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4,27

sur 2399 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je pense que j'aurais pu beaucoup aimer ce livre s'il ne m'avait pas fallu 460 pages pour comprendre que la dizaine de personnages principaux portaient chacun deux noms de famille, un diminutif et un surnom.
(Je me disais bien que çà faisait beaucoup de personnages principaux..)

Le prince Mychkine et Nastassia Filippovna sont des personnages à la psychologie riche et attachante, et je ne voulais pas en rester là.
Après avoir baissé les bras une première fois, pour un motif aussi ridicule, je décidai de prendre mon courage à deux mains et de retenter l'expérience.

Afin de remettre mes idées au clair et de repartir sur de bonnes bases, j'eus la lumineuse idée de lire l'article concernant le roman sur Wikipedia, dont le résumé de l'histoire... jusqu'à ce que j'apprenne la fin.
Pour mon baptême de littérature russe, je crois que j'aurais pas pu faire un meilleur choix.

L'Idiot , par une idiote.
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"L'Idiot" est considéré par beaucoup comme le meilleur roman de Dostoïevski pour la raison que l'auteur a voulu en faire le roman de "l'âme russe" par excellence, ce concept poétique cher au coeur des Slaves, condensé identitaire d'une psychologie complexe dans laquelle entrent à la fois en conflit et en communion réalité sociale, spiritualité, fierté, dignité et quête d'éternité, traditions, aspirations lyriques et bon sens paysan. Rentrant de mon troisième voyage en Russie "chez l'habitant", je peux affirmer qu'il existe bien une "âme russe" aussi palpable qu'indéfinissable, mais tout comme il existe une identité latine, une manière de penser anglo-saxonne, un spleen germanique, un pragmatisme scandinave, etc. Chaque nationalité, finalement, possède son propre caractère issu de son histoire et de son vécu politique, historique, économique, social et littéraire.

Mais revenons à "L'Idiot". Oeuvre colossale mettant en scène près d'une quarantaine de personnages (aux noms, prénoms, surnoms et patronymes pas toujours faciles à retenir, comme toujours en littérature russe classique), représentatifs de différents milieux sociaux. Dostoïevski a voulu représenter la grande variété des tempéraments masculins et féminins à travers cette vaste galerie colorée et complexe, à seules fins de déterminer un "type russe" et de (dé)montrer si la bonté peut gouverner les relations humaines, quelque que soit leur nature.

Le caractère du prince Léon Nicolaïévitch Mychkine, épileptique et, à mon avis, quelque peu autiste, se distingue par une bonté infinie qui confine à la naïveté, vertu outrageante pour la société pétersbourgeoise coutumière des convenances hypocrites de la bourgeoisie. Comment se fier à une bonté aussi démonstrative et sans fard ? Rien de moins naturelle que cette propension à la mansuétude et à l'affection gratuite. Et quand une telle disposition se double d'une intelligence fine, aux abris !, cela ne peut cacher que de sombres calculs et dissimuler de sombres arrière-pensées.

"L'Idiot" est sans conteste un tour de force littéraire. Donner à quarante personnages, tant hommes que femmes, des caractères bien distincts tout en réussissant à dérouler une narration romanesque et à émailler son récit de considérations philanthropiques ou analytiques ne peut que susciter une grande admiration. D'autant que l'ensemble est cimenté par un style brillant, classique pour l'époque, savoureux pour nous, lecteurs du XXIème siècle dont le langage tant parlé qu'écrit est plutôt malmené.

Recommandée par mon libraire, la lecture de "L'Idiot" devait se révéler une suite fulgurante à ma passionnante lecture de "Crime et châtiment". Pourtant, mon verdict est sans appel : je préfère le second au premier. Malgré tout l'intérêt à porter à "L'Idiot", il m'a souvent paru fort long et confus et je n'ai jamais ressenti à sa lecture l'extraordinaire tension de "Crime et châtiment".


Challenge XIXème siècle 2019
Challenge PAVES 2019
Challenge MULTI-DÉFIS 2019
Challenge SOLIDAIRE 2019
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L'Idiot est le personnage principal de ce roman. le prince Mychkine est qualifié d'Idiot parce qu'il est pur, naïf, humble. Il est tellement bon qu'il pardonne les moqueries, les trahisons. Et pourtant, il surprend parfois par sa capacité d'analyse si fine et si juste. Il déstabilise ceux qui le tournent en ridicule.

Au début du roman il fait la rencontre de Rogojine. Un autre homme malade, violent, qui n'a ni foi en la loi de l'homme, ni en celle de Dieu.

Ces deux hommes sont liés par leur folie, bien que l'un semble être une brebis, et l'autre un monstre. Une femme les relie : Nastassia Philippovna.
Rogojine en est amoureux à la folie, alors que le prince Mychkine l'aime chrétiennement. Il veut sauver cette âme perdue. Il devine les desseins criminels de Rogojine et il comprend la profonde détresse de Nastassia.

L'attitude de Rogojine est claire, on comprend tout de suite le personnage. le personnage du prince est plus ambiguë. Sous ses apparences d'ange, en début de roman, il cache un autre personnage, attiré par le vide, incapable d'aimer. Il sombre petit à petit, il déçoit son entourage, et la maladie finit par le rattraper, comme s'il cherchait à redevenir l'Idiot, comme pour échapper à la réalité des hommes, dans laquelle il ne peut vivre.

Rogojine et Mychkine, sont à la fois rivaux et frères. Ange et démon. Les deux facettes de l'homme. Rien ne pourra arrêter la nature cruelle de Rogojine et cela le prince Mychkine l'a bien compris.

C'est un roman avec des longueurs qui rendent la lecture parfois assez pénible. Mais il exprime si bien l'âme russe dans ses excès, sa monstruosité, sa grandiloquence. Il questionne aussi sur la foi et la religion. Que peuvent la foi et la religion face à la nature de l'homme, peuvent-elles le rendre meilleur ?

"- L'un ne croit pas en Dieu, l'autre y croit tellement qu'il fait sa prière avant d'égorger les gens ! Non, mon cher, on n'invente pas une chose pareille ! Ha, ha ! Cela dépasse tout"

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L'idiot est l'angélique prince Mychkine, un épileptique qui revient en Russie, après un séjour dans un sanatorium Suisse, pour rendre visite â une parente éloignée, la femme d'un riche général. L'histoire se situe à Saint Petersbourg dans les années 1860.
Mon édition est composée de deux livres et autant j'ai eu beaucoup de plaisir avec le premier, autant le second m'a souvent ennuyée, essentiellement en raison des passages avec Lebedeff ( qui pourraient être supprimés tellement l'impression de la course au nombre de pages est forte.). Fière d'être allée au bout de cette grande lecture malgré tout.
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J'avais peur de débuter ce livre. Au vu de la densité du texte, de la pluralité des personnages et des avis divergents, j'étais assez circonspecte face à ce monument de la littérature russe. Par curiosité intellectuelle, je me suis néanmoins décidé à aborder cette oeuvre phare du XIXème siècle.

« L'idiot » s'appelle Léon Nicolaévitch, un prince Muichkine simple d'esprit, caractérisé par son envie d'être agréable et bienveillant envers la société russe. Un trait de personnalité qui intrigue et interroge les petites gens du peuple, peu habitués à voir surgir dans leur cercle ce type d'individu. À Pétersbourg où il atterrit, le prince, très naïf, pénètre dans un monde sans pitié : celui de l'aristocratie russe, où des nobles bien nés le traitent avec hauteur et condescendance.

J'ai ressenti des sentiments ambivalents à l'encontre de notre héros : ce prince, au surnom dévalorisant, m'a souvent agacé par sa fragilité, sa façon d'être avec les personnes qu'il rencontre, sa manière de se laisser avilir et dominé par les autres. Mais en même temps, il a réussi à me toucher. Sa sagesse, son humilité, sa façon toute personnelle de voir la vie, différemment des autres hommes, font de lui un être exceptionnel et différent, qui lui vaut ce surnom peu flatteur. Pour exemple, le prince voue un amour singulier à l'encontre de Nastasie, il voit au-delà de son aspect physique, il arrive à cerner sa personnalité, à adorer sa tristesse, alors que les autres hommes ne s'attardent que sur leur désir physique. Une attitude qui lui vaut des remontrances et qui le place d'office en situation d'infériorité par rapport aux autres hommes, alors qu'il semble être beaucoup plus intelligent que la moyenne.

Je ne dirais pas que j'ai aimé, ni que j'ai détesté découvrir cette histoire. Disons que je suis satisfaite d'avoir pu étancher mon insatiable curiosité en découvrant ce classique que beaucoup encensent. J'ai néanmoins été agréablement surprise par l'accessibilité de l'écriture de Fiodor Dostoïevski. C'est un roman russe qui date du milieu du XIXème, qui ne comprend pas de termes vieillis, mais reste assez fluide, avec des personnages cohérents et une description concrète de l'époque. On se balade à Saint-Pétersbourg, dans la campagne environnante, on est confronté à la société d'alors, où tout demeurait dans le paraître, l'excès et l'extravagance, manières d'asseoir sa supériorité : chacun tente d'accéder à une meilleure situation financière, à un mariage plus glorieux… Bien que l'auteur décrive une population aisée de la vie russe, où évoluent princes, généraux et gens de bonnes familles, il nous confronte néanmoins à des aspects plus rudimentaires de la vie d'alors : les inégalités, la pauvreté, la maladie, la folie, la place des femmes dans la société… La capacité de l'auteur à aborder avec justesse cette fresque sociale est quand même phénoménale, elle nous permet de percer l'âme humaine et de comprendre plus en profondeur l'état d'esprit d'alors.

À ma grande surprise, il est beaucoup fait mention d'amour entre ces pages : le prince et Nastasie, Nastasie et Rogojine, Gabriel Ardalionovitch et Aglaé, Aglaé et le prince… des couples qui se font et se défont au gré des réunions familiales et mondaines. Nastasie et Aglaé sont deux personnages féminins imprévisibles, difficile, voire impossible à cerner, qui agissent avec passion et désinvolture. Leur compassion et leur rejet cruel ne surgissent jamais quand on pourrait s'y attendre : même après six cent pages, elles arrivent encore à nous surprendre dans leurs agissements et leurs paroles, passant de l'amour à la haine en une fraction de secondes. Au fil du récit, on constate une nette alternance de scènes apaisées, où il est question de sentiments profonds et véritables à des scènes plus intenses, mémorables, qui déstabilisent et déconcertent. Une ambivalence qui contribue largement à rythmer l'histoire.

Je ne cache pas que ma lecture fût laborieuse à certains moments, à cause certainement de la densité stylistique et narrative de l'auteur. Les personnages se multiplient au fil des pages, tant et si bien qu'on en arrive à s'y perdre. D'autant que certains sont appelés tantôt par leur titre de noblesse, tantôt par leur prénom, leur nom ou leur diminutif ; ce qui ajoute une difficulté supplémentaire aux lecteurs, obligé de bien répertorier le rôle et l'identité de chacun. Si on ajoute à cela la complexité des relations sociales qui existe entre les personnages, il est évident qu'un lecteur non averti va avoir beaucoup de mal à s'y retrouver ! L'histoire tend aussi en longueurs, avec des passages assez pénibles qui ont freinés l'avancée de ma lecture. Je pense notamment aux longues interventions d'un Hippolyte déprimé, atteint d'une phtisie qui l'anéantit, qui souhaite se suicider pour rester pleinement maître de son destin. Il s'épanche en élucubrations sans queue ni tête qui m'ont passablement ennuyées.

Un récit fourni et dense, qui nous plonge brutalement au coeur de la société Russe du XIXème siècle. Malgré quelques longueurs, je suis satisfaite d'avoir pu découvrir ce monument de la littérature, qui m'a fait voyager dans un univers extravagant, où le bien côtoie le mal, l'argent triomphant sur le partage, l'arrivisme social écrase l'humilité. Complexe, mais intéressant !
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Je pense ne pas avoir tout compris … En lisant les critiques précédentes, je vois que l'on souligne le génie de Dostoïevski … Je crois que j'y suis restée insensible.
J'ai découvert le prince Léon Nicolaïevitch Muichkine, un jeune homme d'une vingtaine d'années aux cheveux blonds, fragile et descendant d'une des plus anciennes lignées russes de la noblesse, qui arrive à Saint-Pétersbourg un matin de novembre. Il a passé les quatre dernières années dans une clinique suisse pour le traitement de son "idiotie" et de son épilepsie. Il semble totalement étranger, tant par ses vêtements que par son discours, aux yeux des deux hommes qu'il rencontre dans le train Varsovie-Saint-Pétersbourg, le « noiraud » Parfione Rogojine et le « fonctionnaire » Lebedev.
Rogojine lui raconte son amour fou pour Nastassia Philippovna et la raison de son retour à Saint-Pétersbourg : son père venant de mourir, il vient récupérer sa part d'héritage. Lebedev lui semble bien informé : connaissant tout le monde, il lance quelques ragots sur chacun.
Le prince ne connaissant personne à Saint-Pétersbourg, il espère être reçu par une parente éloignée, la générale Epantchine. Il rencontre alors le général, sa femme et leurs trois filles, Alexandra, Adélaïde et Aglaé.

Plusieurs éléments du roman sont autobiographiques : l'épilepsie dont souffrait Dostoïevski, la mort de sa fille encore nourrisson, de froid ou encore le tableau du Christ d'Hans Holbein, qui a tant fasciné l'auteur.
On parle beaucoup d'argent dans ce roman : celui que l'on hérite, que l'on est prêt à payer pour épouser Nastassia, celui qui est volé, celui que l'on prête …
C'est l'un des préoccupations centrales des personnages, de tous sauf du prince qui, sans le sou, semble toujours s'accommoder de son sort.

On parle aussi beaucoup d'amour … ou peut-être plus précisément de mariage : tels des ados au printemps, les rumeurs vont bon train concernant les unions possibles de Nastassia avec Gania, Rogojine ou encore avec le prince, celles d'Aglaé, …

J'y ai trouvé aussi des passages assez longs, voire trop longs … Les considérations politiques et religieuses étaient très détaillées et je n'ai pas apprécié du tout. Oups, je vais être dure, mais les pages sur l'agonie d'Hippolyte le tuberculeux m'a fait lui souhaiter une mort rapide !

La Russie de Dostoïevski m'a semblé noire, pleine de misère, de mort, de souffrance … L'alcool coule à flots, délie les langues et échauffe les esprits.
Seul le prince dans sa naïveté et son esprit simple est à l'écart : toujours prêt à pardonner, même aux personnes qui clairement se jouent de lui, il aimerait, avec sa grandeur d'âme, sauver la pauvre fille perdue Nastassia, qui abusée par son bienfaiteur Totski, se dévalorise au point de ruiner sa réputation.
Quant à la fin du roman … oui je suis allée jusqu'au bout, avec du mal certes, mais quelle est la morale ? le bien n'a-t-il pas sa place dans la société russe ?
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Etre différent des autres représente t il une tare ?

La différence que l'on ne comprend pas et que l'on diminuera, isolera voire dénigrera est ce comme cela que l'on peut vraiment forger une société de bonne intelligence ?

L'auteur, avec la force de son style, nous entraîne dans cette philosophie afin de nous en faire poser la question et nous laisser avec nos interrogations sur nos regards d'hier.
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Ce beau pavé tourne autour de l'histoire d'un jeune prince tout d'abord désargenté qui après de nombreuses années à se faire soigner revient dans sa Russie natale. Nous allons alors suivre ses diverses aventures et mésaventures dans ce monde dominé par l'amour, l'argent et le désoeuvrement. Rien de passionnant donc si ce prince n'était affublé d'une bonté maladive qui frise l'idiotie et va le pousser dans des situations toujours plus délicates.

Alors comment Dostoievski a-t-il pu faire autant avec si peu ? Et bien en abusant d'analyses psychologiques interminables, parfois intéressantes, parfois lassantes, et même parfois redondantes. Il faut donc en passer par certaines périodes d'ennui pour avoir le plaisir d'apprécier les bons moments et les quelques situations picaresques qui avec le ton le plus souvent léger permettent à ce pavé de rester digeste.
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Le prince Mychkine est un être fondamentalement bon, mais sa bonté confine à la naïveté et à l'idiotie, même s'il est capable d'analyses psychologiques très fines.

Après avoir passé sa jeunesse en Suisse dans un sanatorium pour soigner son épilepsie (maladie dont était également atteint Dostoïevski), il retourne en Russie pour pénétrer les cercles fermés de la société russe, sans sou ni attache, mais avec un certificat de noblesse en poche.

Il se retrouve par hasard mêlé à un projet de mariage concernant Nastassia Filippovna …

Un classique que je suis heureuse d'avoir lu. J'y ai trouvé pas mal de longueurs, mais je pense que c'est vraiment une caractéristique de la plume de Dostoïevski car j'ai eu le même ressenti en lisant « Les Frères Karamazov », l'an dernier.

Je tiens à tirer mon chapeau à l'auteur ! Il y a plusieurs dizaines de personnages qui évoluent au coeur de ce roman, avec chacun des caractères bien distincts, très affirmés, voir complexes. Et j'avoue m'être plusieurs fois un peu perdue : tous ces personnages se mêlent et s'emmêlent, les intrigues sont multiples. Mais c'est cette multitude de rebondissements qui donne du rythme à ce roman, ce pavé. Je me suis assez facilement attachée au Prince, et j'avais hâte de savoir ce qui allait lui arriver.
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Il faut reconnaître que lire ce livre constitue une épreuve. Ces prénoms complexe des romans russes, ces personnages désignés de différentes façons, comment ne pas souffrir de tant de confusions...? Ici, en plus l'intrigue est faible, les personnages un peu falots et peu de choses émergent.
Cet "idiot" ne l'est pas. Un peu dépressif certainement, peut-être inadapté aux relations sociales convenues, aussi, maladif, hésitant, incertain. Et durant cette longue lecture on attendra, presqu'en vain, quelque chose qui nous retient, qui nous captive. Seule la fin se rapprochera de celle d'un roman classique.
Les amateurs d'études psychologiques apprécieront peut-être, mais pour part, je me suis lassé. Et comment ne pas être agacé par ces hommes instables, ces femmes girouettes, tantôt agressifs, un peu méchants, égoïstes et parfois insultants, le tout dans un monde petit bourgeois désoeuvré et médiocre?
Quitte à vouloir connaître l'ouvre de Dostoievski, autant passer par cet "Idiot". Mais cette lecture ne vaudra que pour cet aspect collectionneur, accumulateur: comment juger un auteur sans lire plusieurs de ses livres?
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