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3,81

sur 5635 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Vernon, quincagénaire et ancien disquaire au chômage, se retrouve à la rue quand son pote star de la chanson Alex, qui payait son loyer, décède subitement. Il galère alors pour savoir où il va pouvoir crécher et enchaîne les nuits chez d'anciens amis ou vieilles connaissances...

Le ton archi cynico-véridique m'avait au départ séduite : Vernon, presque senior qui a pourtant l'air bien pour son âge, subit de plein fouet les changements technologiques et économiques de ce monde qui a évolué semble-t-il sans lui. Virginie Despentes dépeint de façon assez pessimiste mais fondée des faits alarmants de notre société à travers ce personnage qui ne s'y retrouve plus.
Commencent alors son errance et les nuits qu'il passe chez ses "amis". Ces nouveaux personnages sont amenés au fur et à mesure des chapitres et le même ton insolent s'applique à chacun d'eux.
Et c'est là qu'à force d'avoir droit à ce procédé absolument identique à chaque fois qu'un nouveau personnage se pointe, ainsi qu'au fait qu'on ignore franchement où tout ça nous mène à part au prochain appart/perso dont Vernon va profiter, on arrête à la page 152 sur 397 en se demandant bien comment il peut y avoir trois tomes de cette histoire. On adore le cynisme, mais à une dose mesurée, histoire qu'il ait plus d'impact et pas qu'il mette définitivement K.-O le lecteur.
Un coup d'oeil sur Wikipédia et les résumés de chacun des livres prouvent que le récit a l'air bien lent, bien répétitif et surtout moulé dans une fiction finalement trop délurée pour plaire à chacun (Vernon deviendrait à terme un gourou...?).
L'ambiance générale morose, l'histoire décalée et le caractère sordide de Vernon ont eu raison de ma bonne volonté. La suite se fera sans moi.
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
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Vernon Subutex, est un ancien disquaire, plutôt rock punk, alternatif qui se retrouve à la rue suite à crise du disque. Un copain qui est devenu chanteur reconnu, adulé et fortuné lui paie son loyer dès qu'il fait appel à lui. Lorsque celui-ci meurt, Vernon est expulsé et commence la quête d'un canapé à travers Paris. C'est à travers ce périple que l'on rencontre tout un tas de personnages, qui est en pleine "gueule de bois" des années 80 : les illusions politiques, les espoirs déçus, les conséquences de vies dans l'excès.

Et c'est justement dans la description de ses personnages qu'elle excelle parce qu'elle aurait pu se perdre et nous perdre au milieu de tout ce monde mais elle associe un passé, un univers, une personnalité différente et singulière à chacun d'eux qu'on les comprend, qu'on les assimile.

J'ai également apprécié le coté "vrai", populaire des situations où l'on sent que l'artiste n'est pas dans l'imagination totale mais s'inspire concrètement du monde qui l'entoure : les références très actuelles aux programmes télé, aux sites Internet, à l'actualité (morose) : la solitude (malgré les centaines d'amis Facebook ou twittos), les aléas de la vie, la pauvreté, la violence, l'islamisation, ...

En revanche, je me suis sentie en décalage de la "cible" du livre puisque trop ancré dans le microcosme "artistes parisiens" de l'univers rock, porno, cinéma, musique, ...Généralement, on se rapproche d'un personnage ou de certains traits de caractère de certains d'entre eux, là, ... euh... c'était impossible pour moi, soit on les plaint, soit on les déteste. Ils sont tous si torturés, si pleins de vices, d'angoisses, de névroses que le livre par moment en est oppressant.

Concernant le style, elle a un ton rageur, cynique pour dénoncer ce monde destructeur, castrateur d'illusions, de liberté de pensée mais l'écriture est un peu trop trash pour moi, notamment dans les propos racistes du réalisateur raté, dans les coups du mari violent, la misogynie du trader.

On aimerait y voir une lumière d'espoir, de la fraternité, de la solidarité sincère et bienveillante au fond de ce tunnel de nostalgie, de déceptions (au moins un personnage) ... peut-être dans le 2ème ??
Lien : http://chezsabisab.blogspot...
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Quel ennui ! Mais quel ennui…
Déçue je suis.



Après avoir lu tant de critiques enthousiastes, j'ai commencé ce livre en toute confiance.
Mais je n'ai pas été accrochée par la lecture de ce livre.

Ni par l'écriture, certes stimulante par le style riche et brut à la fois mais qui ne m'a pas emballée, surtout dans l'aspect répétitif des incursions dans les pensées des personnages et des descriptions looongues de leurs tranches de vie au travers de leurs états d'âme.

Ni par les personnages, certes livrés entièrement par le procédé précédemment remarqué (l'immersion dans leurs réflexions), et ils ne sont pas tièdes, mais nombreux, et tous finalement dans le même genre.

Ni par l'histoire. Et quelle histoire d'ailleurs ?

Ni même par « l'ange déchu » Vernon Subutex, qui ne m'a fait ni chaud ni froid, encore moins que rien, quoi.



Autant dire que ce roman est passé bien loin de moi.
Ou c'est moi qui suis passée totalement à côté de lui. Et j'en suis vexée.

Peut-être pas le moment. Pas sûre que je me frotte au deuxième tome…





Fredonnement :

« My daddy was a bankrobber
But he never hurt nobody
He just loved to live that way
And he loved to steal your money

Some is rich and some is poor
That's the way the word is
But I don't believe in lying back
Sayin' how bad your luck is

So we came to jazz it up
We never loved a shovel
Break your back to earn your pay
An' don't forget to grovel
[…]”

Extrait de “Bankrobber”, The Clash :
https://www.youtube.com/watch?v=ttJBdr6eBuo&list=RDEfK-WX2pa8c&index=7
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Premier tome, comme une mise en bouche, dans tous les sens de l'expression où il question des turpitudes d'un quinquagénaire, Vernon qui oscille entre rock n'roll attitude et fuite en avant devant son passé nostalgique du temps où il était disquaire reconnu dans son petit monde, son présent s'essoufflant, étranglé par les traites locatives impayables et un no futur cher à sa philosophie de vie.
Dans ce road trip en ville, se succède beaucoup de personnages autour de lui, sans liens forcément, assez similaires finalement. Des fils et filles à papa adeptes du poudrage et repoudrage de nez entre autres débauches. Il faut rester jeune malgré le temps assassin.
Les errements de Vernon tournent autour d'un personnage posthume, Alex Bleach, sa vie, ses frasques, son oeuvre musicale.
C'est l'occasion de balayer pas mal de sujets de société que sont le porno, l'islam, le choc générationnel et l'impact d'un capitalisme fou sur les gens, la drogue, les violences conjugales...
Ce méli-mélo qui se tient assez bien je trouve, dresse un constat sombre où la solitude et l'individu prime imposant la débrouille face aux galères. le réseau amical sous-tendu par les réseaux sociaux élevés au rang de bouée de sauvetage pour paumé solitaire.
C'est un condensé du triste bordel français jalonné de casses sociales, d'un racisme et antisémitisme latent où encore d'anarchie ou nihilisme devenant dogmes de survie.
Son ego et son penchant à mentir pousse Vernon qui n'est pas d'un naturel combatif vers la clochardisation.
Des anciens liens se recréent, de nouveaux se façonnent en équilibres précaires dans ce premier tableau d'un triptyque qui je l'avoue laisse dubitatif quant à savoir où V. Despente souhaite emmener le lecteur.
Première rencontre aussi pour moi avec le style rauque de cette écrivaine.
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Vernon Subutex, tome 1 est le dernier roman de Virginie Despentes et c'est aussi avec celui-ci que je découvre enfin cet auteur. J'en ai très souvent entendu parler mais je n'avais encore jamais eu l'occasion de la lire.

En refermant la dernière page de ce tome 1, je suis bien embarrassé pour le chroniquer et le noter... Comment écrire une critique objective...?

Compliqué pour moi pour plusieurs points:

- Il n'y a pas réellement d'intrigue/histoire, ou tout du moins Virginie Despentes se sert de ce tome 1 pour poser les bases de l'histoire de Vernon Subutex en nous présentant son "héros" et l'ensemble des personnages qui gravitent autour. du moins j'ose l'espérer...
C'est bien fait, bien écrit et surtout très détaillé. Que de personnages! Que de détails sur la vie, l'oeuvre, les pensées de chaque personnage. On s'y perd tellement on jongle entre les différents acteurs. Mon premier regret...

- le style de l'auteur: ultra contemporain, explicite, cru, vulgaire, violent... Je n'aime clairement pas cela mais je le savais aussi en souhaitant lire cet ouvrage. Il est clair que cela permet au lecteur d'être bien intégré dans la saga, d'être très souvent bousculé mais cela met aussi très mal à l'aise. Mon deuxième regret...
Du coup, la lecture est longue, parfois pénible et irritante. Il m'a fallu plus de 9h cumulées (merci les statistiques de ma liseuse) pour venir à bout des 400 pages. Je n'ai néanmoins jamais eu envie d'abandonner.

- L'ambiance et l'environnement général. On est au côté de Vernon Subutex ancien disquaire qui se retrouve dans la rue suite à une expulsion. Sans rien ou presque...si ce n'est peut être une pépite: le testament vidéo de Alex.
On y côtoie ses "amis", ses "amantes", ses "ex", ... Drogue, baise, showbiz, violence, pauvreté... Encore une fois, c'est très bien écrit et cela semble très réaliste. Des réflexions gauchistes de certains aux bobos de droite (mention spéciale aux réflexions du très arrogant Kiko!) en passant par les jeunes skin extrême droite... C'est vif et percutant! Ca frôle souvent les gros clichés, ca "baise" dans tous les coins et avec tout le monde (parfois on a l'impression qu'il est impossible pour Vernon de cotoyer quelqu'un sans le baiser!)... mais cela atteint son but: uppercut violent au menton!

En résumé, je dirai que
- je n'aime pas ce genre de roman mais que je reconnais que l'auteur excelle dans son écriture.
- je n'aime pas les styles trop contemporains et explicites (j'ai toujours l'impression d'entendre plutôt que de lire) mais je reconnais que cela sert parfaitement l'auteur. Quelle claque!
- je n'aime pas la multitude de personnages qui nous perdent et allongent inutilement la lecture mais je reconnais que dans cet ouvrage ça permet de parfaitement décrire l'environnement de l'intrigue.

Enfin, je reste sur ma faim! Il y a certes une suite mais après 400 pages, dures à lire et à supporter, tout cela pour cela...
La dernière phrase du livre résume ce tome 1: "Je suis un clodo sur un banc perché sur une butte, à Paris".

Je lirai peut être le tome 2. Tout dépendra des premières critiques. Je ne suis pas sûr de supporter un bis répétita.
Mon avis pourra à ce moment là changer sur ce tome 1...

En conclusion, je conseille néanmoins cet ouvrage. Il est la définition même du roman qui entrainera beaucoup de discussions.

Au moment de le noter, en faisant le bilan de ce que j'ai écrit précédemment:
si je m'en tiens à mes sensations, je mettrai 2/5.
si je m'en tiens à la performance de l'auteur, je mettrai 4/5

Du coup, je le note 3/5.
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Comme l'indique Ziliz, on pense immédiatement à la chanson Tostaky en lisant ce livre : "Soyons désinvoltes, n'ayons l'air de rien" semble la devise de Vernon Subutex.

Au-delà de cela, même si le livre se lit aisément, je suis restée sur ma faim. Les pérégrinations de Vernon lassent au bout d'un moment. Elles sont le prétexte évidemment à la survenance ponctuelle des autres personnages, mais bon. Le cercle bobo parisien gauche caviar où alcool, sexe et drogue cohabitent allègrement m'a vite fatiguée. Que dire de la musique de fond ? Nous n'avons pas toujours les mêmes goûts mais j'ai été surprise des préférences musicales attribuées à certains personnages, qui m'avaient l'air à mille lieux de l'univers musical qui leur était dévolu.

Le tout reste une lecture agréable, mais je ne comprends pas le foin que l'on a fait de ce livre. Magistral et fulgurant ? N'exagérons rien.
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J'ai lu plusieurs romans de Virginie Despentes, j'ai particulièrement aimé King-Kong théorie qui m'a appris sur moi-même et dont je me sens proche mais, avec ce roman, Vernon Subutex, j'avoue, malgré les critiques dithyrambiques des journalistes ou de certains lecteurs que je ne m'y retrouve pas, que je ne comprends pas où mène ce livre, ce qu'il faut apprécier, ce qu'il faut défendre car il ne m'a rien apporté. J'ai l'impression que ce livre se veut provocateur et voyant, à l'image de sa couverture rouge et noire. En réalité, j'ai trouvé une sorte de roman réchauffé constitué de bribes des différents autres romans (le personnage de la Hyène, par exemple, apparaissant déjà dans le roman Apocalypse bébé). Aussi, la drogue, l'univers pourri de la mode ou du cinéma et de la télévision tout cela est déjà vu dans Bye Bye Blondie (dont je salue au passage l'excellente adaptation cinématographique). Vernon Subutex est un roman noir, sans aucun filet d'espoir, aucune lumière, aucune chaleur humaine servi par des personnages souvent grossiers, ce qui montre certainement que la brutalité et la vulgarité sont devenues la norme et que tout le monde s'y habitue. Personnellement, je n'ai pas besoin dans ma vie ou dans mes lectures de « m'encanailler » car en tant qu'enseignante (ex-formatrice, ex-comédienne et metteur en scène, ex-« miss petits boulots ») j'entends parler grossièrement et je vois la vulgarité, la violence tous les jours. Les élèves, pour qui se traiter de "fils de putes", de "bâtards" ou encore se disant "pour rire" qu'ils vont « défoncer leur mère » ont fait depuis longtemps du langage de V. Despentes, leur quotidien. Ce langage et cette brutalité qui en découle, cette mode de l'humiliation et du lynchage permanent (dont il est aussi question dans le roman) est aussi celui de bon nombres d'émissions télévisées ou autres médias "in", de Twitter ou autres réseaux sociaux, tout le monde sait déjà cela, le roman de V. Despentes n'invente rien.
Comme je me suis ennuyée et que je qualifie ce livre de « coup éditorial », je ne lirai pas les deux autres volumes.
Cette petite critique ne concerne que moi, il ne s'agit que de mon avis de lectrice.
Je trouve sinon que l'idée de nous offrir le point de vue de chaque personnage est intéressant ainsi que l'enquête qui est menée mais tout cela est un peu maigre. Quand les critiques évoquent Balzac, je pense qu'ils devraient tout de même relire quelques volumes de la Comédie Humaine, c'est une autre littérature, tant sur la forme que dans le fond !
Lien : http://yzabel-resumes-et-poi..
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"Je suis dans mon lit quand j'apprends la mort de Daniel Darc, je pense à son numéro dans mon portable, j'ai envie de composer ce numéro et l'idée que ce soit désormais impossible me donne un long vertige, en bas du dos". Vernon Subutex, c'est peut-être le merveilleux Daniel Darc.
Il est difficile d'écrire sur ce roman. Mes sentiments sont partagés. Il s'agit d'une galerie de portraits, de personnes toutes ou presque en marge de la société - drogué, réalisateur, actrice x, trans, musicien...Vernon, à la suite du décès de l'ancien chanteur de son groupe qui lui payait son loyer, visite la plupart de ces anciennes connaissances. Il n'y a pas vraiment d'histoire, et pas du tout d'horizon. C'est déprimant, parfois lugubre. Despentes ne fait pas de cadeau, mais pour autant ne propose pas d'échappatoire. Subutex se retrouve d'ailleurs clochard, sans vraiment s'en inquiéter et en faire un drame...Surprenant. En ce sens, le roman est particulièrement agaçant. Tout glisse ou presque, tout se vaut... Alors pourquoi untel succès ? Peut-être le style, direct, certes pas léché mais diablement efficace. Peut-être également la sincérité que l'on peut ressentir à travers chaque portrait. Les descriptions sont sans concessions et servent à nous montrer une vérité - peu amène - de notre époque.
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Vernon Subutex, ancien disquaire âgé de 50 ans connait une passe difficile : plus de travail, plus d'allocations, des dettes et en plus il vient de perdre un de ses amis, chanteur à succès, Alex. La dégringolade financière et morale entraîne le personnage dans une fuite dans Paris afin de trouver de quoi se loger, de quoi se nourrir. Alex lui avait confié des enregistrements qui semblent intéressés beaucoup de monde autour de lui mais pour l'urgence est de survivre.
J'avais lu un autre livre de cet auteur, Apocalypse Baby et je n'avais pas été très séduite. Pour celui-ci dès le début j'ai été pris dans l'histoire de cet homme confronté aux problèmes de notre époque : chômage, précarité etc...
On déambule avec lui au gré de ses rencontres dans un Paris loin de l'image que l'on s'en fait ou que l'on en avait : tout est laid, sale, drogué et perverti. Peu de personnages sont au-dessus du lot même si pendant quelques temps beaucoup d'entre eux vont lui offrir l'hospitalité. Vernon joue beaucoup avec les sentiments : amour, amitié, rencontre hasardeuse : tout est bon mais en restant aussi très attaché à sa liberté. Mais le trottoir n'est pas loin avec sa violence, ses épaves mais peut être aussi une lueur d'espoir dans ces cassettes qu'ils possèdent.
Triste constat de notre société actuelle : alcool, drogue, sexe rien ne nous est épargné même si après avoir trouvé cela un peu "trop" je me rends compte que je suis peut être un peu naïve et loin de toute cette faune. C'est un milieu que l'auteur décrit souvent dans ses romans, elle semble bien le connaître et je pense qu'il existe sûrement.
Je lirais le tome 2 en espérant que celui-ci apporte malgré tout un peu d'espoir et d'humanité.
Lien : http://mumudanslebocage.cana..
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Ce roman est traversé par une succession d'âmes à la dérive qui vous embarquent dans la cage au lion. Ces paumés de la vie prennent le pas sur l'histoire. La rue, l'alcool, la came, ils marchent sur le fil du rasoir, avec dans la tête, des airs de rock and roll. Ici, Despentes en bonne observatrice décrit chacun de ses personnages au delà de l'apparence, elle creuse en profondeur et fini par nous attraper.
A lire.
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