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3,7

sur 433 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  

Claire est une jeune anglaise qui suit des cours de théâtre à Londres. Elle n'a pas le permis de travail, la fameuse Carte verte, elle a recours à des activités douteuses pour subvenir à ses besoins primaires. C'est ainsi qu'elle rencontre Patrick soupçonné d'avoir assassiné son épouse. Elle a pour mission de le pousser à la faute et avouer son crime mais elle va tomber amoureuse de lui.
Coquille vide. C'est censé être un thriller, psychologique et/ou domestique. C'est d'un ennui sans fond, la même ritournelle pré-mâchée délayée à l'infini.
Dommage
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Lier une intrigue policière aux Fleurs du mal de Baudelaire me semblait être une idée originale, voire courageuse. Je me suis lancée dans cette lecture avec enthousiasme, freinée parfois par une écriture entrecoupée de dialogues qui tombaient plus ou moins bien, mais motivée par la recherche du ou de la coupable. Alors, certes, il y a des rebondissements et le lecteur cherche à comprendre pourquoi on le promène ainsi. Mais, c'est du polar et c'est fréquent d'être dupé par un auteur. C'est même assez grisant quand le roman est réussi. Je crois que finalement ce qui m'attirait, en l'occurrence l'utilisation des vers de Baudelaire, a fini par m'agacer sérieusement. Comment dire, il y a quelque chose de raté dans ce livre, peut-être est-ce la juxtaposition des genres : polar + poésie + théâtre + folie ? J.P. Delaney avait bien traité le sujet de la manipulation dans La fille d'avant. Ici, cela ne fonctionne pas et il est difficile de croire à l'histoire autant qu'aux personnages.
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Un thriller psychologique qui embarquera sans aucun doute pas mal de fans du genre.
Claire, d'origine anglaise, rêve de théâtre & de cinéma. En attendant, pour payer son loyer à New York, elle joue les tentatrices pour faire chuter les maris infidèles. Alors qu'elle tente de séduire Patrick Fogler, celui-ci l'envoie promener. Mais la femme de celui-ci est retrouvé morte dans sa chambre d'hôtel le lendemain. La dernière personne à l'avoir vu semble être Claire. La jeune femme va accepter de jouer la comédie pour compromettre le mari que la police pense coupable.
Mais qui ment ? Qui manipule qui ?
Des rebondissements qui provoquent des cassures dans le rythme de ce thriller. J'y ai également trouvé des longueurs pour un dénouement final décevant pour ma part.
Lien : http://etlemondedesosso.cana..
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Comme j'avais beaucoup aimé "La fille d'avant" , je me suis plongé dans "Mensonge" en pensant me régaler une nouvelle fois .
Le début est prometteur mais , le premier tiers passé , j'ai commencé à trouver l'histoire un peu longuette et manquant de rebondissements .
De longs passages sur Baudelaire ( qui n'est pas mon poète préféré )
et son profil psychologique m'ont légèrement ennuyé et je n'ai pas trouvé l'héroïne très attachante .
De nombreux faux-semblants et mensonges font qu'on ne sait plus que croire ....à tel point que j'ai trouvé de moins en moins d'intérêt à l'intrigue ..... aucun suspense avant les quinze dernières pages !
En résumé , je trouve ce roman de JP Delaney beaucoup moins réussi
que le précédent .
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Le titre français : ‘Mensonge'.
Le titre anglais : ‘Believe me' / ‘Crois-moi'

Où est la vérité ? Où est le mensonge ?

D'abord l'auteur : le pseudonyme de J.P. Delaney appartient à Anthony Capella.

Ensuite le livre : il était déjà paru en 2002 sous le titre ‘L'appât' et un autre pseudo – Tony Strong.

Fort de son succès de ‘La fille d'avant', l'auteur se dit qu'il peut refaire tourner la planche à billets, avec son nouveau nom, en catimini.

Une mauvaise idée à mon avis. Si on m'avait présenté ce livre comme un premier roman/thriller, j'aurais mis de côté le côté ‘erreurs de jeunesse / approximations / incohérences', mais ici on essaie de me faire prendre des vessies pour des lanternes (au sens familier du terme, pas comme l'entendait Alfred Hitchcock : ‘La durée d'un film devrait être directement liée à la capacité de la vessie humaine', bien que…).

C'est un peu l'histoire du ‘chasseur sachant chasser…' D'un côté il faut faire du théâtre, ou tout au moins de la diction, pour pouvoir prononcer cette phrase, d'un autre, du début à la fin, l'héroïne oscille entre le rôle du chasseur et de l'appât.

Trop tiré par les cheveux à mon goût, pas assez abouti. On tire sur la ficelle, et parfois elle casse. C'était mon cas.

Comme si la police américaine – même sous l'ère Trump – pouvait engager des civils comme infiltrés… Puis les envoyer en hôpital psychiatrique, et enfin dans le lit du méchant.
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À ma gauche Claire, anglaise, étudiante en théâtre aux États-Unis (sans carte verte) choix particuliers en matière de sexualité, à la ramasse au niveau financier, prête à tout (ou presque) pour payer son loyer et continuer ses études. À ma droite, Patrick Fogler, l'homme à abattre, soupçonné d'infidélité, traqué par sa femme qui cherche à le démasquer, universitaire amoureux et spécialiste de Charles Baudelaire. Claire est engagée pour coucher avec le mari, mais se retrouve au centre du meurtre de Stella, femme de Patrick. Qui c'est qui donc a tué la dame ?

Respirez, vous être filmés ! La vidéo de ma lecture live sera bientôt disponible sur le dark web. Et ça va être aussi passionnant qu'un bon film de série F ou aussi excitant qu'un film pour adulte de seconde zone. Je conseille à tous ceux qui ont de gros problèmes de sommeil de la regarder ou alors, encore mieux, de lire le bouquin. Oui, je suis méchante, mais là j'en ai franchement marre. le thriller psychologique, nom d'un chien, doit avoir un minimum de contenu pour tenir son lecteur en haleine. Honnêtement à 30 % du bouquin, je connaissais la fin. Non seulement, c'est du déjà vu, du revu, du re-revu, mais ce n'est même pas bien monté (sans mauvais jeu de mots) pour être au moins distrayant à défaut d'être bon. Avez-vous la série « The Following » ? Tueur en série passionné par l'oeuvre d'Edgar Allan Poe ? C'est bien la première fois que je vous dis d'aller vous coller devant le petit écran plutôt que de lire un bouquin, mais là, je vous le dis « allez vous coller devant la saison 1 de cette série » (pas la seconde ni la troisième, juste la première) ou reprenez carrément « Les Fleurs du mal », vous y prendrez certainement plus de plaisir !

Nous sommes dans l'ambiance folle/pas folle. Claire a-t-elle un pète au casque ou est-elle simplement une merveilleuse élève, actrice très appliquée dont les dons supplantent largement la personnalité ? Vous le saurez dans l'épisode 1 de la saison 1 de « Mensonge »… Il y a des passages qui m'ont semblé totalement ubuesques, dont un en particulier dans un hôpital psychiatrique. Jusqu'où peut aller une actrice pour démasquer un mari potentiellement coupable dont elle se fout au final comme d'une guigne ? (ce n'est pas le sien de mari) Vous le saurez dans l'épisode 2 de « Mensonge ». le beau Patrick aussi attractif qu'un dandy du 19e est-il adepte du bondage, a-t-il régulièrement envie d'étrangler Claire quand il la regarde déclamer aux cieux les merveilleux vers intemporels de Baudelaire ? Vous le saurez en… Mais bon sang, qui ment ? Claire ou Patrick ? Comment va finir ce jeu du chat et de la souris ? Suspense… ( musique de trailer qui tue)

On parle du titre ? et surtout du sous-titre (expliquez-moi une 4e de couverture pour les nuls) « Aime-moi, confie-toi, mais ne me crois pas. » le lecteur français est donc assimilé à une sorte de débile mental à qui l'on doit expliquer le titre ? La couverture américaine juge inutile d'opérer de même, ça en dit long…

Maintenant que vous avez à peu près les clés pour décrypter ce roman, je vous laisse décider si vous avez réellement envie d'attaquer ce thriller dit psychologique. En ce qui me concerne, je ne sais pas où j'ai trouvé la force de le terminer. Ce n'est que mon avis, il n'engage que moi ! Une chose est sûre : le thriller psychologique ne passera plus par moi dans les semaines à venir. Je n'en peux plus !! Pour contrebalancer cette chronique, je vous invite à découvrir celle de Fred, dit Lord Arsenik dans le lien ci-joint dont les avis sont souvent similaires aux miens (bon OK, pas pour ce roman-là !) :
Lien : https://aude-bouquine.com/20..
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Ce livre m'a été conseillé par une amie. J'ai trouvé cette lecture très fluide et facile. Malheureusement j'ai trouvé l'histoire superficielle et manquant sérieusement de relief. Comme si l'auteur avait voulu boucler trop rapidement son écriture. Il s'attarde selon moi sur les mauvais sujets. C'est dommage car l'idée est très bonne et la fin l'est tout autant mais pourrait être tellement plus percutante.

J'ai eu l'impression de lire le script d'un film hollywoodien, ce qui était peut être (sans doute au vu du sujet) l'intention de l'auteur...

Bref, cette lecture m'a divertie mais rien de plus.
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Tout commençait pourtant bien. Une ambiance assez particulière, faite de soupçons, où le lecteur ne sait jamais trop qui est le coupable. Une narration classique qui s'entrecoupe de scènes rédigées comme un script de cinéma. Un personnage d'actrice, Claire, qui s'investit tellement dans ses rôles que le lecteur commence à douter de ce qui est réalité et fiction. Bien sûr, on soupçonne un twist final, qu'on imagine, et on poursuit notre lecture en se demandant si on a vu juste ou non.

Arrivée à la moitié, le twist commence à se mettre en place, et j'ai tiqué en me disant que c'est bien trop tôt pour que ce ne soit que ça. Et c'est à partir de là que le roman s'avère décevant. Car l'auteur choisit de passer de twist en twist, jusqu'à l'écoeurement, pour essayer de perdre et surprendre son lecteur au lieu de miser sur une bonne histoire. J'ai donc lu la seconde partie un peu en diagonale tellement les changements d'avis De Claire étaient permanents et lassants. le tout largement noyé dans une pseudo étude de littérature sur Les Fleurs du mal de Baudelaire. Ca finirait presque par en être indigeste.
Lien : http://nourrituresentoutgenr..
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