Au-delà d'un message rabâché avec tellement d'intensité et si peu de subtilité qu'on est davantage sur du bourrage de crâne nauséeux que de l'éducation, et surtout d'une histoire nettement moins intéressante que le premier tome (qui n'était déjà pas fabuleux), ce qui m'a surpris et franchement déçu, c'est le nombre effroyable de gros mots et autres vulgarités dispensées gratuitement - alors que le volume précédent n'en contenait aucune. Qu'est-ce qui leur a pris ? Ils sont tarés ou bien, de parler si mal dans une bande dessinnée clairement à destination des petits ?
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Manga Report au Festival de la Bande Dessinée d'Angoulême.
Interview d'Antonello Dalena, dessinateur d'Ernest et Rebecca et de Sybille, la fée cartable chez Le Lombard.
Une interview d'un dessinateur, qui a gardé son âme d'enfant !