Djian j'ai lu 14 de ses bouquins.
J'avais une amie qui était fan de
lui et achetait tous ses livres dès leur parution. Puis je les
lui empruntais.
L'amie est partie outre mer,puis est morte,moi j'avais cessé d'" adorer" cet écrivain.
Aussi est ce avec émotion que je l'ai retrouvé dans la liste des masses critiques,et c'est un peu en souvenir de cette amie que j'ai coché ce titre qui ne paraitra qu'en mars.
Merci à Babelio et aux éditions Julliard pour cet envoi.
Ceci étant les épreuves non corrigées du roman, j'aimerais bien que quelqu'un m'explique les étapes qui restent avant parution ?
On y retrouve le fonds de commerce de Djian,des hommes et femmes qui voudraient bien du grand amour mais à défaut se contenteront d'une bonne baise.je les comprends, c'est toujours ça de pris !
Et qui trouvent la vie si injuste/ insipide/ inintéressante / indigne d'eux qu'il leur faut une petite addiction artificielle pour s'y sentir bien,alcool ,fumette, sniffette,ici c'est seulement alcool et fumette.
Tous les personnages sont des lâches,sauf une,et dieu sait comme Djian aime et sait épingler nos petites lachetés quotidiennes .
Côté scénar c'est très visuel,mais à lire c'est le foutoir,entre plusieurs films de catastrophes bas de gamme et une épopée style western sans les indiens.
Ça tient parce que Djian a un style bien à
lui,blasé et cynique, genre
Brett Easton Ellis,en moins crade,donc en plus ramolli.Mais ne crachons pas sur son style !
Noté à moi même : me rappeler de ne jamais renouer avec ses anciennes amours.