AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,14

sur 622 notes
Bon je vais me lancer dans un petit avis à mi- parcours parce que je suis très en retard (je compléterai mon avis une fois terminé). Je remercie beaucoup Babelio et les éditions Au diable vauvert pour cet envoi.
Tout d'abord, ma difficulté à tenir les délais ne tient pas du tout au livre en lui-même du moins pas à l'histoire qui est très immersive ! Mais les vacances aidant, j'ai envie de lecture légère et facile, plutôt jeunesse, ce que ce livre n'est pas. Il s'agit de fantasy pure et dure où l'on suit Syffe, petit orphelin dans un univers médiéval-fantastique assez chouette.
Les décors sont très détaillés et on s'y croirait. le personnage prend de l'ampleur au fil du roman (même si je ne l'ai pas terminé ça se voit nettement) et la galerie de personnages secondaires est tout à fait en adéquation avec le monde créé. J'ai beaucoup aimé les introductions de parties avec les cartes et les éléments historiques sur l'univers. le style est fluide même s'il est dense. La langue est travaillée malgré quelques coquilles, cela ne dérange pas trop la lecture. Ce qui m'a un peu dérangé et qui fait que je suis très lente à le lire c'est le format du livre : un pavé du genre brique, assez lourd et peu pratique à prendre en main et écrit quand même assez petit j'avoue que je peine pas mal et je le lis par conséquent par petites touches.
Au niveau inspiration, j'ai eu l'impression de me retrouver dans un monde entre Oliver Twist pour la bande de gamins, Tolkien ou David B. COE pour le foisonnement de détails de l'univers (politique, social, géographique) et Robin Hobb pour le héros et l'aspect quête initiatique qui est très présent. Oui Syffe m'a beaucoup fait pensé à Fitz dans l'assassin royal notamment sur les premiers tomes de la saga. J'ai beaucoup aimé la relation avec Brindille et Driche, toutes les précisions sur les Gaïches et leurs coutumes ainsi que l'apprentissage auprès de Nahir que j'aurais aimé voir se prolonger parce que j'avoue avoir beaucoup plus de mal avec le personnage d'Uldrick, mais bon je me dis que les 200 pages qu'il me restent à lire sauront peut-être me convaincre avec ce personnage.
Toujours est-il que j'apprécie énormément ma lecture, simplement le moment estival était peu propice pour moi pour ce genre de lecture car l'ambiance reste quand même très sombre et assez dramatique, ajoutée au format qui ne me convient pas tellement, c'est dur de tenir les délais.
Je viendrai rajouter quelques lignes en fin de lecture pour donner mon impression générale sur la dernière partie mais cela restera une belle lecture fantasy, agréable et prenante. Une saga à suivre par la suite.
Commenter  J’apprécie          160
Voici un nouveau venu dans l'univers de la fantasy, et c'est une entrée remarquée. Tous les ingrédients d'un bon début de saga sont là : un personnage central jeune qui apprend peu à peu et se retrouve mêlé à toutes sortes d'aventures, un royaume en proie aux affres sociales et politiques, un style très descriptif et efficace.
Certes, quelques longueurs, mais c'est inhérent au genre, et au final cela immerge un peu plus dans l'histoire de ce gamin des rues au destin surprenant…
Seul bémol (et mise en garde !) : pourquoi dévoiler tant de l'histoire sur la 4ème de couverture et dans les résumés ? Dommage ! Ne les lisez pas !
Merci à Babelio et Au diable Vauvert pour cette Masse Critique !
Commenter  J’apprécie          160
Le tome 1 d'une série recommandée par une libraire Rennaise.

Ce sont 800 pages denses et sombres.

Syffe est un enfant abandonné / orphelin ? qui vit dans un monde où de tels enfants ont peu de chance de survivre. Ce monde imaginaire semble se passer dans un temps plutôt moyenâgeux.

L'écriture est agréable et relativement fluide malgré les mots inventés.

L'histoire peut paraitre à certain.e.s longue à se mettre en place. Et si il y a de l'action (crimes, espionnage, manipulations, crises politiques, etc), c'est un roman qui laisse la place à des réflexions presque philosophiques. Ce qui peut être apprécié ou non suivant ce que le lecteur / la lectrice recherche.

Dans ce tome 1, on découvre Syffe de l'enfance à l'adolescence où il devient soldat, après avoir été l'apprenti d'un médecin. Après avoir été manipulé et être condamné à mort, il échappe de peu à cette sanction en étant sauvé par un mercenaire. Pendant plusieurs années, celui-ci va lui transmettre son savoir. En rejoignant la guerre, Syffe va apprendre différents choses.

A suivre dans le tome 2
Commenter  J’apprécie          150
Une petite incursion dans le monde de la Fantasy, ça ne fait jamais de mal quand on apprécie le genre.

Je pense que même ceux qui n'ont pas l'habitude de ce style là trouveront à boire et à manger dans ce roman car l'univers décrit est plus proche du Moyen-Âge que de la fantasy pure et dure, car ici, pas de magie.

Commençons par ce qui m'a plu dans le roman, notamment les personnages, surtout celui de Syffe, jeune orphelin de dix ans, plus habitué à recevoir des insultes (il est « teinté ») ou la menace de se faire couper la main, que de recevoir de l'aide ou des marques d'amitié.

Syffe n'a rien d'un héros, il est maigrichon, grognon (parfois), faible, se laisse emporter par ses émotions et dans ce monde qui ne fait pas de cadeau, ce monde où il faut essayer de survivre, les enfants doivent vite passer au stade "adultes" et Syffe devra le devenir, lui aussi, à l'âge de dix ans.

L'écriture de Dewdey m'a enchanté, c'est un excellent conteur, mais, et c'est là que le bât a blessé, j'ai trouvé que ce pavé de 625 pages avaient un peu trop de longueurs et j'ai eu du mal à en venir à bout tant certaines parties étaient longues.

Ajoutons à cela que durant trois jours, je n'ai pas eu le temps de lire une seule ligne (réanimez-en certains, c'est violent ce que je viens de confesser), vous comprendrez que j'étais contente d'en venir à bout, surtout que le côté politique de l'histoire m'a un peu barbé (pour une fois que la politique me barbe dans un roman !!).

C'est donc fort mitigée que j'ai terminé ce roman. Pas de regrets de l'avoir découvert, d'avoir rencontré des personnages intéressants (Syffe, Uldrick le guerrier Var, le première-lame Hesse, le chirurgien Nahirsipal Eil Asshuri), d'avoir fait un long voyage semé d'embûches et de quelques réflexions philosophiques.

Oui, j'ai apprécié le voyage, l'aventure, ainsi que les révélations qui parsèment le roman, quand notre jeune Syffe reçoit la lumière de Sherlock Holmes et comprend ce que nous n'avions pas toujours soupçonné, mais purée, que c'était long et même sur la fin, alors que ça bougeait beaucoup plus, j'avais du mal à terminer, un peu comme un cheval qui a marché trop longtemps et qui peine à arriver à l'écurie.

Dommage parce que ce roman trônait en haut de ma PAL et qu'il avait reçu des bons échos de la part de copinautes.

À voir maintenant si je continuerai la route avec Syffe, afin de ne pas rester sur cet insoutenable suspense, ou si je passerai mon tour.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          151
Ce qui frappe d'emblée dans ce livre, c'est ce style sensible et naturel. Syffe, un enfant de 8 ans peu gâté par la vie, grandit dans  monde hostile, et y poursuit son initiation. Il s'agit d'un monde moyenâgeux imaginaire, aux franges de la Fantasy, décrit avec réalisme (on se croirait dans un roman historique) ; les personnages sont typés, les événements sont violents, la plongée dans ce monde est plein de sensations, du chagrin à la peur, de la joie à la colère ou au dégoût. le froid, l'humidité, les odeurs sont également excellemment décrits.
Difficile d'en d'en dire plus sans dévoiler une partie de l'intrigue.
Malgré quelques longueurs, c'est pour moi un des meilleurs livres de Fantasy de ces dernières années. Tome 2 à suivre.
Commenter  J’apprécie          141
Sur une colline, trois enfants vautrés dans l'herbe regardent la petite ville de Corne-Brune s'éveiller. Ils sont maigres comme des clous, sales, mal éduqués, mais par cette belle matinée de printemps, ils pourraient presque se dire heureux. Ce sont les petits orphelins de la ferme Tarron et Syffe le sang-mêlé est l'un d'entre eux. Avec ses trois amis - Brindille, Cardou et Merle - il survivent tant bien que mal en s'entraidant et en aidant la vieille veuve Tarron que la ville paie une poignée de pièces pour leur offrir l'abri très relatif de sa grange. Quand ils seront plus grands, ils quitteront la ferme et apprendront un métier misérable mais honnête pour subvenir à leurs besoins. Mais voilà, voilà ! Pour impressionner la jolie Brindille dont il est amoureux, le petit Syffe tente de se livrer au vol à l'étalage. Il se fait prendre et ne doit son salut qu'à l'intervention de l'officier de police Hemme qui propose de lui accorder sa protection si l'enfant accepte de travailler pour lui. Marché fructueux, mais aussi marché dangereux, comme ne tardera pas à le découvrir Syffe, et qui, de fil en aiguille, l'entraînera bien loin de Corne-Brune, de la ferme Tarron et de ses amis vers un destin inattendu et périlleux…

Dans la droite ligne de “L'assassin royal” de Robin Hobbs, “L'enfant de poussière” de Patrick Dewdney, premier tome de ce qui s'annonce être une longue série, se lit sans faim. Les points communs avec les débuts de l'oeuvre majeure de Hobbs sont nombreux - un narrateur très jeune, un univers construit par petites touches, un rythme de narration assez lent et un récit constitué de tranches de vie - mais “L'enfant de poussière” s'en dissocie assez pour conserver un intérêt propre non négligeable. Loin des intrigues de cour et des luttes féodales, l'histoire se déroule au ras des pavés en compagnie du bas-peuple : mendiants, petits commerçants, miliciens, mercenaires… On est à mi-chemin de la “Crapule fantasy”, genre mis à la mode récemment par Jean-Philippe Jaworski et Scott Lynch, et du récit d'apprentissage à la Dickens. La tonalité du récit est assez sombre, malgré quelques moments de douceur et d'amitié. La vie du petit Syffe est dure, très dure, et les rares alliés qu'il rencontre pendant ses pérégrinations sont généralement ambigus, voire franchement inquiétants. Ce qui les rend d'autant plus intéressants, bien entendu.

De l'ensemble, se dégage une atmosphère de mélancolie poétique, celle de l'innocence perdue et des rêves écornés, très séduisante. On pourrait regretter une construction un peu rigide et un certain manque d'enjeux au niveau de l'intrigue générale - quelques indices font espérer des développements futurs plus ambitieux mais ils sont assez discrets - mais le tout reste très agréable à lire sans que l'on puisse vraiment parler de page-turner. Ayant découvert à l'instant que la suite, “La peste et la vigne”, était déjà sortie, je me réjouis d'avance à l'idée de m'y plonger !
Commenter  J’apprécie          140
Syffe, orphelin des rues, va grandir et surtout, survivre dans les rues de Corne Brune et au delà.
Et ça sera à peu près tout ce que je rédigerai à propos de l'intrigue afin de ne pas risquer le spoil.

Difficile de ne pas penser au Cycle de L'Assassin Royal quand on tourne les pages de ce premier tome car les similitudes y sont légions.

Pour autant, pas de plagiat ou de bis répétita car ce "petit" tome de presque 800 pages se dévore avec toute la délectation possible.
Qu'une seule hâte quand on le referme, c'est se ruer vers le tome 2.

Cependant, là où l'écriture de Robin Hobb est plus directe, ici il faut aimer se délecter de la prose et d'un brin de poésie car il y a de nombreux passages que certains trouveront "longs" ou "ennuyeux."

Cela n'est pas mon cas personnellement car j'ai toujours apprécié les exercices "littéraires" et , deviens une lectrice "difficile" quant à la fantasy.

Une superbe découverte.


Commenter  J’apprécie          130
Orphelin de huit ans débrouillard et passant une grande partie de son temps en quête de nourriture, Syffe n'a aucun souvenir de sa prime enfance. Hébergé dans la grange de la veuve Tarron avec trois autres orphelins ils se soutiennent mutuellement jusqu'à ce qu'une bêtise le mette en présence de la première-lame Hesse, soldat au service du primat de Corne-Brune qui va l'employer à espionner les bas quartiers et les Tribus, des nomades passant une partie de l'année dans "la Cuvette", une concession qui leur a été attribuée proche de la ville. le mystérieux tatouage de naissance qu'il porte dans le dos prouve son appartenance à ces peuples, même si personne ne sait le décrypter.
Les circonstances vont le faire remarquer par des nobles racistes puissants, ce qui l'entraîne dans leurs intrigues politiques et dans une spirale où les moments heureux alternent avec les moments dramatiques jusqu'à ce que le seul moyen de survivre soit de s'évader en compagnie d'Uldrick le guerrier Var qui va le former et lui faire découvrir une autre perception du monde …


Ce fut une très mauvaise idée que de commencer ce livre tard le soir, ne pouvant arrêter de tourner les pages j'ai passé une nuit blanche !
A priori nous avons en main un roman initiatique de fantasy classique, mais d'emblée la qualité littéraire fait la différence, comme la profondeur des personnages, subtilement établie en laissant le lecteur interpréter à l'aulne de son ressenti, souvent à travers leur comportement issu de faits nous restant inconnus.
La narration est faite par Syffe dans un lointain futur, mais un équilibre entre la naïveté de l'enfant et les connaissances de l'adulte est habilement préservé, ce qui permet de ressentir pleinement les émotions véhiculées et de ressentir l'évolution du garçon en prise avec les épreuves.
Dans ce premier opus d'une série de sept tomes prévus (le troisième tome devrait sortir très prochainement) le démarrage est assez lent, sans que cela soit gênant, cela nous permet de nous laisser agréablement imprégner par l'univers où vont évoluer les personnages. Puis le rythme accélère et nous allons suivre notre héros pendant cinq ans, le temps qu'il faut pour passer de gamin des rues démuni, à espion en herbe, puis apprenti chirurgien pendant une année, l'occasion d'apprendre une nouvelle langue, la lecture et d'autres usages et religion. Mais les moments de bonheur ne peuvent durer, et pour échapper à la corde son seul recours est d'accepter qu'Uldrick le forme comme guerrier, ce qu'il fera perdu dans la nature deux ans durant avec des méthodes qui peuvent sembler cruelles, mais qui de fait lui permettent de gagner confiance en lui en le forçant à découvrir les choses par lui-même - la philosophie du peuple Var est l'une des choses intéressantes du livre. de nombreux aspects sont seulement survolés, je suppose que la magie des Feuillus mystiques, à peine abordée dans ce premier tome, comme les meurtres générant des cadavres atrocement mutilés, les rêves et le tatouage de Syffe, ainsi que d'autres mystères seront abordés dans les prochaines volumes.


Un livre assez sombre mais prenant, la qualité d'écriture et la sensibilité de l'auteur font la différence et nul doute que nous ayons en main un ouvrage excellent, les personnages et l'intrigue sont développés de manière subtile, avec profondeur, tout en gardant une certaine cohérence bienvenue. Un livre que je ne puis que conseiller …
Commenter  J’apprécie          130
Autant le dire tout de suite, j'ai adoré ce roman, son univers, ses personnages, l'écriture, l'intrigue, enfin tout au final !!

Patrick K. Dewdney fait un tour de force en nous présentant un monde très détaillé et intriguant, très sérieux aussi, même si nous sommes clairement dans un roman de Fantasy, que quelques petits éléments fantastiques sont présents (très peu), nous pourrions voir cette histoire dans notre réalité, à l'instar de Game of Thrones qui nous donne également cette sensation presque historique.

La mixité éthnique est représentée et je le précise car ce n'est pas très souvent, l'orientation sexuelle est également sans jugement et c'est encore plus rare dans ce genre de roman, bravo donc pour ces deux points qui devraient être évidents.

Psychologiquement c'est une histoire très dure car nous suivons les péripéties d'un très jeune garçon plongé dans une vie cruelle et sans pitié, cela apporte encore plus à ce réalisme qui m'a attiré dès le départ.

Beaucoup de sujets divers sont abordés comme l'amour, l'amitié, l'apprentissage mais aussi la déception, la trahison, la haine, la mort, la manière d'appréhender les sentiments selon les situations, un conflit permanent à ce sujet dans la tête de "Syffe" le personnage principal.

Ce début de série, s'il garde cet entrain et cette richesse, risque de devenir une future référence du genre au même titre que Game of Thrones ou que le seigneur des anneaux.

Le second volet qui se nomme "La peste et la vigne" sortira le 13 septembre prochain, il me tarde de le lire.

Voir la chronique sur mon blog :
Lien : https://unbouquinsinonrien.b..
Commenter  J’apprécie          130
Malheureusement, j'ai abandonné ma lecture vers le tiers du roman… D'habitude, je n'abandonne pas un livre reçu grâce à une Masse critique et/ou une maison d'édition, mais, bien que je me sois accrochée, j'ai fini par frôler la panne de lecture et j'ai préféré laisser tomber.

Pourtant, l'univers est très très riche, il y a foison de très bonnes idées qui sont bien exploitées. Et niveau style, on est dans le haut de gamme. L'auteur a une plume absolument magnifique.

Sauf que… je me suis ennuyée à mourir…

Le personnage principal est un enfant de 8 ans quand l'histoire commence, ce qui n'est pas un problème en soi, du moment que l'histoire avance. Et bon, on ne peut pas dire que ça n'avance pas. Il se passe des trucs, Syffe, notre héros, vit un tas de choses vraiment pas gaies, rencontre d'autres personnages, qui sont plutôt intéressants. Donc, normalement, ça devrait être une chouette lecture.

Malgré tout, j'ai constamment eu la sensation qu'on se traînait. Il faut 250 pages pour que le héros atteigne ses 9 ans et entretemps il lui arrive tout un tas de choses. le truc, c'est que, pour moi, Syffe aurait dû avoir au moins 5-6 ans de plus pour que ça fonctionne, déjà, surtout que, dans ses réactions et ses réflexions, il a tout d'un ado plutôt que d'un enfant. Disons que le monde dans lequel il vit l'a rendu plus mâture et admettons.

A côté de ça, il y a énormément de longueurs. Pendant de longs chapitres, il ne se passe, finalement, pas grand chose. de temps en temps se produit un évènement qui fait avancer l'intrigue, mais à aucun moment je n'ai eu l'impression que l'histoire décollait réellement.

L'ambiance est sombre, voire très sombre, ce qui serait plutôt un bon point, mais il y a énormément de descriptions (qui sont très joliment écrites, ce n'est pas la question) et d'introspection. Au bout de 100 pages, je n'en pouvais déjà plus…

Bref, je regrette de ne pas avoir adhéré, parce que c'est un genre de lecture que j'apprécie en général, mais ce n'est pas du tout addictif comme peuvent l'être La Guerre de la Faille de Raymond E. Feist ou le Trône de Fer de GRR Martin. L'impression de lenteur a fini par avoir raison de moi.

Je vous conseille ce livre si vous aimez les très belles plumes et que les longues descriptions ne vous dérangent pas. Si vous aimez les histoires haletantes, je pense que vous pouvez passer votre chemin.
Si vous avez aimé ce livre, j'aimerais avoir votre avis, parce que je suis passée complètement à côté et que je suis curieuse de savoir ce qui peut plaire à d'autres lecteurs dans cette histoire que je n'ai pas su apprécier.
Lien : https://bienvenueducotedeche..
Commenter  J’apprécie          136





Lecteurs (1817) Voir plus



Quiz Voir plus

La fantasy pour les nuls

Tolkien, le seigneur des ....

anneaux
agneaux
mouches

9 questions
2494 lecteurs ont répondu
Thèmes : fantasy , sfff , heroic fantasyCréer un quiz sur ce livre

{* *}