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3,96

sur 2948 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Un très bel ouvrage pour découvrir Dostoïevski (qui plus est assez bref), une histoire d'amour et surtout d'addiction au jeu sublimement décrite et décortiquée…. Un roman à lire absolument.
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Un roman du Maître assez bref, surtout si l'on considère la somme de pavés tels que "Crime et châtiment" ou encore "Les frères Karamazov", et qui met en scène Alexei Ivanovitch, le narrateur, être sans classe sociale ni âge bien définis, épris de Paulina, elle-même pupille d'un général russe qui bave devant les charmes d'une demi-mondaine française intrigante et déterminée ; un riche et discret industriel anglais, un français à particule jouant les Don Juan, une vieille tante fortunée tout à fait toquée... un récit où sont mis en miroir la passion et ses illusions, le jeu et ses addictions, à moins que ce ne soit la passion et ses addictions, et le jeu et ses illusions ?

Un roman certes bien écrit - on parle quand même du Maître - mais qui a, à mon goût, un rythme un peu trop rapide, presque théâtral (d'où le petit air de vaudeville de la première partie ?), sans doute parce qu'il s'agit d'une oeuvre dictée dans un délai serré pour échapper au chantage d'un éditeur peu scrupuleux.

J'oserai un rapprochement quelque peu anachronique avec "Vingt-quatre heures de la vie d'une femme" de Stefan Zweig qui traite également du jeu et de ses conséquences, simplement parce qu'à la lecture de ces deux oeuvres j'ai ressenti la même chose : une grande fascination pour la description de l'emprise des jeux de hasard sur les hommes et leur destin, et en même temps un manque quasi total d'empathie et d'affection pour les personnages, aussi bien envers les hommes qu'envers les femmes.

Néanmoins, une belle peinture de la société d'une époque (révolue ?) où se dessinaient en filigrane, derrière les cartes, les ambitions, les peurs, les espoirs et les détresses humaines.


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Amour et jeux d'argent dans la bonne société européenne du XIXème siècle.

De l'amour il en est question, l'amour que voue le narrateur Alexei pour Pauline, par exemple, ou l'amour du général pour Mademoiselle Blanche. Des jeux d'argent il en question également. de façon très visible à travers la table de roulette du casino de Roulettenbourg, mais aussi à travers les dettes et les hypothèques du général, et à travers la perspective d'un héritage de la vieille grand-mère ... Tout le monde croit qu'il va gagner !

C'est l'illusion du jeu et de la vie. de façon générale beaucoup perdent, et certains perdent gros, très gros même.

Ce court roman, écrit sur commande, est un brin mélancolique. Notamment ce personnage d'Alexei, précepteur chez le général, qui représente ce qu'on pourrait appeler "l'âme russe" et qui contribue par la narration qu'il fait des évènements à donner le ton. On alterne les sentiments de joie intense et de tristesse profonde. Comme sur la table de roulette, lorsque la mise fût la bonne à plusieurs reprises et que l'heur tourne.

Si l'amour est un jeu, est-ce un jeu de hasard ? Comment saisir sa chance au bon moment ? Comment discerner ce qui chez l'autre indique qu'il est temps de s'en aller, de sortir, de quitter définitivement cet enfer ? En matière d'amour et de jeux, les conseils des "amis" ne sont jamais avisés, mais ici, comme souvent, même un homme averti ne vaut pas grand chose, surtout s'il perd.

Un bon roman qui permet une entrée en matière pour découvrir l'auteur sans s'attaquer aux monuments.
Lien : http://animallecteur.canalbl..
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C'est probablement la deuxième fois que je lis ce roman qui ne m'avait pas laissé un souvenir très précis, éclipsé sans doute par des oeuvres plus importantes de Dostoïesvki. C'est en effet un petit ouvrage qui se lit assez vite si l'on omet les ajouts éditoriaux qui mettent en lumière le côté autobiographique de l'auteur. Quoi qu'il en soit, on reconnaît la plume de l'auteur, la justesse avec laquelle il dépeint l'âme humaine, les passions dont l'homme n'est pas maître (que ce soit pour le jeu ou la passion amoureuse), les travers des sociétés et de leurs préjugés. J'ai été un peu agacée par les généralisations caricaturales et des pensées à la limite de la xénophobie mais, tous comptes faits, il est sain que l'auteur ait pu les exprimer en toute sincérité et sans l'autocensure que nous impose la bien-pensance contemporaine. C'est un petit livre, certes, mais qui fait partie des classiques de la littérature russe du XIXè siècle... à lire après Crime et châtiment, Souvenirs de la maison des mort, les frères Karamazov, etc.
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De Dostoïevski, je n'ai lu que « Les Frère Karamazov », quand j'avais 16 ans. J'étais dans ma période russe : j'avais vu « le Barbier de Sibérie » au cinéma, qui m'avait envoûtée et retournée. Je voulais découvrir ce magnifique pays à travers ses auteurs du 19e siècle, comprendre la fierté d'être russe, la folie qui les habite. Je dévorai « Anna Karénine » du grand Tolstoi, « Premier Amour » de Tourgeniev et « Les Frères Karamazov ». J'en garde le souvenir d'un livre dur, sombre et fort.

J'avais envie de découvrir une oeuvre de cet auteur, cachée derrière l'ombre du grand « Crime et Châtiment ». Un roman, peut-être moins connu, mais peut être plus révélateur de l'écrivain. Un texte peut être moins travaillé, moins corrigé, plus vivant, plus authentique. « le Joueur » a été dicté en 21 jours par Fédor Dostoïevski à sa secrétaire.

« le Joueur » est un roman sur la passion. La passion amoureuse, la passion du jeu.
Son amour pour Paulina rend Alexeï fou, déraisonnable. Il se couvre de ridicule pour ses beaux yeux, il est prêt à mourir pour elle, un mot d'elle et il saute. Il est passionnément amoureux, sans espoir de retour. Elle est tantôt cruelle et méchante, des fois juste indifférente, mais parfois il devine qu'il y a peut être plus que ce qu'elle veut bien laisser paraître, et cela le rend fou. C'est par amour pour elle qu'il cède à un autre démon : le jeu.

La roulette attire Alexeï dès son arrivée à Roulettenbourg (on remarquera le magnifique « jeu de mot »). Dans l'immédiat, il ne joue pas pour lui, il a cette certitude qu'il gagnera dès qu'il jouera, pour lui. On sent que le jeu attire même les plus récalcitrants : la baboulinka perd 100 00 roubies en deux jours, tout à son obsession de gagner de l'argent, puis de se refaire etc. Alexeï accompagne la baboulinka le premier jour. Quand il joue enfin pour lui, il gagne une fortune dans un état second, fébrile . Il ressent une jouissance indescriptible à ramasser tous ces billets. Il gagne en une soirée deux cent mille francs. Il dilapide tout en trois mois. Et il revient se refaire. Sans cesse. Demain j'aurai de la chance. Il suffit que je trouve 30 roubies. Il devient domestique pour gagner un peu d'argent. Pour ensuite, tout dépenser sur la roulette. Croyant à son bonne étoile. Il fait de la prison pour dettes, lui le précepteur orgueilleux. Mais, dans cette passion du jeu, il se perd lui-même.

Sous forme de confessions à un journal, le roman est fièvreux, haletant. Alexeï couche sur le papier ses émotions, sans détour. Il écrit ce qu'il ressent, sous sa forme la plus brute. Ici il n'y a pas de mensonges, même les sentiments les plus vils sont dits. Il n'est dupe de personne. Il est brouillon, passionné et fébrile.
Ses deux démons : la roulette et Paulina ne lui laissent aucun répit et il va s'évertuer, par le jeu, à prouver à Paulina qu'il l'aime. Jeu qui le perdra.

J'avais envie, en lisant Dostoïevski, de découvrir l'âme russe. Les facettes d'un peuple attirant et particulier, où l'arrogance d'être Russe est mêlée à une faiblesse face aux tentations. Un peuple hors du commun.
J'ai été comblée avec « le Joueur », un livre magnifique.
Lien : https://brontedivine.com/201..
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Lorsque Dostoïevski perd toute sa fortune à la roulette, l'idée lui vient d'écrire un livre sur l'enfer du jeu. L'histoire se passe à Roulettenbourg en Allemagne. Nous suivons un jeune homme nommé Alexis Ivanovitch qui exerce le métier de "outchitel" (précepteur) pour les enfants d'un général. La psychologie est fortement présente dans ce roman. Alexis est amoureux de la belle-fille de son employeur et décide de gagner de l'argent pour la séduire. Malheureusement, il tombe peu à peu dans la passion folle du jeu. Paulina est au premier abord méprisante, étrange et ingrate mais se cache au fond une belle âme effrayée par la vie. le général attend désespérément la mort de sa tante Baboulinka pour pouvoir épouser Blanche, une jeune et belle française à l'affût de l'héritage du général. L'auteur nous offre une peinture de la société bourgeoise de son temps tout en nous plongeant dans un univers palpitant. le Joueur a été une belle première découverte du monde russe, le domaine du jeu est traité avec brio.
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Écrit en vingt-sept jours, en plein milieu de la rédaction de « Crime et Châtiment » , afin d' honorer un contrat éditorial, « Le joueur » est mon premier roman de Dostoïevski. Cet ouvrage est réputé pour ses correspondances autobiographiques en étant notamment le reflet de l'addiction au jeu dont souffrait l'auteur. Rédigé à la première personne, c'est sûrement l'occasion pour l'auteur russe de livrer, en se confondant avec le narrateur, sa pensée et ses critiques sur divers sujets. Il en profite ainsi pour égratigner l'aristocratisme de son époque, les français qu'il ne porte visiblement pas dans son coeur. Nous parler de nos relations à l'argent et de notre tendance à l'autodestruction liée, dans ce cas, à une obsession (richesse, amour ou prestige).


Pour ma première incursion dans la littérature de Dostoïevski, je ne suis pas déçu. Son style est à la fois direct et subtile. A l'intelligence de sa plume se conjugue un rythme soutenu rendant l'histoire palpitante pour un sujet qui, de prime abord, ne m'intéressait pas plus que cela. Pour un roman dicté en vingt-sept jours, le résultat n'a rien de bâclé et offre quelques passages d'anthologie comme celles de la grand-mère en train de jouer à la roulette.


Une bonne découverte de cet auteur qui me donne envie de me plonger davantage dans son Oeuvre. C'est aussi une bonne entrée en matière avant d'attaquer ses romans plus longs.
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Je ne sais pas à tort ou à raison mais cet auteur m'a toujours fait peur. Je craignais un livre pompeux, peu abordable. C'est loin d'être le cas de ce 'joueur'. La lecture est fluide et agréable, les personnages sont plus vrais que nature, je soupçonne qu'ils aient dans une certaine mesure réellement existé. le sujet est plutôt intéressant même si pour ma part les histoires de dot et d'héritage ne me passionnent pas. C'est finalement bien quand il est question de cette roulette, objet de fantasme et de désillusion, que le livre prend tout son envol. On se prend à gouter à l'exaltation et la frénésie du jeu, l'abandon de soi-même qui en résulte. Une bonne expérience
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Je me suis enfin décidé à aborder la montagne Dostoïevski par la face « roman court » du Joueur, que m'avait conseillé Nastasia-B. Je ne suis pas dans mon élément naturel là. Attendez-vous donc à du très subjectif.

Je suis avant tout très mitigé face à ce que j'ai lu. La qualité d'écriture ou de traduction (très moderne, celle de l'édition Babel) n'est pas en cause ; c'est simplement assez éloigné de ce qui me fait résonner comme un diapason.
La première partie m'a présenté un ensemble de personnages qui m'ont carrément donné la nausée. Pas un pour rattraper l'autre. Derrière des façades d'hommes et de femmes du beau monde européen en villégiature sur la riviera du Rhin, se dévoilent des sentiments d'envie, d'âpreté au gain, de cruauté. Quelques-uns attendent impatiemment qu'une certaine riche grand-mère crève pour pouvoir toucher l'héritage ; d'autres jouent des jeux de chat et souris autour de l'amour qu'ils prétendent éprouver ou ne pas éprouver et manipulent cruellement ceux qui se jettent à leurs genoux.
Bref, beurk !

Puis l'arrivée de la fameuse grand-mère bien trop en forme va faire exploser les petits compromis de cette bande pas très fréquentable (que je n'aimerais en tout cas pas fréquenter). A ce moment, le soleil et la joie pénètrent dans le roman. Ce coffre-fort sur roues qui n'a pas la langue dans sa poche m'a énormément plu. Elle m'a tellement fait rigoler, cette grand-mère. Quel plaisir ai-je donc éprouvé à voir toute la petite bande de coucous s'étrangler de dépit ou de fureur face aux propos et aux actes de cette force de la nature.

Et puis les nuages sont revenus. Quelques personnages deviennent complètement accroc au casino et perdent ou gagnent des sommes indécentes à la roulette. Ils en oublient tout ce qui comptait pour eux jusqu'à présent, leurs buts, leur amour-propre même s'effacent devant la bille qui hésite entre rouge et noir. Hésite-t-elle vraiment ? le hasard ne la guide pas pourtant, c'est la volonté du Deus ex machina, de l'auteur, qui choisit « pair » ou « manque ». Dostoïevski impose le mouvement de la bille pour amener ses personnages là où il veut. Il contrôle le jeu et le scénario.

Dostoïevski nous fait lire les carnets d'Alexeï et en reste donc à un niveau de pénétration minimale des personnages. A aucun moment nous n'avons accès à la psychologie profonde qui les fait agir. On en est réduit aux suppositions, aux étonnements, comme Alexeï. Polina était-elle prise d'une passion pour Alexeï ? L'auteur de la postface du roman le prétend. Moi, franchement, je n'ai vu aucune passion amoureuse dans cette histoire. Des palabres, oui ; des comportements bizarres ; mais les émotions ne sont jamais exprimées avec sincérité (sauf la grand-mère, bénie soit-elle). le comportement d'Alexeï avec « Mlle Blanche » qui s'accoquine avec tout mâle disposant d'un peu de fric m'a sidéré et déçu, celui du général qui poursuit Mlle Blanche aussi.

Enfin, j'ai apprécié que le roman laisse deviner l'opinion de Dostoïevski sur les habitants des divers pays d'Europe. C'est tranché, cliché, plus en négatif qu'en positif. On comprend vite qu'il ne tient pas les Français dans son coeur (« La France, pays de Racine et de la beauté reçue en héritage, devenue creuse, involontaire » dit le traducteur à la fin du roman). Souvenir de Napoléon ? Allez savoir. Mais c'est surtout sur les Russes qu'il se lâche. Il aime sa patrie. Il donne à ces personnages russes comme un sentiment d'infériorité exacerbé vis-à-vis des occidentaux, qui les fait parfois déclamer avec une passion blessante. Ce sentiment, j'ai l'impression qu'il existe encore de nos jours.

Je ne sais pas si je poursuivrai la découverte de l'oeuvre de Dostoïevski. Pas dans l'immédiat en tout cas. Dumas, Scott, Brontë et Austen font la queue pour que je les lise.
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Dans ce roman, Dostoïevski aborde avec lucidité et cruauté l'univers du jeu. Comme toujours il nous présente des personnages hauts en couleurs, étudiés avec soin qui gravitent autour du héros : Alexeï Ivanovitch, jeune précepteur de la famille du général. le décor est planté : « Roulettenbourg » la bien nommée avec ses tables de jeu.

Tout commence comme une comédie légère : le général, amoureux d'une aventurière, Blanche, joueuse reconvertie en prêteuse sur gages, attend avec impatience le décès de la grand-mère, la « Baboulinka » pour pouvoir hériter et payer ses dettes de jeu.

Alexeï est amoureux de Pauline, belle-fille du général ; engluée dans les dettes, elle-aussi, elle lui propose de jouer à sa place et il va tomber dans l'engrenage.

Dostoïevski, joueur lui-même nous livre, à travers son double Alexeï, un brillant récit de l'addiction : le regard hypnotisé par la petite boule qui s'agite devant les yeux des joueurs, les pièces d'or qui tintent, l'impossibilité de s'écarter de la table sans avoir conscience de ce qu'on perd car on pense toujours pouvoir se refaire, les décharges d'adrénaline, l'obsession pour le jeu qui occupe toutes les pensées, tous les autres centres d'intérêt ayant fini par disparaître.

L'auteur égratigne au passage la société russe, les nobles oisifs qui perdent de l'argent sans se soucier des autres (le général claque au jeu aux dépens de ses propres enfants), mais il n'épargne pas les Français, tel l'intrigant des Grieux, les Allemands ou les Anglais comme Mr Astley. Par exemple, il décrit sans ménagement, avec férocité même, la société patriarcale de l'époque pages 42 et 43:

« Eh bien, toutes ces braves familles d'ici sont complètement soumises et asservies au Vater. Tous, ils travaillent comme des boeufs et épargnent l'argent comme des Juifs. Admettons que le Vater a déjà amasser tant de florins et il compte sur son fils aîné pour lui transmettre son métier ou son lopin de terre. A cette fin, on ne dote pas la fille qui restera vieille fille. Toujours pour la même raison, on vend le cadet en servitude ou à l'armée et cet argent va alimenter la caisse patriarcale. » P 42

Il règle ses comptes avec tout le monde, il a suffisamment fréquenté les salles de jeu, où il a perdu beaucoup pour se le permettre et il réussit à raconter quand même une histoire d'amour mais l'amour est-il possible dans l'univers infernal du jeu?

Une scène d'anthologie : l'arrivée de la Baboulinka, censée avoir un pied dans la tombe, et sa chance insolente lorsqu'elle s'assied pour la première fois à la table de jeu…

Ce roman est court, mais d'une intensité incroyable, le rythme de l'écriture suit celui de la boule sur la roulette; l'auteur parvient à susciter l'exaltation du lecteur : c'est vif, ça tourbillonne… Fiodor Dostoïevski l'a composé et dicté à sa future épouse, Anna Grigorievna Snitkina, en seulement trois semaines, en octobre 1866 car il s'était engagé à fournir rapidement un manuscrit à son éditeur (« Crime et châtiment » était en cours de rédaction).

J'ai lu et aimé « crime et châtiment », il y a quarante ans, mais je n'avais pas lu d'autres romans de Dostoïevski, remettant toujours à plus tard jusqu'à l'été dernier, en voyant la retransmission des « Frères Karamazov », magistralement joué au festival d'Avignon qui m'a scotchée…

Je continue l'aventure, en gardant « les frères… » pour la fin car il est considéré comme son meilleur roman.

Challenge XIXe siècle 2017
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