Les Femmes du bout du monde

Je l'avoue, et j'en suis désolée, mais je suis restée totalement hermétique à ce roman. Il est vrai que ce que l'on nomme les "feel good books" ne font pas partie de mes lectures favorites. Pourtant devant l'enthousiasme suscité par cette auteure sur Babelio, je me suis laissée tenter... pour ne pas mourir idiote.

Hélas, malgré mes efforts (je suis allée au bout du roman), avec moi, cela ne fonctionne pas (heureusement ça plaît à d'autres). J'ai trouvé l'écriture et l'histoire de ces femmes du bout du monde d'une mièvrerie déconcertante. Il ne suffit pas de la parsemer de quelques idées écologiques (même si là je suis raccord) et de paragraphes plus "scientifiques" (moeurs des Maoris ou des otaries) pour que la sauce prenne. Et de liant, il n'y en a pas, pas plus que de rythme d'ailleurs. Je me suis prodigieusement ennuyée. Je ne me suis pas attachée aux personnages, pas plus à cette mère qui couve sa grande fille de 23 ans qu'à cette femme qui a subi la pression de sa belle-mère sans renâcler, préférant s'expatrier loin de tout. Alors que ce roman m'avait fait miroiter un voyage dépaysant en Nouvelle-Zélande, je suis malheureusement restée à quai. Un 8/20 uniquement pour les quelques belles images de nature rapportées.

Au début je me suis laissé emporter par l'histoire de ces femmes en Nouvelle Zélande, puis j'ai eu de plus en plus de mal avec un semblant d'intrigue. J'ai été très déçue par ce roman, l'histoire de ces femmes est totalement inintéressante, parfois la description des lieux rattrape un peu l'affaire mais autant lire un guide touristique ou se documenter sur la culture maorie de manière plus directe. On croit moyennement à cette histoire de guérison "entre femmes".... J'ai terminé le livre avec beaucoup de difficulté en ne lisant plus qu'en diagonale.

Je suis certaine que si j'avais lu ce roman avant la doublure je l'aurais sans doute adoré, malheureusement je n'ai pas du tout réussi à rentrer dans l'histoire. Il est tellement différent et la doublure m'a tellement impressionnée que ça n'a pas matché avec celui-ci.

Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, je trouve le récit long et monotone…. Mais faute à la doublure j'en suis certaine !

Peut être que ce n'est pas non plus le bon moment pour moi de le lire mais bon en tout cas j'aurai essayé mais il n'est pas question pour moi de me forcer lorsque ça fonctionne pas, quand je n'adhère pas il m'est impossible de persévérer…

Même si j'attendais avec impatience ce nouveau roman de Mélissa Dacosta, c'est un RDV un peu raté pour moi… une déception.
L'écriture est douce, bienveillante et nous transporte dans ce coin isolé et préservé de Nouvelle-Zelande. Mais finalement, je m'y suis ennuyée.
C'est un roman contemplatif avec une belle part donnée à l'amour et l'amitié, à la reconstruction, les animaux, la nature et la culture Maori… mais qui manque d'action à mon goût.

Après un mariage raté, Flore part se réfugier au bout du monde dans un camping en Nouvelle Zélande. Là elle fait connaissance de la gérante du camping et de sa fille malmenées également par la vie.
Je n'ai pas accroché à cette histoire de renaissance ponctué d'hymnes à la nature à la beauté de la nouvelle Zélande. L'auteur se sert des légendes maoris pour étoffer son propos, expliquer les clivages entre maoris et descendants de colons blancs.
L'histoire traîne en longueur. On passe d'hésitations d'un personnage aux apitoiements d'un autre. Ça devient insupportable et n'apporte aucune étoffe au récit.
Une lecture a oublié….

Après avoir vu toutes les critiques positives sur la nouvelle oeuvre de cette autrice que j'apprécie beaucoup, je me suis décidée à l'acheter sans attendre sa sortie en poche.

Eh bien, je suis très déçue.. Mélissa Da Costa avait, jusqu'à lors, toujours réussi à me séduire. J'ai lu “je revenais des autres”, “les lendemains” ou encore “toute le bleu du ciel” d'une seule traite. Ici, le roman manque à mes yeux d'une intrigue… En effet, l'histoire d'amour met très longtemps à se mettre en place et une fois arrivée, le roman redevient “plan-plan” à mon goût. Beaucoup de descriptions (ce qui, d'habitude ne me dérange pas quand je perçois le fil directeur du livre derrière), les temps ou Milly raconte des légendes sont très (trop?) longuets…

Enfin, j'espère que Mélissa Da Costa me reconquérira avec son prochain roman!!

Pour une fois, je me permets de ne pas faire un résumé complet, puisque je pense que ce roman, comme tous ceux de l'auteure, connaîtra son succès et qu'il y aura assez de résumé de fait.

En revanche, je vais donner mon avis mais il est à contre-courant des retours que j'ai lu, jusqu'à présent.

En grande admiratrice de la plume de Mélissa Da Costa, j'ai débuté ce roman avec un grand enthousiasme et en étant confiante. J'attends chaque sortie de ses romans avec grande impatience.

Oui mais là… ça ne l'a pas fait avec moi et j'en suis la première dégoûtée car je me suis ennuyée les 3/4 du roman. D'ailleurs, honnêtement, si ce n'était pas cette auteure, j'aurai sûrement abandonnée.

Les animaux sont très présents dans ce roman. Vous connaissez mon amour pour eux. Mais….même si c'est appreciable d'en apprendre sur tous ces animaux marins, j'ai fini par faire une overdose. J'avais l'impression, à des moments, d'être + dans un documentaire animalier, que dans l'histoire de ces femmes. Alors que ce que je recherchais, c'était à en savoir + sur Flore notamment.

Flore qui s'est exilée à l'autre bout du monde pour fuir son mari Paul, avec qui plus rien n'allait. Elle a saboté leur relations avec ses aventures extra-conjugales, mais pourquoi ?
On apprendra enfin, dans les 100 dernières pages, ce qui s'est passé. J'aurai aimé en savoir davantage plus tôt !

D'ailleurs, l'action se passe principalement dans ces 100 dernières pages car le reste du roman est rempli de longueurs et, est globalement platonique, trop gentillet pour ce que je recherche.

J'ai bien aimé la relation entre ces femmes, le fait qu'elles avancent ensemble pour se reconstruire. de ce point de vu, c'est touchant. Mais l'émotion m'a manqué durant cette lecture.

Aussi, j'ai aimé en apprendre + sur la culture maori. Certains passages étaient longs mais intéressants.

On visualise facilement les paysages et la nature de la Nouvelle Zélande.

Mais voilà,je m'attendais à une histoire plus prenante. J'ai mis 10 jours à le lire, c'est inhabituel. Pour autant, je resterai fidèle à l'auteure et lirai ses autres romans.
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J'avais tellement aimé "la doublure"...

Même en sachant que ce livre serait complètement différent je pensais retrouver ce qui m'avait séduite et transportée dans ce nouveau roman de Melissa Da Costa.

Ce fut loin d'être le cas, je me suis ennuyée et perdue dans ce récit tout en longueur. Est-ce une brochure touristique pour la Nouvelle Zélande ? Ou alors un livre sur l'écologie, l'écosystème ? Une histoire d'amitié ? D'amour ? C'est si lent qu'on s'y perd. Difficilement je suis arrivée au bout en sautant de nombreux passages et à l'arrivée je me suis dis : quoi ? Tout ça pour ça ? Décevant vraiment.

Un peu déçue par ce titre surtout après la
Lecture de « La doublure » . J'ai trouvé le texte lent , beaucoup de descriptions qui nous font voyager mais le récit des personnages n'est pas assez développé. Il est même noyé dans ces paysages . J'ai aimé mais beaucoup moins que les autres

J'ai enfin fini le livre mais j'aurais cru abandonner bien avant la fin.
Tellement de publicité pour ce livre que je me suis laissée tenter.
Les critiques sont tellement bonnes que j'ai voulu aller jusqu'au bout et finalement j'en suis déçu. Trop mou à mon goût.