Perdreaux aux pruneaux, ce titre très "policier" donne envie de lire cette BD. Une bonne surprise car c'est vraiment très agréable. le style du dessin nous rappelle des choses et le scénario au ton humoristique est très efficace. Il s'agit de lire 3 récits à la suite. Les éditions du long bec nous offre une belle découverte. J'attends la suite des histoires de Louise Petitbouchon avec impatiente.
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De courts récits policier, plutôt bien menés. A la mode des bandes dessinées des années 70. le dessin est original et précis. Et, cerise sur le gâteau, c'est la ville de Limoges qui sert de décors à ces histoires. Plein de petits détails sont disséminés dans les pages (voir par exemple l'homme en bleu, avec ses bottes en caoutchouc et son vélo). Pour qui ne connaît pas la ville, cela reste un album très agréable, avec nombre personnages attachants.
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Une BD qui se lit très facilement, avec des jolies dessins. Il y a 3 enquêtes au cours de ce tome.
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Une première série d’enquêtes policières sympathiquement menées qui ont le privilège de lancer une héroïne qui donne réellement envie de la revoir.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Les désillusions proviennent des histoires et leurs contenus : des trois enquêtes que composent ce premier tome, le lectorat regrettera dans chacune d'entre elles quelques blagues et gausseries prévisibles, et des indices qui tombent tout crus dans le bec de la policière, permettant aux affaires d'être résolues avec beaucoup trop de facilité.
Lire la critique sur le site : BDGest
En adoptant un style évoluant entre la ligne claire façon « Tintin » et l’école de Marcinelle de la grande époque du journal Spirou, que le grand public ne lui connaissait pas encore, Éric Albert semble avoir trouvé une nouvelle voie graphique pleine de promesses.
Lire la critique sur le site : BDZoom
- Si vous avez fait l'effort d'entrer dans un commissariat, Maître Jean, j'imagine que...
-N'imaginez pas, inspecteur! C'est pas pour voutre imagi... hips... nation que je suis zici!...
Mais pour votre capaticé... céti... passque z'êtes balèze en déduc... hips... tion.
La preuve! Vous avez déductionné que j'aimais pas les condés mais que je pouvais faire une except... hips... ion avec vous!
-Et donc?
-Et donc, j'aime encore moins les ruskoffs que les perdreaux!...
Passque les ruskoffs, c'est tous des cocos ma cocotte!
Le retour de Special Strange