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Critiques filtrées sur 1 étoiles  


Peter et Rebecca Harris sont un couple new-yorkais sans problème. Peter est galériste et Rebecca est éditrice. Mizzy, le frère de Rebecca vient passer quelques jours chez eux. Cadet de la fratrie, à vingt-trois ans il est dorloté par Rebecca.

Trois pages dont deux cent ( au moins) sont consacrées au travail de Peter : dénicher un artiste qui pourrait se vendre, l'exposer, les coups de téléphone à passer, les visites à ses clients. le tout est agrémenté par de nombreuses questions pseudo métaphysiques existentielles. Des pages tournées, beaucoup d'ennui et mes espérances d'accrocher à ce livre se sont concentrées sur l'arrivée de Mizzy. Mais il faut attendre loooongtemps pour qu'il fasse enfin son apparition.

la suite sur :
http://fibromaman.blogspot.com/2012/02/michael-cunnigham-crepuscule.html
Lien : http://fibromaman.blogspot.c..
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Déception, je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire. Peter, propriétaire d'une galerie d'art new-yorkaise, est en pleine crise de la quarantaine : il doute de son amour pour sa femme, de son métier et éprouve des sentiments ambigües pour son jeune beau-frère. le récit est ponctué de nombreux flash-back, d'introspection. Je me suis ennuyée pendant la lecture et me suis forcée à aller jusqu'au bout parce que c'était un Masse Critique. Concernant la forme, il s'agit d'une édition unilingue avec des traductions en marge. Utile pour connaître le sens de certains mots / expressions, mais cela rend la lecture moins fluide. Je préfère les "versions originales", quitte à sortir le dico quand je ne comprends vraiment pas.
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Je viens de terminer le dernier roman de Michaël Cunningham dont au moins deux de ces précédents livres, "Les heures" et "La maison du bout du monde", m'avaient très agréablement impressionné.
Je ne pense pas que ce "Crépuscule" laisse une trace impérissable dans la littérature contemporaine.
Pourtant la quatrième de couverture pouvait, comme d'habitude, laisser croire à un possible chef d'oeuvre... Je vais essayer de vous la décrypter.
"Au coeur d'un New York insomniaque, un roman éblouissant sur l'art, le désir, le couple, la mort."
Là, c'est clair, c'est la phrase type sur laquelle moultes chroniqueurs littéraires vont pouvoir broder à l'infini, surtout s'ils n'ont pas lu l'ouvrage. New York la nuit, c'est chic et clinquant. Les thèmes abordés, pas forcément originaux, sont de ceux qui font le régal de tous les magazines féminins et ainsi l'éditeur est sûr que le bouquin arrivera à s'intégrer, même petitement, dans la page "Livres à lire" ou "On adore".
"Le grand retour de Michaël Cunningham pour une oeuvre d'une douloureuse beauté."
Quand sont employés les mots "grand retour", c'est, même si on ne connait pas l'auteur, le signe d'un grand écrivain. On imagine une foule d'aficionados qui attend, bave aux lèvres, ce nouvel opus. L'éditeur parle d'"oeuvre", il ne s'agit bien sûr pas d'un quelconque roman, écrit par un nullard mais bien de quelque chose qu'on a intérêt d'avoir lu si l'on veut pouvoir faire partie de l'élite. Passer son chemin serait signe de mauvais goût : Cunningham publie une oeuvre, Marc Lévy sort un nouveau best-seller, ce n'est pas du tout la même chose. Ajoutez à cela "douloureuse beauté", et vous savez tout de suite qu'on l'on a affaire à du lourd, les sens du lecteur seront mis à rude épreuve.
La suite de la présentation est un peu maladroite, cette description des personnages, bourrée de clichés, peut indiquer à un lecteur un peu averti que l'originalité a du passer son chemin : "Peter et Rebecca" (ce n'est pas Kevin et Cindy) "ou le couple new-yorkais par excellence" ( ici, ça frise le pléonasme) :" lui est galeriste, elle est éditrice", ( C'est fou ce que les écrivains aiment les professions brillantes et chics, et si en plus ils sont beaux et vivent dans un loft, on aura tous les lieux communs du roman américain poussif) "ils ont la quarantaine fringante," (ben tiens, et je vous rassure, ce n'est pas dit ici, mais Rebecca a une ravissante jupe Prada et Peter a tout juste un tout petit embonpoint qui le rend totalement désirable) "un superbe loft à Soho," ( pfff, mais c'était une affaire malgré les cloisons ultra fines qui font qu'on entend tout d'une chambre à l'autre), "une fille en route pour l'université "( là, ce n'est pas vrai, elle est prépare des cocktails dans un bar d'hôtel. En plus, horreur, elle a des grosses chevilles... et donne plein de soucis à papa/maman parce qu'ils se demandent comment ils ont fait pour faire une fille aussi moche et ayant une profession aussi nulle) "et des amis brillants". (Heu, là, faut pas exagérer, ils n'en ont pas beaucoup d'amis. Les relations sont soit mondaines chiantes soit uniquement professionnelles.)
La fin sur le blog :


Lien : http://sansconnivence.blogsp..
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Crépuscule de Michael CUNNINGHAM
Ou comment je me suis fait bernée par une 4ie de couv accrocheuse et l'aveugle confiance dans un auteur dont j'avais bien aimé les livres précédents. Pourtant, ce roman avait à priori tout pour me plaire : l'action dans le milieu de l'art, New-York comme toile de fonds, une remise en cause de certitudes. Malheureusement, mon enthousiasme s'est dégonflé dès les premiers chapitres. L'intrigue qui s'annonçait prometteuse se révèle bien vite aussi plate qu'une limande, la vague tension sexuelle un cliché à pleurer. le style n'arrange rien à l'affaire. L'usage appuyé de l'italique, les citations récurrentes de marques et des précisions lourdingues mentionnées entre parenthèses tournent rapidement au tic d'écriture. Les dialogues sont d'une rare pauvreté, l'approche psychologique des personnages se réduit souvent à une succession d'interrogations à trois sous. L'éditeur a-t-il vraiment relu le manuscrit ? Vite, vite, passons à autre chose !
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Et oui, je l'ai lu... Il est vrai qu'on me l'avait pourtant déconseillé, mais cependant comme la quatrième de couverture me plaisait. En effet, elle était assez prometteuse, on aurait dit un nouveau petit chef d'oeuvre! Toujours aussi esthète, avec une thématique qui paraissait des plus intéressante. Cependant, je résumerai mon sentiment sur ce livre en un mot : décevant.
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Déçue par ce roman bavard, que j'ai trouvé sans intérêt. Je ne l'ai pas terminé.
J'avais pourtant un bon souvenir de ses précédents ouvrages.
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