Il m'a laissé froide,
Du mal à m'attaché aux personnages,
ce que je j'ai apprécié : le rapprochement amical des deux protagonistes, la petite prend soin de la grande, bon descendre quelque-fois !!
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Au bout de 70 pages, j'ai eu envie de décrocher. Je ne comprenais pas le choix narratif de l'auteure. Pourquoi écrire ce récit à la première personne - le "je" étant la voix de la rédactrice-pigiste sans nom alors que la quatrième de couverture nous aiguille sur le destin de l'écorchée vive, Olivia ?
Finalement, avec tous les non-dit autour d'Olivia, on comprend vite que la plus à plaindre est la narratrice. le "je" ne peut se cacher très longtemps derrière un personnage comme Olivia qui, au final, prend des airs de simple béquille. le problème, c'est que le lecteur est berné. C'est d'Olivia dont il était supposé être question.
La conclusion est bâclée de chez bâclée. Que veut nous dire l'auteure ? On ne peut qu'écrire sur soi et non sur les autres ? Et pour finir, une fausse émancipation féminine ? Et qui va porter plainte pour viol ? Qui ? Les lectrices, peut-être ? Ce roman aura quand même le mérite de me faire réagir...
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je n'ai pas détesté cette lecture : les personnages me sont sympathiques, le style est plutôt percutant et plaisant, la relation qui se noue entre Olivia et la narratrice est intrigante et cette manière d'effleurer le sordide pour le laisser entrevoir sans verser dans le voyeurisme permet d'évoquer sans pathos une trajectoire de vie marquée par la violence et la manière dont petit à petit, un chemin de reconstruction peut s'inventer. mais malgré tout cela, je n'ai pas été vraiment touchée. une histoire de timing de lecture, peut-être, qui ne concerne alors que moi.
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