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sur 2320 notes
Le style de Dickens est inimitable, lui seul a le don de dépeindre des situations graves avec force et justesse.
Oliver Twist, c'est l'histoire d'un enfant qui se retrouve orphelin dès sa naissance, sa mère étant morte en couches. Placé, il échoue chez un croque-mort qui lui inflige privations et mauvais traitements. Suite à une altercation avec un apprenti du fabriquant de cercueils, le petit Oliver s'enfuit à Londres en espérant vivre une nouvelle vie. Une fois de plus, la destin lui jouera un mauvais tour en mettant sur sa route une bande de voleurs, dirigée par Fagin, un vieux juif qui lui fait accomplir des petits larcins. Arrêté pour un vol qu'il n'a pas commis, un gentilhomme, Mr Brownlow, prends Oliver sous son aile, mais la bande à Fagin qui ne compte pas en rester là, retrouve le petit et l'obligent à participer à un cambriolage qui tourne mal. Blessé, Oliver est récupéré par la famille Maylie qui v'a s'occuper de lui jusqu'à ce qu'il puisse retourner avec Mr Brownlow et enfin connaître la vérité concernant ses origines et sa famille...

Ce roman est tout simplement époustouflant, il décrit avec précision la situation des enfants orphelins dans l'Angleterre Victorienne du XIXème siècle. Il met en avant les différences entre les classes sociales et l'injustice qui en découle. Poignant de vérité, à mes yeux Oliver Twist est une très grande oeuvre qui prend aux tripes. A lire et à relire !
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Oliver nait dans un hospice où sa mère vient d'accoucher de façon dramatique et y laisse la vie comme c'était fréquent à l'époque. Il nait de père inconnu et personne ne connaît de détail même insignifiant sur lui, car sa mère a été découverte dans la rue, sans alliance ni papiers.

Monsieur Bumble, le bedeau de l'église qui dirige cet hospice lui donne un nom. Il y a beaucoup d'orphelins à cette époque et il leur attribue un nom en suivant l'ordre alphabétique ; pour lui, il en est à la lettre T et ce sera Twist.
Il réside dans cet hospice jusqu'à l'âge de neuf ans. Il y est maltraité, mal nourri et considéré comme un esclave. Un jour, les enfants ont tellement faim, qu'ils tirent au sort le nom de celui qui va aller demander « un peu plus de gruau » ce qui lui vaut l'enfermement.

Le jour de ses neuf ans, la date limite au-delà de laquelle la loi ne permet plus de le garder à l'hospice, le bedeau le place chez un ramoneur : il est de petite taille, maigre à cause de la malnutrition, il pourra donc facilement entrer dans les conduits.

La maltraitance continue, hélas et un jour il s'échappe et part pour Londres à pieds.

Ce que j'en pense :


Oliver Twist m'a plu autant que la première fois. Dickens décrit de belle façon la vie des orphelins à cette époque Victorienne. Les accouchements se font dans des conditions sordides, les mères mourant souvent en couches, (fièvre puerpérale très fréquente à l'époque, Semmelweis ne mettra en évidence l'importance de l'hygiène à partir de 1847).

De plus, Oliver naît de père inconnu, et on connait la façon dont les femmes adultères étaient considérées : des femmes de rien, des putes… donc pas de raison de les ménager. Il tombe ainsi sous la loi dite « Loi sur les pauvres » (Poor Law) qui leur donne droit à une ration alimentaire minimale.
Pendant leurs neuf premières années, les enfants travaillent dans un atelier attenant à l'hospice où ils fabriquent de la filasse.

L'auteur décrit très bien ces « fermes à bébés » qui maltraitaient les enfants, avec des châtiments corporels, une alimentation insuffisante. Puis l'exploitation chez les employeurs, lorsque les neuf ans sont révolus. Là aussi, tout est prétexte à recevoir des coups, car ces enfants orphelins éveillent peu la compassion quelque soit le milieu où ils vivent.

La souffrance, l'injustice entraînent un cercle vicieux avec, les fugues, la délinquance, car les adultes savent très bien exploiter les enfants pour leur apprendre à voler les passants dans la rue. Cela nous permet de rencontrer des personnages hauts en couleurs, bandits notoires et malfaisants tels, Fagin qui lui apprend les techniques de vol, Bill Sikes,

Dickens nous décrit un enfant, qui a des valeurs morales après tout ce qu'il a traversé depuis sa naissance, et qui aurait pu ou dû le mener tout droit dans la délinquance. Il ne voit que le bon côté des gens, il ne sent pas quand on le manipule. Est-ce de la naïveté ?

Certains personnages sont attachants, tel Mr Brownlow, Mrs Bedwin, ou Nancy du côté des malfrats, d'autres répugnants de méchanceté, de pouvoir : Sikes, Monks… le bien ou le mal en somme.

Comme dans d'autres romans de l'époque, le héros est souvent pur, et comme Cendrillon, l'histoire va-t-elle se terminer en conte de fées ? On ne peut s'empêcher de penser à Cosette…

On a donc une belle description des bas-fonds, de la société qui est cruelle avec les enfants, des pouvoirs et des méfaits des institutions de l'époque : l'église, l'administration. On peut aussi voir au-delà de notre héros, une étude de l'enfance, de l'adolescence, montrant que ces enfants n'ont aucuns droits, qu'ils sont obligés de travailler très jeunes, et peuvent basculer dans la délinquance, que la maltraitance est quotidienne. Bref, un tableau détaillé de l'injustice sociale que l'auteur dénoncera toujours.

Selon Dickens, l'enfant est innocent par nature, et c'est la société qui va le façonner et déterminer son évolution future. Certes, on est obligé de constater que pour lui, il n'y a que deux possibilités, le bien ou le mal, mais il ne faut pas oublier l'empreinte de l'église, toute puissante à l'époque.

Lors de la première lecture, c'était ce côté-là qui m'avait plu : une belle histoire qui se termine avec une morale. Cette fois-ci, j'ai plus été touchée par les conditions de vie, la violence de la société à l'égard des plus démunis physiquement et mentalement et hélas, les choses ne se sont guère améliorées.

Un roman bien écrit et qui fait du bien. Des personnages bien décrits, qui bien sûr datent un peu mais qui nous touchent. Et je retiens la petite musique gaie, légère qu'on entend en arrière plan, comme une petite note d'optimisme, d'espoir, l'humour de l'auteur n'est jamais bien loin et il ne sombre pas dans le pathos.

Note : 8/10
lu dans le cadre Challenge XIXe siècle
Lien : http://eveyeshe.canalblog.co..
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Il me semble que plus je lis Dickens et plus je l'apprécie.
Avec son célèbre "Oliver Twist", cet auteur emblématique de la littérature classique anglaise a réussi le double prodige de m'intéresser à une histoire que je connaissais déjà, et de me faire rire à la lecture d'un drame aussi noir que les bas-fonds de Londres.

Plus encore qu'avec "De grandes espérances" qui souffre de vraies longueurs, et qu'avec "Le magasin d'antiquités" qui pèche par un accès de mièvrerie - et bien que j'aie apprécié ces deux romans -, avec "Oliver Twist" on touche à une telle misère, la narration atteint une telle gravité, qu'on se sent envahi par un respect infini, et pour le thème traité, et pour son auteur.

Orphelin confié dès sa naissance à un dépôt de mendicité de la banlieue londonienne, le jeune Oliver possède une nature qui le préserve des vices et des défauts malgré des conditions de vie plus que spartiates. Chétif et obligeant, Oliver est condamné au rôle de la proie jusqu'au jour où la Providence décide qu'il est grand temps de placer sur son chemin quelques protecteurs aimants et charitables. Longtemps la marionnette d'une bande de brigands vicieux et violents, cible de surcroît d'un demi-frère haineux décidé à le faire disparaître de la surface de la terre, le jeune garçon échappe finalement aux dangers mortels qui le menacent grâce à la chance et à ses amis.

Au-delà du parcours initiatique d'Oliver, Dickens souhaite donner en spectacle un Londres des misérables - Hugo fera de même trente ans plus tard avec Paris. Avec une acuité du détail proprement étonnante pour l'époque, avec parfois même une mise à nue crue de la violence meurtrière et de l'indécence qui animent les crapules dont il a fait ses personnages, Dickens nous emmène très loin du confort de notre fauteuil de lecteur.

Bien sûr, on peut reprocher aux romans de Dickens un certain manichéisme - et "Oliver Twist" n'y échappe pas - mais au-delà de ce petit travers si fréquent en littérature on perçoit un intérêt véritable pour la nature humaine dans ce qu'elle offre de meilleur et de pire. Et puis le verbe est haut, le style est superbe, unique en son genre, reconnaissable entre mille, tout comme cet humour et ce goût pour la moquerie qui font sourire et rire même au coeur des pages les plus sombres.


Challenge PAVES 2016 - 2017
Challenge MULTI-DÉFIS 2016 - 2017
Challenge XIXème siècle 2017
Challenge BBC
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Entre Dickens et moi, il y a du passif…et du lourd…
Adolescente, véritable livrophage, je me jetais sur tous les livres qui étaient à la portée de mes petites mains avides de lecture… Je m'étais donc lancée dans la lecture de « Des grandes espérances », et j'avoue que je n'étais pas vraiment sortie enthousiasmée par cette lecture, au contraire…
Ce qui fait que l'on peut vraiment dire que sans le challenge BBC de Gwen, pas du tout sure que je me serais lancée dans une nouvelle lecture d'une oeuvre de cet auteur…Cela faisait plus d'un an que je repoussais le moment où j'allais me plonger dans les aventures de Oliver Twist..
Et cette fois, malgré mes appréhensions dont je n'avais pas vraiment réussi à me débarrasser, je peux vraiment affirmer que la magie a fonctionné… Oui, je ressors enchantée de cette lecture et je réalise encore plus pleinement que lire les classiques à un âge un peu trop tendre ( en tout cas en ce qui me concerne ), ne permet pas toujours d'apprécier à leur juste valeur certaines oeuvres et certains auteurs…
Je ne raconterai ni n'analyserai cette histoire, car certains babelionautes l'ont déjà fort bien fait, mais je rajouterai ceci : cette histoire, je l'ai lue aussi vite que mon emploi du temps le permettait, car il faut dire que je suis vraiment tombée sous le charme de l'intrigue et des aventures du jeune Oliver…
En conclusion, oserais-je le dire ? , je suis ravie de savoir qu'il me reste encore plusieurs livres de cet auteur à découvrir, et principalement dans le cadre du challenge BBC…


Challenge BBC
Challenge Pavés 2021
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Né d'une mère célibataire qui a accouché en cachette, Oliver Twist semblait promis à un avenir peu brillant. Les organismes de charité qui l'ont pris en charge, persuadés qu'il finirait tôt ou tard à la potence comme tous les êtres de son engeance, lui donnaient à peine de quoi survivre (et s'indignaient comme il se doit du manque de reconnaissance envers leurs sacrifices).

On cherche alors à se débarrasser de son encombrant estomac dès qu'il arrive à l'âge d'être apprenti. S'il échappe à un ramoneur peu scrupuleux, il atterrit finalement chez un croque-mort. Sa vie ne s'en trouve pas améliorée : son statut d'orphelin et d'assisté le désigne d'emblée comme coupable dans tous les conflits qui le concerne, ce qui en fait le souffre-douleur de l'entreprise. Il décide un soir de s'enfuir vers Londres, dans l'espoir d'améliorer son sort. Mais il n'y trouve qu'une bande de voleurs, bien décidés à profiter de sa naïveté pour réaliser quelques coups juteux.

Le roman est très proche du conte philosophique par plusieurs aspects. Tout d'abord, le manichéisme des personnages : les gentils ne sont décrits que par des qualités, les méchants uniquement par des défauts (et ils sont inexcusables par dessus le marché), et même si quelques uns se sont retrouvés dans le mauvais camp par un coup du sort, on sait au premier coup d'oeil vers qui doit aller notre sympathie, et qui nous devons détester. Ensuite, l'intrigue est remplie de retournements de situation et de coups de théâtre peu crédibles : malgré l'étendue de l'Angleterre, les protagonistes tombent toujours sur la bonne personne au bon moment. Il faut bien avouer que parfois, on frôle la romance de série B.

Malgré ces petits défauts, on se laisse facilement emporter par la plume de l'auteur. L'humour est omniprésent dans l'histoire, et la critique sur les lois sur la pauvreté, le manque d'aide aux démunis et l'hypocrisie des philanthropes est sévère (ah, ces pauvres qui s'obstinent à mourir de faim alors que des gens de la bonne société leur ont assuré qu'ils avaient de quoi se rassasier, quel scandale !)

Un roman plein de bons sentiments donc, et aux mécaniques assez simples. Mais si vous être dans un état d'esprit où vous voulez voir les gentils récompensés et les méchants punis, nul doute qu'Oliver Twist soit une lecture idéale.
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Charles Dickens est le maître incontesté de la narration teintée d'Ironie et de gravité.

Son oeuvre en est définitivement marquée. le style est mesuré et précis même lorsqu'il retrace les pires atrocités. Il séduit le lecteur par son écriture crépitante, à la fois disciplinée et bouleversante d'émotion à peine retenue.
En racontant les déboires du pauvre Oliver Twist, orphelin accablé par les mauvais traitements, livré à lui-même, affamé et en proie à tous les malheurs, il touche au plus profond de nos sentiments. Il peint le portrait d'une société qui voyait les pauvres et les orphelins comme « issus de mauvaises gens », une condamnation impitoyable et irrévocable. C'est une véritable fresque de la société et du sens critique de toute une époque.

Ce genre littéraire qui a fait battre de nombreux coeurs et pleurer dans les chaumières beaucoup de têtes blondes, reste toujours une lecture essentielle d'une grande valeur formatrice.


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Un classique dont je connaissais peu de choses, n'ayant vu aucune adaptation à la télé. Ce qui n'est pas plus mal comme ça j'ai eu quelques surprises pendant ma lecture. C'est du Dickens dans toute sa splendeur ,maniant l'humour noir pour dénoncer les graves dérives des institutions charitables. Oliver Twist et ses compagnons d'infortunes subissent la faim, le manque d'amour et la maltraitance dans une banalité consternante. Et ce ne sera que le début pour Oliver, dont les tristes aventures ne s'arrangeront que tardivement. Des personnages mauvais côtoient des perles d'humanité, c'est assez manichéens mais en même temps la rédemption existe pour Dickens. Il raconte une réalité assez dure ,quelques passages sont en effet bien triste mais l'espoir est au bout et l'humanité de certains personnages en ressort d'autant plus. Certains clichés ne sont pas évités et la fin est convenue mais ça reste un très bon roman . A lire !
Multi-défis 2019
Challenge pavés 2019
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Sombre plongée dans l'Angleterre victorienne, à travers l'histoire de ce petit garçon orphelin et baladé d'hospice à brigands. Dickens, face aux critiques, s'est défendu de tout misérabilisme et a voulu révéler les bas-fonds et la violence dans laquelle vivaient les orphelins sous le règne de la Reine Victoria.
Effectivement, c'est triste, et Oliver Twist est comme un pantin malmené de tous côtés. Mais ce livre se lit aussi comme un roman d'aventures, tant il lui en arrive, et on découvre Londres, son atmosphère, ses gens, ses maisons.

Quand j'ai commencé ce livre, par curiosité mais aussi un peu par obligation - quoi, je n'avais encore jamais lu un Dickens!! - j'ai été surprise d'y pénétrer aussi facilement et de le trouver tellement dur à lâcher! Je me suis profondément attachée à ce petit bonhomme à la fois fragile, gentil et résistant, et j'aurais voulu ne plus le quitter.
Depuis, de temps en temps, je pense à lui, et je me demande ce qu'il devient...
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Coup de foudre pour l écriture de Charles Dickens.
Un style inimitable pour conter l histoire d un orphelin que la vie maltraite. Oliver (nommé ainsi en suivant l ordre alphabétique ) passe ses premières années dans un dépôt sordide de mendicité . Placé ensuite chez un fabricant de cercueils où il n est pas mieux traité, il s enfuit et arrive à Londres où une bande de voleurs tente de le convertir . Malgré son infortune Oliver reste un coeur pur. Il croisera la Route de bonnes personnes.
Impossible de lâcher la main d Oliver tant le récit est prenant. Je me suis glissée avec délice dans les lignes de Dickens.
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Les aventures d'Oliver Twist évoquent la vie d'un gamin confié aux institutions dès sa naissance, après la mort de sa mère en le mettant au monde. Son enfance, dans ce milieu difficile, lui permet néanmoins de lier des amitiés et de se forger assez de maturité pour, à l'âge de 12 ans et, après avoir été un peu plus maltraité que d'habitude, de partir avec son baluchon pour Londres. S'ensuit sa vie dans les bas-fonds quand il tombe dans les pattes de Fagin, le vieux juif qui entretient de jeunes voleurs, pickpockets, et autres jeunes filles perdues mais, dans son malheur, il fait la connaissance de Mr Brownlow, un vieux gentleman qui l'aidera en dépit de quelques déceptions que le jeune Oliver Twist va lui infliger bien malgré lui, à enfin trouver une famille.

En commençant la lecture de ce roman que Charles Dickens a écrit dans sa jeunesse, je m'attendais à suivre l'apprentissage du jeune Oliver au début de sa jeune vie et à vivre les épisodes mouvementés dans la vie du jeune garçon, or, s'il est le personnage principal, il agit assez peu pendant tout le roman, il subit - après tout ce n'est qu'un enfant - et ce sont, les personnages secondaires qui sont mis au premier plan, projetés dans la lumière et souvent dans l'obscurité... En tête Fagin, le juif tantôt protecteur, tantôt persécuteur mais toujours manipulateur, les gamins le Renard et Bates, délurés princes des voleurs, Nancy, la jeune fille perdue au grand cœur, le bedeau Mr Bumble, l'intrigant Monks, des personnages hauts en couleur, contrebalancés par la gentillesse de Rose et Mr Brownlow. Charles Dickens construit la trame des péripéties en s'appuyant sur ces personnages périphériques, avec toujours le décor inquiétant de la ville de Londres. Chacun des chapitres est cinématographique, on voit les rues sombres, entrelacées dans les quartiers mal famés, les personnages, leurs sentiments, leurs traits de caractère, les déplacements dans les rues sombres de Londres ou dans la campagne anglaise.
J'ai été très sensible à l'humour, dans les noms des personnages qui les identifient selon leur caractéristique principale, et la causticité de Dickens quand il décrit la cupidité, l'égoïsme des puissants qui méprisent les faibles, la médiocrité de certaines petites gens qui écrasent les plus faibles.

Un roman où Charles Dickens dépeint, dans une ville belle et inquiétante, la vie difficile des petites gens à l'aube de la révolution industrielle. Un classique que je suis heureuse avoir lu.
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