ces alternances d'époques, de personnages et d'histoires. Tout se fait avec beaucoup de fluidité et sans fausse note. J'apprécie toujours ces romans qui traitent de deux époques. 


L'auteur dépeint les personnages et les sentiments avec beaucoup de sensibilité. Je suis transportée par l'écriture de l'auteure. 

J'aime évoluer avec Nour à laquelle je m'attache beaucoup. J'apprécie également beaucoup Daniel et surtout Mimi que je trouve pétillante. 


Le récit me plaît énormément. Un roman aux couleurs de l'amour qui m'a profondément touchée et bouleversée. Comme toutes les guerres, la guerre d'Algérie a fait ses victimes et Daniel et sa famille n'ont pas été épargnés. 


Je trouve les faits historiques également parfaitement exploités. 


Je suis conquise par cette saga familiale historique que je vous conseille. 


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« La promesse de l'oasis » est le nouveau roman de Béatrice Courtot qui sort le 15 juillet aux éditions Charleston. Lauréate du Prix du livre romantique 2018 avec « La vallée des oranges », Béatrice nous emmène cette fois en Algérie, la terre de ses grands-parents.

2018. Paris. Nour est une jeune professeure de danse classique. Ayant rompu avec son compagnon depuis sept ans, Aurel, elle trouve du réconfort auprès de son seul pilier familial, son grand-père. Pourtant, aujourd'hui, l'appartement est vide. Fabiola, la concierge de l'immeuble, lui annonce que Pape a fait un infarctus et qu'il est dans le coma à l'hôpital. Nour est effondrée. Pape est sa seule famille. Ses parents sont décédés dans un accident de voiture alors qu'elle était bébé. Elle fut la seule survivante. Mamani n'a jamais supporté la mort de sa fille et de son gendre et à peu à peu sombré dans la dépression. Elle s'est donné la mort quatorze ans plus tôt. Seul, Pape a lui su faire face et a élevé Nour. Que va-t-elle devenir si Pape aussi l'abandonne?

1954. Daniel s'apprête à entrer à l'université d'Alger. Passionné de botanique, il rêve d'en faire son métier même si Jacques, son père, préférerait qu'il reprenne la distillerie familiale. Pour cette famille de pieds-noirs, la vie en Algérie est douce et paisible. Mais en cette année 1954, les mouvements révolutionnaires commencent à gronder un peu partout. Mais Daniel a une toute autre préoccupation. Il a eu un véritable coup de coeur pour une étudiante en botanique, Asma…

J'ai eu un peu de mal à entrer dans ce récit. Je ne voyais pas trop où l'auteure voulait m'emmener. Je déplorais d'ailleurs trop de descriptions et trop de longueurs. Quels étaient les liens entre Nour et cette famille de pieds-noirs dont on retraçait quelques années de vie? Les deux récits me paraissaient trop distincts l'un de l'autre. Une fois que j'ai compris le lien entre les deux, le récit a pris une autre tournure…

L'histoire de Nour, c'est l'histoire d'une famille brisée. Non seulement parce que les parents de Nour sont décédés mais également par ses racines familiales. Nour a grandi sans repère féminin et maternel. Mamani est devenue muette, ne pouvant s'occuper de sa petite-fille. Comment la pétillante Asma a-t-elle pu autant sombré au point de délaisser complètement son mari et son unique petite-fille?

























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Et ce ne sont pas les courriers que reçoit Pape qui vont rassurer Nour. Ces lettres sont signées du même symbole qu'utilisait Asma pour signer: l'hirondelle. Qui peut bien envoyer des courriers avec la même signature qu'Asma? Quelqu'un fait-il chanter Pape? Peu à peu la jeune femme va renouer avec les amis de Daniel et faire revivre le passé…

À travers ce roman, Béatrice Courtot fait revivre l'Algérie d'avant-guerre et nous offre une Algérie aux couleurs chatoyantes, gaie, chaleureuse, lorsque les Européens pensaient avoir trouvé leur oasis. Au travers des souvenirs de Mimi, la soeur de Daniel ainsi que ceux de ses amis, Maurice et Pepito, on ressent toute l'incompréhension et l'amertume de ces Français qui ont dû quitter un pays qu'ils considéraient comme le leur pour un autre qui leur était totalement étranger. Eugénie et Jacques, les arrières grands-parents de Nour et parents de Daniel, ont dû quitter une vie que leurs ancêtres avaient mis des années à construire. La plupart des premiers européens à s'être installés en Algérie étaient des ouvriers qui se sont battus pour avoir une vie meilleure.

J'ai ressenti l'injustice que pouvait ressentir les membres de cette famille en étant considérés comme des colonisateurs. Chassés d'Algérie, rejetés en France, comment se reconstruire lorsque l'on est de part et d'autre de la Méditerranée perçu comme un étranger? L'auteure donne la parole à ces Européens qui ont dû fuir ce qu'ils avaient mis des années à bâtir. Tous n'étaient pas des colons impérialistes désireux d'exploiter les « indigènes » (nom donné aux algériens de souche) mais cultivaient un vivre ensemble, à l'image des parents de Daniel.

Les envies de liberté et de révolution assouvies par la guerre ont brisé des familles des deux côtés. Au lieu de vivre ensemble pleinement, les deux peuples n'ont pas su cultiver leurs ressemblances et effacer leurs différences.

Je conseille?

J'ai nettement préféré le récit passé au présent. J'ai trouvé Nour très froide, presque antipathique. Je n'ai pas du tout réussi à m'attacher à elle. À l'inverse, les passages en Algérie au sein de la famille de Daniel m'ont beaucoup plu. J'avais l'impression de visualiser ce pays, de sentir toutes ses odeurs (autant celles de ses épices que celle de ses fleurs), d'être éblouie par ses couleurs vives. J'ai trouvé l'histoire de Daniel et Asma très belle. Leur amour a été une victime collatérale de la guerre. La nouvelle génération pourra-t-elle réconcilier le passé et le présent?

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