Les mésanges de la grande marche

Ce très court texte est construit comme une fable, et s'adresse aux jeunes enfants, pour les inciter à réfléchir aux conséquences de leurs choix.
Le fait qu'il soit très court est une qualité car cela aide à délivrer son message, mais c'est aussi son plus gros défaut, car il manque de très nombreux éléments de contexte, qui auraient permis d'ouvrir l'histoire sur les grandes questions du totalitarisme, du contrôle des populations...
Du coup, c'est juste une histoire affreuse où le gouvernement oblige à tuer des oiseaux !

Je l'avais choisi comme deuxième choix, parce que ma fille adore les mésanges et collectionne ce qui se rapporte à eux.
C'est un tout petit livre qu'on pourrait facilement lire à ses enfants.
Leur expliquer plus tard les conséquences des actes sur le futur et qu'il ne faut pas toujours agir sans réfléchir avant à ce qu'on fait.
L'histoire est amusante, et le personnage est touchant quand il parle de ses mésanges.
Leur expliquer que toutes formes de vie est nécessaire et qu'il faut réfléchir avant de poser certains actes. Comme la conséquence des moutons et des lapins introduits en Australie. La nature sait ce qu'elle fait et pourquoi tel animal a été crée.
Pourtant il y a un passage très dur, quand un voisin tue les mésanges du petit garçon.
Je ne peux que conseiller aux parents de lire une fois avant de commencer la lecture pour savoir s'il faut réellement leur lire ce passage où le sauter

Les Mésanges de la Grande Marche est un petit roman à partir de 8 ans qui donne à réfléchir sur les conséquences de ses choix.
Mao dans sa course aux progrès décide de tuer les moineaux de Chine car ils mangent la nourriture du peuple. Un petit garçon qui aiment les oiseaux décident de ne pas obéir aux ordres...
Un roman à lire avant de mettre dans les mains des enfants pour pouvoir leur expliquer la thèse du livre et le contexte de la politique de Mao. Pas évident donc pour une première lecture...
Livre lu dans le cadre du Masse Critique Jeunesse. Merci à Babelio et aux éditions Pour penser.

6 minutes, c'est le temps qu'il m'a fallut pour lire cet ouvrage de trente pages. Sans compter les 5-6 dessins et les 2-3 pages blanches d'une écriture en 14 ou 16. Plus petit que A5… vous imaginez la taille du truc ?
À vrai dire, je ne l'ai lu que parce qu'il y avait écrit « mésanges » dans le titre. Il n'y a rien à dire sur cette histoire. À part qu'elle est marquée roman sur sa couverture. Roman. Et quand j'ai vu le prix…
Bref une petite histoire un peu sanglante (c'est un bon point !) qui nous apprends qu'on a besoin d'oiseaux ! Surtout d'adorables petites mésanges.