AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,84

sur 179 notes
5
35 avis
4
26 avis
3
12 avis
2
2 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Ai-je bien fait de me lancer dans Morgane Pendragon, cette réécriture féministe des légendes arthuriennes écrite par Jean-Laurent del Socorro ? Je n'en suis pas sûre, car mon avis va à contre-courant de la majorité.

Certes, le roman se lit vite et bien grâce à la plume entraînante de l'auteur, cependant... Eh bien, j'ai eu l'impression de lire un compte-rendu de quelques événements passés. le résultat manque de profondeur.

Alternant entre Morgane et Arthur, la narration à la première personne aurait pourtant dû insuffler des émotions, mais à mes yeux le livre en est dépourvu. Malgré cela, j'ai apprécié la manière dont Jean-Laurent del Socorro s'est réapproprié le mythe arthurien.
Lien : https://lesfantasydamanda.wo..
Commenter  J’apprécie          60
Morgane Pendragon est une belle réécriture des légendes arthuriennes. Dans ce roman mêlant fantasy et Histoire, c'est Morgane, et non Arthur, qui retire l'épée d'Uther Pendragon de la pierre et qui devient reine.
Entre surprise et plaisir de reconnaître des éléments connus, l'on retrouve les événements de la légende : la guerre pour asseoir sa légitimité, la création de la Table Ronde, les amitiés, les alliances, les scissions, les trahisons, la quête du Graal…
J'ai lu ces aventures avec un regard nouveau grâce à cette réécriture anachronique brillante qui renonce aux stéréotypes de genres et qui diversifie les représentations. Très documenté, l'auteur fait référence à diverses oeuvres littéraires et cinématographiques tout en se détachant de la tradition pour offrir un regard moderne, notamment à travers une écriture la plupart du temps inclusive. Ainsi, les « Épées » désignent les chevalières et chevaliers de l' « adelphie » de la Table Ronde.
Si le royaume de Logres se reconstruit lentement, la 2ème partie du roman est intense en tensions et émotions, les aspects politiques, religieux et affectifs s'entremêlant pour dérouler sous nos yeux un drame humain quasi shakespearien où le réalisme des batailles et des intrigues politiques se mêle à la magie, l'onirisme, la faërie.
L'on voit l'histoire d'un autre point de vue. Les femmes ne sont plus sournoises ni manipulatrices mais puissantes et résilientes, cherchant à se venger ou à venger celles qui ont été détruites.
L'alternance des points de vue de Morgane et Arthur révèle toute la complexité de beaux personnages luttant contre leurs propres démons dans un monde incertain où le culte de la Déesse et la jeune religion chrétienne peinent à cohabiter.
Une belle découverte !
Commenter  J’apprécie          40
Et si c'était Morgane qui était destinée à gouverner ?
Et si Merlin n'était pas le magicien bienveillant qu'il laisse voir ? Et si Arthure n'était pas le héro lisse que l'on pense ?

Morgane, à 17 ans devient reine et doit apprendre à naviguer dans les eaux troubles du pouvoir.

Entre négociations, Guerres et manipulations, c'est un récit plein d'aventure que nous livre ici l'auteur.

J'ai cependant eu toutes les peines du monde à pleinement apprécier ma lecture qui pourtant recèle certains points positifs comme le rythme, la passion, la magie dt surtout la légende arthurienne.
Je suis cependant restée complètement hermétique aux personnages et au récit lui même. Je n'ai pas réussi à m'immerger dans l'univers et à ressentir une quelconque ambiance.
Les évènnements se sont enchaînés, pour moi, sans que je réussisse à m'inclure dans les aventures de Morgane. Je suis restée en surface des descriptions qui sont restées sans émotions.

Pour avoir discuter avec des collègues, j'entends bien que ce ressenti est le mien et conçoit tout à fait que pour d'autres ce fut une bonne expérience de lecture.

Dommage pour moi !
Commenter  J’apprécie          20
Avant-propos
En premier lieu, je remercie Gilles Dumay et les Éditions Albin Michel Imaginaire pour l'envoi de ce service presse ! La légende arthurienne représente un terrain fertile aussi bien historique que dans l'imaginaire. Alors découvrir une version proposant une certaine équité avec non pas un roi (Arthur) mais une reine (Morgane) est plus que tentant.
Morgane Pendragon sort ce 18 janvier, rendez-vous chez votre libraire.
.
Introduction
Si Jean-Laurent del Socorro est connu pour ses romans de fantasy historique, mettant en avant des personnages féminins, c'est avec ce titre que je le découvre pour la première fois. Sous la splendide illustration de couverture signée Didier Graffet, l'auteur nous offre une réécriture de la légende arthurienne, avec ce détail qui change tout : et si c'était Morgane qui avait retiré l'épée du roi Uther Pendragon ?
.
La reine Morgane
Qui ne connaît pas Arthur, les chevaliers de la table ronde, la quête du graal, Excalibur, Merlin l'enchanteur, la dame du lac… ? Entre Histoire et fantasy, cette légende n'a de cesse de passionner. Avec son nouveau roman, Jean-Laurent del Socorro propose une réécriture inclusive, avec des personnages humains plutôt que légendaires, confrontés au monde mouvant des intrigues politiques et religieuses. Si c'est Morgane qui parvient à s'emparer de l'épée du roi Uther Pendragon, son père, et non Arthur, son amant, il n'en demeure pas moins qu'elle fait aussitôt face à des contestataires. À peine reine de Logres, la voilà déjà à devoir prendre les bonnes décisions ; elle qui souhaite reconstruire l'harmonie des royaumes, elle doit faire la guerre pour assoir sa Couronne.
Ainsi commence Morgane Pendragon.
Jeune femme adoubée chevalière, Morgane embrasse son rôle de reine. Si elle souhaite s'émanciper de la présence de Merlin, elle sait pouvoir compter sur Arthur. Mais la reine de Logres ne va pas se contenter d'avoir mater ses vassaux belliqueux. Pour renforcer son poids quant à sa volonté de reconstruire et de renforcer Logres, elle créé la table ronde où siégeront une Épée de chaque Couronne. Ici seront débattus les quêtes, des quêtes qui forgeront l'amitié comme les récits d'Arcade la barde.
Des alliances sont forgées, des ennemis deviennent des amis, les troupes et les quêtes sont victorieuses. Toutefois, le statut de reine de Morgane l'éloigne d'Arthur et elle doit faire passer Logres avant elle. Aussi, alors qu'Arthur se voyait roi en épousant Morgane, cette dernière épouse Guenièvre. Amer, Arthur s'en retournera à Tintingel, dont le titre de duc lui a été restitué. En parallèle, l'avancée du christianisme menace la religion de la Déesse. Toutefois, là encore Morgane cherche l'harmonie, accepter l'autre.
.
La légende morganienne
À travers le roman, si les personnages centraux sont tenus par Morgane et Arthur, les autres protagonistes ne sont pas en reste et participent à la légende morganienne. Morgane est une jeune femme, une chevalière, une amante, une épouse, une mère et une reine, mais elle est avant tout un être humain et non une légende, et d'ailleurs c'est ce qu'elle ressent. Elle se voit en tant que protectrice et souhaite être garante de l'harmonie, et non comme une personne exceptionnelle. Malgré tout, elle excelle dans son rôle de reine, de même que ses troupes gagnent les différentes batailles.
Seulement Morgane ne réussit pas toute seule, elle est entourée. Les noms connus comme Guenièvre, Gauvin, Lancelot, Kay… Des frères et soeurs d'arme ou de lait, des ami.e.s, des amant.e.s, des vassaux. Leur alliance, les débats, les quêtes et les combats qu'ils mènent ensemble participent grandement au règne de Morgane, car c'est ensemble que s'esquisse les idéaux de la reine de Logres.
La légende morganienne se tisse également à travers les artefacts disséminés dans le récit. Les épées (dont la fameuse Excalibur), une lance, le calice du roi Pellès alias le roi pêcheur (que les chrétiens revendiquent comme étant leur saint graal). Ces artefacts, dotés de magie, sont de forts symboles que l'auteur reprend bien évidemment dans sa réécriture.
.
Un soupçon de Faërie
En parlant de magie, il est très plaisant que Jean-Laurent del Socorro l'ait incluse dans son roman. En effet, au-delà du côté épique et en partie historique, c'est bien une fantasy que propose l'auteur. La magie est discrète, bien que présente dès le départ via le personnage de Merlin. La Faërie existe, si elle s'est effacée pour se cantonner aux frontières du royaume du roi Pellès, le père de l'Épée Élaine. Toutefois, sous le règne de Morgane, elle revient peu à peu sur les territoires humains.
Quelques rites dits païens sont célébrés, notamment Imbolc (solstice du printemps). Ce dernier représente bien le fil rouge du récit : les graines des intentions de Morgane pour Logres sont plantées.
Toutefois, la Faërie et donc la foi à la Déesse sont menacées par le christianisme qui s'étend. Si Morgane espère conserver le vivre ensemble avec l'évêque Constantin, les choses seront bien différentes avec le successeur de celui-ci. La religion chrétienne menace la Faërie comme les traditions ancrées. Alors que géants, métamorphes et autres créatures émergent des brumes d'Avalon, le christianisme a dessein de les éliminer, car selon les écrits se sont des créatures impies, démoniaques.
.
Oeuvre inclusive
La foi chrétienne menace aussi les rois et les reines, ne mariant que deux personnes de sexes différents. En effet, inspiré des moeurs celtes, Jean-Laurent del Socorro livre des personnages bisexuels, pansexuels. Polyamours et enfants en-dehors des mariages ont toute leur place dans ce récit. C'est tout à fait libérateur de découvrir cette ouverture d'esprit dans une réécriture d'une légende fondatrice. L'auteur ne s'est pas juste arrêter à l'idée de donner la couronne à Morgane plutôt qu'à Arthur, car il intègre aussi l'équité à tous les personnages.
.
Les femmes ne sont pas des demoiselles en détresse, certaines sont chevalières et leurs talents et leur courage n'ont rien à envier à ces messieurs. Une reine peut s'habiller en robe aux banquets comme revêtir son armure pour d'autres occasions. Elles sont autant indépendantes que les hommes, même si ni elles ni les hommes ne peuvent échapper à leurs devoirs, comme des alliances par le mariage, néanmoins, des "divorces" arrivent.
.
Écrire une légende
Le style de Jean-Laurent del Socorro est fluide, sa plume minimaliste va à l'essentiel, jusqu'à découper l'intrigue via des ellipses de plusieurs années. Car Morgane Pendragon retrace les moments clefs de la reine de Logres. S'il m'a manqué de la profondeur, les personnages sont toutefois justement incarnés, leur description comme leurs traits de caractère suffisent à les représenter sans qu'ils ne soient creux ; bien qu'à mon sens les deux derniers personnages introduits à la fin manquent à ce travail, penchant beaucoup trop dans le manichéisme déjà présent avec la foi chrétienne.
Si le roman retrace la légende morganienne, je disais plus haut qu'elle ne se dissociait pas d'Arthur. Ainsi, l'auteur alterne par le point de vue de ces deux personnages, amants dans cette réécriture, à travers des chapitres courts narrés à la première personne du singulier.
Je n'ai pas eu d'attachement particulier aux personnages principaux, bien que Morgane soit bien campée et à la hauteur de son rôle. Arthur m'a très souvent agacée : il se voit roi et se frustre sans cesse de son destin qu'il n'accepte pas, en plus d'être influençable et de prendre des décisions contre ses valeurs. Bon, il se rattrape, heureusement.
Malgré tout, le scénario fonctionne à merveille. Je me suis insurgée contre l'évêque Laurent, le traitement des Faëries sous la vision du christianisme, l'asservissement de Bisclavret par Tate et sa religion, les diverses trahisons. Les intrigues religieuses dessinent bien ici l'effacement du rapport à la Nature, des rites païens, par le christianisme qui a diabolisé les animaux, les femmes et la Faërie, ne manquant pas d'écrire, de réécrire même, l'Histoire à leur avantage. Toutefois, le couple Kay/Palamède prouve bien que l'idéal de Morgane existe : l'harmonie entre deux religions, Palamède étant arabe, donc sassanide et zoroastrien (car au VIIème siècle où se déroule ce roman, l'islam n'existe pas encore).
.
En bref : Jean-Laurent del Soccoro nous offre une réécriture de la légende arthurienne moderne et inclusive. Et si Morgane avait retiré l'épée et non Arthur ? Partant de ce « Et si… ? », l'auteur nous brosse la légende morganienne à travers les événements clefs en réinventant les symboles et personnages. L'avancée du christianisme en ce VIIème siècle va souffler un vent de trahisons, d'intrigues et de batailles épiques. La foi chrétienne veut effacer les femmes et les Faëries de l'Histoire, revendiquer la quête du graal. Dans ce contexte, Morgane trace sa destinée, et sa légende.
S'il manquait de profondeurs et de complexité pour moi, j'ai passé un très bon moment de lecture. Ce roman se lit facilement et rapidement. J'ai adoré son côté libérateur grâce à la représentation parmi les personnages et l'équité avec des femmes combattantes et courageuses. La dimension des Faëries et des rites païens ouvrent sur le merveilleux du folklore celte et donne envie de renouer avec la Nature.
Lien : http://maude-elyther.over-bl..
Commenter  J’apprécie          20
Je suis une grande fervente des récits arthuriens et j'aime les réécritures de ces histoires, parce que c'est l'un des fondements même du mythe arthurien. Les réécritures (littéraires mais aussi audiovisuelles) de cette matière ont donné ce qu'elle est aujourd'hui. J'avais donc beaucoup (trop ?) d'attentes sur cette réécriture qui fait la part belle aux femmes et ne les cantonnent pas aux simples rôles de demoiselles en détresse. J'avais hâte de le découvrir mais... je l'ai trouvé très inabouti. Tout s'enchaîne trop vite sans que rien ne soit approfondi. Les personnages n'ont aucun relief, on ne peut pas s'y attacher ou comprendre leurs tourments.



Peut-être suis-je un peu exigeante car je sortais d'une lecture de Jean-Philippe Jaworski (qui peut-être assommant de détails à l'extrême inverse) et il maîtrise comme peu les intrigues, les complots et les retournements de situation. Dans le cas de Morgane Pendragon, j'ai eu la sensation que l'auteur voulait aborder plein de sujets mais sans avoir la vraie résolution d'aller jusqu'au bout des choses. On reste en surface de tout, que ce soit sur l'intrigue, les personnages, et même le message social derrière. J'aurais aimé que Jean-Laurent del Socorro se disperse moins sur plein de sujets et aille dans le fond des choses.
Commenter  J’apprécie          10
Je partais dans cette lecture avec beaucoup d attentes, sûrement trop. J avais tellement hâte de le commencer, moi qui adore la légende Arthurienne !
Revisite du mythe, et si c était Morgan qui avait retiré l épée d Uther et qui devenait reine du Royaume des Logres ?
Une revisite Féministe, inclusive.
Malheureusement je ne me suis pas attachée aux personnages, je n ai pas aimé la façon dont l histoire est racontée, 1 chapite Arthur, 1 chapitre Morgan.
L idée est bonne et peut plaire à beaucoup alors n hésitez pas !
Commenter  J’apprécie          10
L'auteur bien connu de la sphère SFFF propose une réinterprétation qui se veut audacieuse de la légende arthurienne en se concentrant sur le personnage de Morgane, mais des personnages inégaux et un rythme parfois trop rapide m'ont fait décrocher au fil de la lecture. L'enchaînement des événements manque parfois de clarté et en 2023, je n'ai pas été soufflé par les idées sociétales derrière.
Si la plume de Jean-Laurent del Socorro est riche, certains passages peuvent sembler trop descriptifs ou verbeux. Cette surabondance de descriptions m'a paru également nuire au développement des personnages, qui parfois manquent de profondeur et de nuances.
"Morgane Pendragon" est un roman qui offre une nouvelle perspective sur la légende arthurienne, mais sa lecture est restée frustrante à mes yeux. Si vous êtes plus patients que moi, il y a certainement de quoi s'en satisfaire amplement.
Commenter  J’apprécie          10
Il s'agit d'une réécriture féministe (à mon sens) du mythe Arthurien.

La reprise des personnages, des lieux et des cultes sont identiques que dans le mythe de base, avec quelques surprises.

Le récit en soit est rafraichissant, cependant j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages car la narration est un peu trop lointaine pour moi, beaucoup d'éléments du récit auraient mérités d'être plus approfondis, et juste pas « balancés » d'un bloc sans trop d'explications.
Commenter  J’apprécie          10
N'étant pas un.e grand.e fan de la légende arthurienne, je n'attendais pas grand-chose de cette réécriture... Ce fut donc une très bonne surprise de trouver un vrai parti pris féministe et engagé. Il y a clairement quelques défauts (ça va très vite, difficile de s'attacher aux personnages) mais ça fait un bien fou de voir que des auteurs de fantasy ayant pignon sur rue remettre en question les récits traditionnels et misogynes !
Commenter  J’apprécie          10
Je suis déstabilisée par un paradoxe : ce roman revisite le cycle arthurien en y autorisant des femmes-chevaliers, une fille Pendragon et le culte d'une Déesse, mais présente pourtant son univers comme hostile aux femmes. Elles s'en font régulièrement la réflexion, alors qu'elles sont reines, bisexuelles, mariées entre elles, et en position de refuser des fiançailles, même diplomatiques, si ça ne leur chante pas. Ça me laisse perplexe.
Un autre point noir dans ce récit c'est, pour moi, la narration à la première personne et au présent. Elle est impossible à justifier au coeur d'une bataille, par exemple.

Pour le reste, j'ai beaucoup aimé ce livre. Je connais assez bien le cycle arthurien, aussi j'ai goûté les multiples références à telle ou telle histoire, mais il n'est pas nécessaire de les comprendre pour apprécier ce récit, puisqu'il en mélange les personnages, leurs attributs et leurs légendes - quoique, ça aussi, c'est savoureux.
Les protagonistes sont émouvants car faillibles. S'ils font preuve d'héroïsme, ils n'en sont pas pour autant des archétypes. Morgane m'a paru tour à tour droite et hautaine, froide et attachante. J'ai aimé qu'Arthur se montre si lâche parfois. Ses atermoiements ne le rendent pas sympathique, mais crédible, oui.

Quant à l'univers, c'est bien celui du mythe, mais contrairement à Chrétien de Troyes, qui porte bien son nom, Jean-Laurent del Socorro l'envisage côté féérie, et non à travers le prisme du christianisme. Cela confère au récit une grande force symbolique, et poétique. En tout cas le merveilleux m'y a paru moins "accessoire" que dans le roman canonique.
Commenter  J’apprécie          00





Lecteurs (540) Voir plus



Quiz Voir plus

La fantasy pour les nuls

Tolkien, le seigneur des ....

anneaux
agneaux
mouches

9 questions
2500 lecteurs ont répondu
Thèmes : fantasy , sfff , heroic fantasyCréer un quiz sur ce livre

{* *}