Dans ses Quatre saisons de l'été,
Grégoire Delacourt nous parle des coeurs qui battent.
Qu'on ait 13, 35, 55 ou 75 ans.
Ah, l'amour !
Quatre histoires, un même été.
Seul Francis Cabrel semble Hors saison, avec sa chanson véritable fil rouge de ce roman.
Des amours qui naissent aux amours qui meurent.
Des premiers frissons, des premiers regards, des premières envies.
Des amours contrariées. Des sentiments qui s'échappent.
La vie qui joue des tours. Les séparations, volontaires ou subies.
Les rencontres ou les retrouvailles.
Quatre histoires, un même lieu, une même date.
Des coeurs qui battent à l'unisson.
Un feu d'artifice qui illumine des vies qui commencent ou se terminent.
Mais, n'est-on pas d'ailleurs un 14 juillet ?
C'est pour ça qu'il a choisi cette date Mr Delacourt ?
Ah, j'allais oublier, j'ai parlé d'une chanson, d'une date, mais il y a aussi des fleurs, plein de fleurs, avec de jolis noms, mais aussi avec des significations.
Attention quand vous en offrez, pensez-y à ce qu'elles disent ces fleurs...
Grégoire Delacourt raconte les doigts des mains qui s'enlassent, les lèvres qui s'embrassent, les yeux qui pétillent. Il raconte les espoirs, les hasards, les sourires, les larmes.
Il va vous émouvoir.
Parce que dans ses couples, il y a un peu de nous tous, un peu de tous ceux qui aiment, ont aimé ou aimeront...
Alors, même si Grégoire n'a pas réussi à m'émouvoir tout au long de son roman, il m'a touché avec Rose et Pierre, parce que cette histoire est la plus belle et qu'on ne peut que souhaiter un tel amour à tout le monde.