Lise Demailly invite à poser le regard sur les mécanismes socialement orientés de désignation de ce type de mal-être. Les vulnérabilités économiques, familiales, psychiques qui touchent différemment les personnes vivant en société, déterminent d’importantes séries d’inégalités face à l’étiquette d’un trouble psychique.
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La comparaison des prévalences de troubles mentaux en prison et en population générale montre que les taux en prison se rapprochent de ceux de la population précaire, qui fournit les gros contingents des détenus.